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10 résultats trouvés pour Energie

par BUZZPRESS
le 25th Avril 2024, 10:55 am
 
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Maison & Jardins
Sujet: Aides énergétiques légales ou frauduleuses, 67 % des Français totalement perdus
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Aides énergétiques légales ou frauduleuses, 67 % des Français totalement perdus

Les Français anticipent mieux qu’en 2022 l’arrivée du froid pour réfléchir à leur système de chauffage.  En 2022, 66 % déclaraient ne pas bien connaître les différents systèmes existants, il sont 71 % en 2024 ! 
ndlr : cet article a été modéré pour non respect des C.G.U.
Pourtant, 73 % continuent de se débrouiller seuls dans le choix de leur système de chauffage Rothelec, spécialiste du chauffage électrique économique et inventeur du radiateur à inertie, présente les résultats d’un comparatif de deux enquêtes sur la façon dont les Français choisissent leur système de chauffage. L’une menée en avril 2022 et l’une menée en mars 2024 qui mettent lumière d’importants changements en seulement deux ans. 
Les types de chauffage changent 
Ces dernières années, beaucoup d’événements ont contraint les Français à faire évoluer leur opinion sur les systèmes de chauffage. Ainsi, même s’il baisse légèrement depuis 2022 et passe de 40 % à 38 % en 2024, le gaz reste la solution la plus utilisée. Même constat pour l’électrique qui passe de 36 % en 2022 à 35 % en 2024, certainement en raison de la hausse des prix. Autres faits marquants, l’utilisation des systèmes de chauffage au bois qui double pratiquement en seulement deux ans qui augmentent de 6 % à 11 % ainsi que le solaire qui passe de 5 % à 7 %. 
Les Français ont de plus en plus froid
En 2022, 68 % des Français déclaraient ne jamais avoir froid en hiver, tout en dépensant beaucoup d’énergie. Ils ne sont maintenant que 61 % dans ce cas, soit une baisse de 7 points en 2 ans. Ainsi, ils sont plus de  31 % en 2024 à avoir froid en hiver contre 21 % en 2022 : 12 % alors qu’ils dépensent beaucoup en énergie (contre 5 % en 2022), 11 % de temps en temps avec d’importantes dépenses énergétiques (contre 6 % en 2022), et 8 % sans dépenser d’énergie (4 % de temps en temps et 4 % tout le temps). Plus d’1 Français sur 2 veut changer de chauffage 
Conséquence de tous ces bouleversements : plus de 51 % des Français ont envie de changer leur système de chauffage en 2024, soit 4 points de plus qu’en 2022. Des Français qui gagnent en anticipation Il y a deux ans, très peu de Français réfléchissaient en amont à leur système de chauffage et qui plus est le faisait au moment le plus opportun. En effet, en 2022, près de 63 % des foyers interrogés déclaraient qu’ils attendaient que les températures soient déjà très basses, autrement dit à partir des mois de novembre à janvier, pour se décider à changer de système de chauffage. 
Seulement 20 % prenaient les devant et s’en occupaient au printemps ou en été. En 2024, ils sont beaucoup plus nombreux à mieux s’organiser : 22 % anticipent leur volonté de changer de chauffage pendant la période estivale. Ils sont également plus nombreux à le faire avant l’arrivée du froid : 16 % en octobre (14 % en 2022) et 24 % en novembre (23 % en 2022). « Les Français sont de moins en moins nombreux à attendre le dernier moment pour choisir leur équipement de chauffage. Ces deux dernières années ont été particulièrement compliquées et les Français ont bien compris la leçon. Nous préconisons de s’occuper à partir de mai, jusqu’à septembre. C’est la période où tous les professionnels sont disponibles et où les pénuries ne risquent pas de bloquer ce genre de projets », a déclaré Éric ANES, Président de Rothelec. 
Les prix bas au détriment de la qualité et du confort ? Plus en 2024 ! 
Quand les prix de l’énergie flambent, les Français optent pour des prix bas au niveau matériel de chauffage. Ainsi, ce critère de choix est passé de 72 % en 2022 à 86 % en 2024 et reste donc à la première place.
par LYFtv-Paris
le 24th Avril 2024, 2:30 pm
 
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Paris Ile de France Actualités

Sujet: Près de Paris, 300 points de recharge au Marché International de Rungis
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Près de Paris, 300 points de recharge au Marché International de Rungis

TotalEnergies franchit une nouvelle étape dans son engagement en faveur de la mobilité électrique. Le 24 mars 2024, la société a annoncé avoir remporté l'appel d'offres de la SEMMARIS, l'autorité gestionnaire du prestigieux Marché International de Rungis, pour l'installation et l'opération de près de 300 points de recharge électrique sur une période de 12 ans. 
Cette initiative s'inscrit dans une démarche visant à accompagner la transition vers des solutions de transport plus durables.
Les points de recharge, tous alimentés par de l'électricité renouvelable certifiée, seront répartis stratégiquement dans les différentes zones d'activités du marché, qui s'étend sur 235 hectares et compte près de 12 000 salariés. Outre la modernisation du parc existant comprenant 54 points de recharge, TotalEnergies installera 238 nouveaux points de recharge de puissances variées, allant de 7 à 22 kVA, ainsi que 10 points de recharge haute puissance de 200 kW. De plus, 20 points de recharge seront spécifiquement dédiés aux poids lourds électriques, répondant ainsi aux besoins variés des professionnels présents sur le site.
Marie Djordjian, directrice France de TotalEnergies Charging Services, souligne l'importance de cette initiative en déclarant : « Ces 300 nouveaux points de recharge permettront à tous les professionnels de passage au Marché International de Rungis d'avoir accès à un service de recharge fiable et adapté à leurs besoins. L'équipement de ce site fréquenté par 7 millions de professionnels chaque année est indispensable pour permettre leur transition vers la mobilité électrique. Nous sommes ravis d'accompagner le Marché de Rungis dans cette démarche ».
Pour Stéphane Layani, président du Marché de Rungis, cette démarche s'inscrit dans une vision plus large de décarbonation : « Décarboner le plus grand marché de gros du monde n'est pas à la portée du premier venu. L'une de mes priorités est d'accompagner les salariés et acheteurs du marché dans leur transition vers les mobilités vertes. Avec ces presque 300 nouveaux points de recharge répartis sur le Marché, nous leur donnons la possibilité d'inclure pleinement des véhicules électriques dans leur activité quotidienne. C'est un pas de plus vers mon objectif prioritaire : la neutralité carbone à horizon 2050 ».
Cette initiative s'inscrit dans le cadre plus large de l'engagement de TotalEnergies en faveur de la mobilité électrique. En France, la société opère déjà plus de 22 000 points de recharge et vise à en installer 500 supplémentaires d'ici 2026. TotalEnergies déploie également des solutions de recharge rapide sur les grands axes routiers, avec l'objectif ambitieux d'atteindre 1 000 sites de recharge en Europe d'ici 2028.
par Gilles Roman
le 10th Avril 2024, 3:25 pm
 
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Lyon actualités

Sujet: Chauffage urbain : Villeurbanne et St-Priest bénéficieront d'un programme innovant
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Chauffage urbain : Villeurbanne et St-Priest bénéficieront d'un programme innovant

Est Métropole Habitat et Dalkia viennent de signer un accord historique avec la Métropole de Lyon, qui doit marquer une avancée majeure dans la transition énergétique de la région. Ce protocole d'engagement porte sur le raccordement au réseau de chauffage urbain de près de 3 500 logements sociaux répartis sur les communes de Villeurbanne et Saint-Priest.
Le projet s'étalera entre 2025 et 2027, en parallèle de l'extension du réseau de chauffage urbain. Estimé à 5,8 millions d'euros TTC, le coût des travaux sera financé à hauteur de 75% par l'aide Certificat d'Économie d'Energie (CEE) et pour le reste par Est Métropole Habitat. Le nombre de logements concernés atteint près de 3 100 unités à Saint-Priest et environ 400 à Villeurbanne.
Cette initiative s'inscrit dans le cadre d'une politique ambitieuse de la Métropole dirigée par les écologistes en faveur de la transition énergétique. Elle est axée sur deux principaux objectifs : 
- réduire de 30% les consommations d'énergie par rapport à 2000 d'ici 2030, 
- doubler la production locale d'énergies renouvelables et de récupération (EnR&R).
Le développement des réseaux de chaleur, favorisant les énergies locales et renouvelables, est un élément central de cette politique. La Métropole vise ainsi à contractualiser 200 000 équivalents logements raccordés d'ici 2026, comparé aux 80 000 raccordés en 2019.
Ces réseaux sont alimentés à plus de 72% d'énergie renouvelable et de récupération, contribuant ainsi à la décarbonation du chauffage des habitants. Avec ces nouveaux raccordements, ce sont 4 400 tonnes de CO2 qui seront évitées chaque année, l'équivalent de 2400 véhicules retirés de la circulation.
Pour Est Métropole Habitat, cette opération représente un pas de plus vers une trajectoire zéro carbone, avec environ 8 000 logements raccordés au réseau de chauffage urbain, soit plus de 70% de leurs logements en chauffage collectif. Cela répond à leurs engagements en faveur d'une croissance durable, responsable et solidaire, tout en améliorant le confort de vie des locataires et en maîtrisant leurs charges.
Pour Bruno Bernard, Président de la Métropole de Lyon, ce raccordement permettra à une trentaine de résidences, notamment à Saint-Priest et Villeurbanne, de bénéficier du réseau de chauffage collectif, offrant ainsi une énergie renouvelable et moins coûteuse. Les économies réalisées par les habitants pourraient atteindre entre 30 et 50% par an, soit entre 300 et 700€ par ménage.
Pour Céline Reynaud, Directrice générale d'Est Métropole Habitat, cette stratégie patrimoniale et énergétique ambitieuse contribue à respecter la trajectoire zéro carbone et protège les locataires des fluctuations du coût des énergies.

Ces nouveaux raccordements illustrent l'engagement concret de la Métropole dans une transition écologique et socialement juste. Jérôme Aguesse, Directeur régional de Dalkia, souligne que l'intégration du patrimoine d'Est Métropole Habitat aux réseaux de chaleur représente une avancée significative pour le développement durable du territoire, avec à la clé une décarbonation de l'environnement et une réduction de l'empreinte carbone.
En conclusion, cette collaboration tripartite témoigne d'une volonté commune d'agir pour l'environnement, la qualité de vie des habitants et la transition énergétique, faisant de Lyon un exemple à suivre en matière de durabilité et d'innovation.
par LYFtv-LYon
le 2nd Avril 2024, 10:56 pm
 
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Lyon actualités

Sujet: Région AuRA : le débat public sur une mine de lithium dans l'Allier
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Région AuRA : le débat public sur une mine de lithium dans l'Allier

Dans le département de l'Allier, une entreprise du nom d'Imerys a annoncé son projet d'ouvrir une mine de lithium, accompagnée d'installations industrielles. Cette initiative vise à exploiter un important gisement de lithium, une ressource essentielle dans la transition vers les véhicules électriques. Cette mine, la première du genre en France, promet de fournir de quoi alimenter la production annuelle de l'équivalent de 700 000 batteries de voitures électriques.
Cependant, ce projet suscite des interrogations quant à ses potentiels impacts environnementaux et socio-économiques. 
Face à cette situation, la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) a pris l'initiative d'organiser un grand débat public, s'étalant du 11 mars au 7 juillet 2024. Ce débat se présente comme une plateforme permettant à chacun de s'informer et de partager son point de vue sur le sujet.
Projet de mine de lithium dans l'Allier : enjeux et débat public
Le calendrier du débat public comprend divers événements, allant de réunions publiques à des ateliers thématiques. Par exemple, le 4 avril, une réunion publique intitulée "Une usine de lithium à Saint-Victor ?" est prévue à Montluçon, offrant ainsi une occasion aux citoyens de s'exprimer et de poser leurs questions sur le projet. De même, des tables rondes et des webinaires sont organisés pour approfondir certains aspects techniques et environnementaux de l'exploitation du lithium.
L'actualité du débat public est régulièrement mise à jour sur les réseaux sociaux, invitant ainsi les citoyens à suivre et à participer activement aux discussions. Des retransmissions en direct des réunions sont également proposées pour permettre à un plus large public de s'impliquer.
La participation citoyenne revêt une importance capitale dans ce débat, car elle permet de prendre en compte les préoccupations et les perspectives variées des différents acteurs concernés. Les enjeux environnementaux, économiques et sociaux doivent être examinés avec soin afin de prendre des décisions éclairées et responsables.
Ce projet de mine de lithium dans l'Allier soulève des questions cruciales pour l'avenir énergétique et environnemental de la région. Le débat public organisé par la CNDP offre une opportunité unique pour les citoyens de s'informer, de débattre et d'influencer les décisions qui façonneront le paysage énergétique de demain.
par LYFtv-Politique
le 17th Mars 2024, 3:43 am
 
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Transports & Mobilités

Sujet: Véhicules électriques : Lyon multiplie les points de recharge
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Véhicules électriques : Lyon multiplie les points de recharge

La Métropole de Lyon vient d’approuver un schéma directeur des bornes de charge pour les véhicules électriques. Ce schéma permettra de développer l’offre de manière éclairée et homogène sur le territoire métropolitain. 
En France, la dynamique de transition vers la mobilité électrique est pleinement engagée avec 1,5 million de véhicules électrifiés dans le parc automobile national. Si l’essentiel des recharges se fait à domicile ou en entreprise, de nombreux ménages ne disposent pas de stationnement privatif sur le territoire métropolitain. Pour leur éviter de longs trajets, mais également pour tenir compte du besoin des professionnels et des visiteurs, il convient de mailler le territoire d’un réseau de points de charge bien dimensionné (espace public et sites privés ouverts au public). 
Le diagnostic prospectif pour Lyon a fait apparaître un besoin de points de charge supplémentaires dans la métropole à fin 2026, sur la base d’une projection de 63000 véhicules électrifiés.
L’offre totale de bornes ouvertes au public atteindra ainsi 3 500 points de charge pour l’ensemble du territoire avec un déploiement qui se répartira à 40% sur le domaine public (stations, parcs de stationnement en ouvrage) et à 60% sur le domaine privé (stations-service, supermarchés…). 
Par ailleurs, la Métropole de Lyon est consciente que l’enjeu principal de l’électrification du parc de véhicules réside dans l’équipement de l’habitat et des sites d’emplois, qui répondra à plus de 90% des besoins. 
Une étude spécifique a porté sur l’habitat collectif privé (copropriétés), mettant en lumière de nombreux freins à l’installation des bornes de recharge (complexité des options à disposition, acceptation par l’assemblée générale des copropriétaires, coûts…).
En réponse, la Métropole crée au sein de l’Agence locale de l’Énergie et du Climat (ALEC) un service d’accompagnement dédié aux copropriétés. 
Les chiffres clés 2024 dans la Métropole de Lyon : 
33 000 véhicules électrifiés (18 000 électriques, 15 000 hybrides rechargeables) 
4% du total des véhicules immatriculés dans la métropole (moyenne nationale : 2%) 
1 200 points de charge existants, 800 supplémentaires en 2024
par LYFtv-LYon
le 27th Février 2024, 8:09 pm
 
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Lyon actualités

Sujet: Nouveau barrage sur le Rhône : les écologistes proposent "d'autres solutions"
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Nouveau barrage sur le Rhône : les écologistes proposent "d'autres solutions"

330 millions d’euros, c’est le coût estimatif du projet de barrage-usine hydroélectrique Rhônergia proposé en novembre 2023 par la Compagnie Nationale du Rhône (CNR) sur les derniers 25 kilomètres sauvages de notre plus puissant fleuve français entre la commune de Loyettes, dans l'Ain, et la commune de Saint-Romain-de-Jalionas, en Isère. En 2018, le coût du projet était estimé à 230 millions d'euros. 
 
Margot Savin, secrétaire régionale des Écologistes Rhône-Alpes déclare : « À ce jour, nous nous questionnons sérieusement sur le coût de cet ouvrage. Nous constatons que l’estimatif n’est absolument pas stabilisé. Bien sûr, nous sommes dans la phase de concertation, mais un écart de 100 millions d’euros entre l’estimatif de 2018 et celui de 2023 est inquiétant. Combien ce projet, s’il voit le jour, va-t-il réellement nous coûter à la sortie ? A cette allure, à plus de 100 millions d’euros tous les 5 ans, ce barrage nous coûtera 530 millions d’euros dans 10 ans, en 2033, année à laquelle ce projet doit voir le jour ! C’est impensable et démesuré pour une très faible production d’énergie projetée ! Surtout pour nous, écologistes, qui en responsabilité, sommes récompensés pour la bonne gestion des finances, notamment à la ville et Métropole de Lyon. Par ailleurs, je demande à la CNR de nous indiquer si l’estimatif actuel comprend une actualisation du chiffrage vis-à-vis de l’inflation. »
2033, c’est, en effet, l’année visée pour la réception de cet ouvrage justifié par la CNR pour son rôle « dans la lutte contre le changement climatique et l'indépendance énergétique de la France ». 
2033 comme objectif, c’est déjà partir avec 3 ans de retard (sans marge pour les aléas), vis-à-vis de l’objectif de l’accélération des énergies renouvelables dans les territoires, dont la part est fixée à 33 % d'ici 2030. 
Le coût de ce projet est aussi environnemental et social. 
Malgré des paillettes vertes saupoudrées sur le projet par la CNR, avec l’aménagement paysager autour de l’usine et la construction d’une rivière artificielle pour les poissons afin de contourner le barrage, ces compensations ne garantissent ni le maintien d’espèces piscicoles dont l’habitat passerait d’eaux froides et vives à eaux chaudes et calmes, ni la garantie d’un impact moindre sur les terres agricoles dont 55 hectares minimum devront être rehaussés vis-à-vis du risque de la remontée des nappes phréatiques. 
Cet ouvrage pharaonique, bétonné d'une hauteur de 12 mètres et de 200 mètres de large, causera de graves dégâts sur les deux rives du Rhône au niveau du sol, du sous-sol et des nappes phréatiques proches. Le projet comprend, en effet, une retenue de 20 millions de m³ d'eau en amont du barrage-usine, sur 22 kilomètres de long pour ralentir le débit du fleuve et une digue de 4 km. Quelques kilomètres en aval de la zone prévue pour ce barrage, la confluence avec l'Ain, est un site classé Natura 2000, très riche pour la biodiversité où nichent de nombreux oiseaux et vivent des animaux sauvages, où se trouvent un site archéologique d’une grande valeur historique, et un lieu de promenade pour les locaux et voyageurs empruntant la Via Rhôna. 
Margot Savin poursuit : « Dans les années 90, une forte pollution a été détectée dans ce secteur précis. Le projet prévoit le curage du lit du Rhône. Notre crainte est que les travaux puissent remettre en circulation les polluants organiques persistants contenus dans les sédiments contenant des quantités de PCB et de Dioxines 500 fois supérieures à la norme européenne selon le rapport du CEMAGREF de juin 2007. Cette pollution pourrait se retrouver dans les communes en aval et impacter l’eau potable. Anne Grosperrin, Vice-présidente en charge du cycle de l’eau à la Métropole de Lyon le rappelait plus de 1,4 million de Grands-Lyonnais·es sont desservi·es par une eau potable dont la qualité dépend du Rhône et qui serait impactée par toute modification qui interviendrait sur le fleuve.’’ C’est une question absente dans la phase de concertation et je me demande sincèrement comment débattre d’un projet alors que nous n’avons aucune étude d’impact à disposition pour éclairer les citoyen·nes et les collectivités territoriales concernées. » 
La première répercussion du projet Rhônergia serait l’obligation de demander une dérogation à la directive-cadre sur l'eau auprès de l'Europe. 
En effet, le barrage-usine causerait le déclassement du fleuve en allant à l’encontre des efforts de restauration de la qualité de l’eau et des milieux aquatiques. Alors que ces efforts doivent s’intensifier, ce projet ne respecte pas les objectifs fixés par cette directive-cadre européenne et mettrait à mal des décennies d’efforts pour restaurer le fleuve et 400 millions d’euros d’investissements faits dans les plans Rhône successifs. Sachant que l’état des lieux des masses d'eau du bassin Rhône méditerranée montre que 72 % des cours d'eau risquent de ne pas atteindre le bon état en 2027. Le maintien en bon état du fleuve permet d’éviter les inondations, augmente la qualité de l'eau potable et assure la résilience des milieux aquatiques face au réchauffement climatique. 
Outre ces enjeux, le projet pose des questions à propos de la conciliation des usages sur la portion du Rhône concernée par le projet, notamment pour l'irrigation de cultures dans les communes avoisinantes de Lagnieu, Saint-Vulbas et Loyettes. Les épisodes de canicule voués à être récurrents de par le réchauffement climatique impactent d’ores et déjà le débit des cours d’eau. Une étude sur les évolutions des débits du Rhône à l'horizon 2055, réalisée à la demande de l'Agence de l'eau, montre une baisse cumulée du débit de 30 %. Le Furon et la Bourbe, deux rivières affluentes, seront directement impactées avec un risque de baisse importante de leur niveau avec ce projet de barrage. 
A plus long terme, la disparition des glaciers ne doit pas être un scénario négligé. 
Alors que la Suisse, où le fleuve trouve sa source, souhaite définir un partenariat de gouvernance du Rhône avec la France, la Suisse a rappelé dans le plan GouvRhône qu’elle serait attentive à « des possibles atteintes aux usages fondamentaux ». Alors que l’Etat doit rendre son avis mi-2024 en faveur soit de l'arrêt du projet, soit du lancement des études plus approfondies; pour les Écologistes Rhône-Alpes, ce projet de barrage-usine est une véritable atteinte aux usages fondamentaux du Rhône et ne doit pas voir le jour. 
Les Écologistes Rhône-Alpes soutiennent les alternatives existantes tout en développant un vaste programme de promotion d’économies d’énergie et de sobriété énergétique. 
Le budget accordé à ce projet permettrait en lieu et place du barrage de financer la rénovation thermique des bâtiments, d’accentuer le développement d’énergies renouvelables tels que l'éolien ou le photovoltaïque sur les bâtiments publics, agricoles, industriels ou collectifs, mais aussi de développer le maillage de bornes IRVE permettant la mobilité électrique. 
De plus, l’amélioration de 5 à 15% du rendement énergétique et du fonctionnement des barrages déjà existants sur le Rhône correspondent à eux-seuls à la production supplémentaire envisagée de 37MW pour le nouveau barrage, avec un impact environnemental très faible. 
Margot Savin conclut : « Au regard de l’ensemble des risques et impacts identifiés, ainsi que les alternatives concrètes proposées, comment ce projet pourrait-être sérieusement envisagé par l’Etat ? Le comité de bassin composé de l’ensemble des usagers avait, après des mois de travail, réussi à aboutir à un accord sur le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux du bassin ainsi que sur le plan de bassin d'adaptation au changement climatique. Quel gouvernement serait aussi incohérent et sourd pour balayer les efforts fournis par ce comité ? J’appelle chacun·e à se mobiliser contre ce projet d’un autre temps à l’appel des Soulèvements de la Terre»
Les Écologistes Rhône-Alpes réclament à la CNR de transmettre les réponses de façon transparente sur les élément suivants : 
- Amortissement estimé vis-à-vis de l’investissement et de la durée de vie du barrage ; 

- Estimatif final du coût du projet prenant en compte l’inflation ;

- Comparatif du coût et de l’impact environnemental entre l’amélioration des structures existantes versus la construction de ce nouveau barrage ;
- Études d'impacts qui prennent en compte les échanges nappes-rivière, l'évolution de la thermie, les pollutions remises en suspension et la gestion des sédiments, et une analyse sur les PFAS. 
Sans aucun de ces éléments, les Écologistes Rhône-Alpes ne peuvent considérer que la consultation en cours est réalisée dans un contexte réel de démocratie et de transparence. 
Fin de concertation le 29 février. 
par LYFtv-Politique
le 6th Février 2024, 8:10 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Performance énergétique : les géomètres experts "rassurés" par le gouvernement Attal
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Performance énergétique : les géomètres experts "rassurés" par le gouvernement Attal

Sur le Diagnostique de Performance Energétiqueappliqué aux petites surfaces, l’Ordre des géomètres-experts salue la proposition du Gouvernement. L’annonce de la simplification du DPE, et en particulier de la refonte du calcul pour les petites surfaces, par le Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a fait réagir l’ensemble des acteurs de la filière du diagnostic immobilier. 
En juin 2023, déjà, l’Ordre des géomètres-experts identifiait cet enjeu à l’occasion de son Grand Débat consacré au DPE. À l’époque, la profession avait proposé d’amender la Loi Climat Résilience pour autoriser le Gouvernement à déroger au nouveau DPE par voie réglementaire, soit en excluant les logements inférieurs à une certaine surface du dispositif, soit en adaptant le calcul de la performance énergétique aux spécificités de ces petits logements.

« Mi-février, j’annoncerai une simplification du DPE qui permettra de conserver l’ambition du calendrier initial tout en fiabilisant le dispositif pour les petites surfaces et en actant des mesures de flexibilité qui permettront aux propriétaires et aux locataires d’aborder la date du 1er janvier 2025 avec plus de confiance », c’est par ces mots que Christophe Béchu a annoncé, ce 1er février, la volonté du Gouvernement de réformer une nouvelle fois le mode de calcul du DPE. 
Le 28 juin dernier, les géomètres-experts s’étaient penchés sur ce sujet à l’occasion de leur Grand Débat « Le nouveau DPE va-t-il provoquer l’effondrement du marché immobilier ? » auquel avait participé la Députée Marjolaine Meynier-Millefert et Robin Rivaton, CEO de Stonal et spécialiste de l’immobilier.
Les géomètres-experts acteurs de la filière du diagnostic immobilier
Garants du cadre de vie des Français, les géomètres-experts rappelaient alors qu’ils s’étaient positionnés sur les enjeux de diagnostic immobilier dès la mise en place des obligations de diagnostic plomb en 1998 puis amiante en 2006. « Les géomètres-experts possèdent les compétences techniques et juridiques en pathologie du bâtiment pour mener à bien ces missions », comme le soulignait Xavier Prigent, Vice-Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, « Il est donc logique de contribuer par notre expertise et notre savoir-faire aux débats liés au DPE aujourd’hui ».

L’inadaptation du nouveau DPE aux logements de petites surfaces, type studio, inférieures à 40 ou 30 m2, avait notamment émergé lors du débat.

Les petites surfaces condamnées de facto par le nouveau DPE ? 
En effet, en rapportant le critère de décence à l’énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an, le nouveau DPE condamne de facto les petites surfaces d’après les géomètres-experts. «Même en ayant réalisé des opérations lourdes sur l’enveloppe du bâtiment, avec notamment l’isolation des sols, de la toiture et des façades, ces biens restent qualifiés au regard des méthodes de calcul du nouveau DPE comme peu performants sur le plan énergétique », avait ainsi alerté Michel Greuzat, géomètre-expert en Seine-et-Marne, « Le nouveau DPE entraîne un impact sur deux facteurs du logement : le ballon d’eau chaude et le chauffage électrique. La seule solution serait donc de les remplacer par un ballon thermodynamique et une pompe à chaleur, et dans un logement de petite surface ce n’est techniquement pas possible »

Une réforme du mode de calcul du DPE nécessaire
Pour éviter que les studios et les petits appartements sortent massivement du stock locatif, alors même que les besoins sur ce type d’habitation sont de plus en plus croissants, Xavier Prigent, le Vice-président du Conseil supérieur de l'Ordre des géomètres-experts, avait notamment proposé à Marjolaine Meynier-Millefert d’amender la Loi Climat Résilience pour autoriser le Gouvernement à déroger au nouveau DPE par voie réglementaire, soit en excluant les logements inférieurs à une certaine surface du dispositif, soit en adaptant le calcul de la performance énergétique aux spécificités de ces petits logements.

[left]C’est pourquoi l’Ordre des géomètres-experts salue l’annonce du Gouvernement en faveur d’une réforme nécessaire du mode de calcul du DPE pour les petites surfaces. La profession se tient à sa disposition pour contribuer tant aux échanges sur ce sujet d’envergure nationale qu’à la préservation du cadre de vie des Français, dont elle est le garant.
LES CHIFFRES CLÉS DE LA PROFESSION DE GÉOMÈTRE-EXPERT
1.874 géomètres-experts inscrits au tableau de l’Ordre
2.205 établissements répartis sur l’ensemble du territoire
Une filière de 10.000 emplois structurée essentiellement en PME
[/left]


Grand Débat de l'Ordre des géomètres-experts : "Le nouveau DPE va-t-il provoquer l'effondrement du marché immobilier ?" (intervention de Michel Greuzat à partir de la 57'34'')


À PROPOS DE L’ORDRE DES GÉOMÈTRES-EXPERTS
Depuis 1946, l’Ordre des géomètres-experts est délégataire d’une mission de service public de régulation de la profession. Personne morale de droit privé créée par la loi du 7 mai 1946, l’OGE a pour vocation à représenter la profession auprès des pouvoirs publics, veille à la discipline, et s’assure de la qualité de service fourni aux consommateurs. Il est le garant du respect de la déontologie et des règles de l’art et agit, à ce titre, en tant qu’autorité indépendante. Depuis sa création, l’institution ordinale a évolué pour devenir une véritable instance de management stratégique de la profession. 

par Gilles Roman
le 16th Novembre 2023, 11:45 am
 
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Politique régions et DOM/TOM

Sujet: Economies d'énergie : les habitants du Grand Paris peuvent faire appel à cette application gratuite
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Economies d'énergie : les habitants du Grand Paris peuvent faire appel à cette application gratuite

Pour renforcer sa politique en faveur de la sobriété énergétique, la Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise (GPS&O) a noué un partenariat avec Voltalis pour proposer aux habitants et professionnels du territoire d’être équipés gratuitement d’un dispositif de pilotage intelligent de leur chauffage électrique. Economique et écologique, cette solution innovante permet d’alléger sa facture d’électricité tout en participant à la réduction de l’empreinte carbone du territoire.
La flambée des prix de l’électricité et la nécessité de réduire notre dépendance aux énergies fossiles placent désormais la sobriété énergétique au cœur des politiques publiques. Dans le cadre de son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET), GPS&O conduit de nombreuses actions visant à mieux maitriser la consommation d’énergie sur son territoire et à lutter contre la précarité énergétique, telles que le passage de l’éclairage public en LED et la promotion de l’extinction nocturne auprès des communes, l’accompagnement des particuliers et entreprises dans leurs projets de rénovation thermique ou encore l’amélioration de la performance énergétique des bâtiments et équipement sportifs et culturels communautaires.
Accompagner les habitants et professionnels dans leurs efforts de sobriété
Dans le prolongement de cette stratégie, la Communauté urbaine s’associe à la société Voltalis pour proposer aux habitants chauffés au tout électrique d’être équipés gratuitement d’un dispositif innovant de maîtrise et de réduction de leur consommation.  Près de 50 000 particuliers et professionnels sont concernés sur le territoire. La mise en œuvre de cette solution offre aux consommateurs la possibilité de réaliser des économies d’électricité tout en contribuant à la transition écologique et à la sécurité du réseau électrique national.
« La Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise se veut un territoire modèle sur le plan de la maîtrise des dépenses énergétiques. Nous souhaitons accompagner nos habitants dans l’adoption de nouveaux comportements qui allient la préservation de leur pouvoir d’achat et la lutte contre le changement climatique. C’est le sens de notre partenariat avec Voltalis », déclare Cécile ZAMMIT-POPESCU, Présidente de GPS&O.
« Le soutien d’une collectivité aussi importante que la Communauté Grand Paris Seine & Oise est une grande marque de confiance pour Voltalis. Près de 50 000 nouveaux foyers et professionnels vont pouvoir bénéficier de notre solution d’économies d’énergie à l’approche de l’hiver », déclare Mathieu Bineau, Directeur Général de Voltalis.
Un thermostat connecté gratuit, en faveur du pouvoir d’achat et de l’environnement
La solution Voltalis répond aux objectifs et aux recommandations énoncés par les pouvoirs publics, notamment en combinant un potentiel d’économies d’énergie de 15 % par an et jusqu’à 70 % de baisse des émissions de CO2 pour les consommateurs équipés.
Pour ce faire, Voltalis installe gratuitement un thermostat connecté sur chacun des radiateurs du logement ou du local professionnel. Via son espace personnel en ligne (MyVoltalis), l’adhérent peut alors commander à distance ses radiateurs et programmer le fonctionnement du chauffage en définissant une température ou une consigne (confort, éco, hors gel ou arrêt) pour chaque pièce. Il profite également d’un suivi précis de ses usages électriques (chauffage, eau chaude, gros électroménager, froid…) pour mieux les maîtriser. Enfin, les adhérents bénéficient d’alertes et de conseils pour dépenser moins et réduire simplement leur impact
Parallèlement, ce dispositif contribue activement à la décarbonation et à la sécurité de l’alimentation électrique des Français. En effet, en cas de forte demande, notamment lors de la période hivernale, le réseau national risque des délestages ciblés ou pire, un black-out généralisé. à ces moments clés, Voltalis peut réduire très brièvement la consommation des appareils connectés aux boîtiers, et ce sans impact sur le confort des utilisateurs. Cette action vertueuse génère des économies pour les foyers équipés, soulage le réseau en temps réel et limite le recours à des centrales thermiques polluantes au gaz, au fioul ou au charbon, traditionnellement utilisées pour faire face à ces pics.
Comment les habitants et professionnels du Grand Paris Seine & Oise peuvent bénéficier de ce dispositif d’éco-sobriété ?
Des conseillers Voltalis viendront progressivement à la rencontre des particuliers et des professionnels de l’ensemble du territoire pour leur présenter le dispositif, répondre à leurs questions et leur proposer un rendez-vous d'installation. Un technicien agréé intervient ensuite pour installer le dispositif, en 2h30 en moyenne selon le nombre de radiateurs à équiper.  
Tous les habitants chauffés électriquement peuvent aussi solliciter directement l'installation de ce dispositif en contactant Voltalis par téléphone au 01 87 15 83 55 ou par e-mail : gpseo@voltalis.com
À propos de Voltalis :
L’électricité renouvelable est le futur de l’énergie. Son intermittence impose à tous une consommation plus intelligente. Depuis 2006, Voltalis est le leader européen du pilotage intelligent de la consommation électrique résidentielle et tertiaire. Notre technologie innovante permet déjà à plus de 150 000 foyers européens de mieux maîtriser leur consommation et répond aux besoins croissants de flexibilité du système électrique, élément essentiel de la transition écologique. Développée en France et déployée notamment avec le soutien de collectivités territoriales et d’acteurs majeurs du logement, notre solution apporte des réponses concrètes aux enjeux de pouvoir d’achat des particuliers, de réduction des émissions de CO2 et de sécurité des réseaux électriques. Forts de plus de 15 ans d’expérience, nous continuons à innover pour préparer le pilotage des nouveaux usages, tels que la charge des véhicules électriques, le stockage ou l’autoconsommation. Bénéficiant du soutien et des synergies créées avec son actionnaire majoritaire Meridiam, société à mission engagée dans le financement, le développement et la gestion à long terme d'infrastructures durables, Voltalis accélère aujourd’hui le déploiement de ses solutions à très grande échelle, en France comme à l’international. Voltalis est labellisé Solar Impulse depuis juin 2023. En savoir plus sur https://www.voltalis.com/.
À propos de la Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise :
Grand Paris Seine & Oise, la plus importante communauté urbaine de France, s’étend sur 500 km² et compte plus de 410 000 habitants répartis dans 73 communes. Aux portes de la métropole du Grand Paris, GPS&O est au cœur des grands projets de la vallée de la Seine. Aéronautique, automobile, facture instrumentale… font de ce territoire un laboratoire d’innovations industrielles. La Communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise gère plusieurs compétences structurantes : transition écologique et énergétique, développement des mobilités, aménagement public, gestion du cycle de l’eau et des déchets, attractivité économique, touristique culturelle et sportive.
par LYFtv-LYon
le 14th Mai 2023, 10:52 pm
 
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Sujet: Services d'urgences à Lyon : les prises en charge des HCL
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Services d'urgences à Lyon : les prises en charge des HCL

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par Gilles Roman
le 13th Mars 2022, 3:48 pm
 
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Sujet: Le dossier du nucléaire au coeur du débat politique en France
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#Climat #Energie : Quand le scientifique #HubertReeves soufflait quelques idées pour les élections #présidentielles2022 - Défenseur à l'origine du #nucléaire, sa position a évolué en fonction de ce qu'il a appelé le "PFH" (Putain de Facteur Humain)
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