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21 résultats trouvés pour immobilier

par LYFtv-Loisirs
le 7th Avril 2024, 10:00 pm
 
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Communication (presse, web, médias)

Sujet: Capital sur M6 : comment faire face à la crise immobilière ?
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Capital sur M6 : comment faire face à la crise immobilière ?

Dans un contexte où l'immobilier subit des bouleversements majeurs, entre des taux de crédit en hausse vertigineuse et une offre de logements de plus en plus restreinte, l'acquisition d'une propriété peut sembler un défi insurmontable pour de nombreux ménages. Toutefois, au milieu de cette crise, des opportunités se dessinent pour les acheteurs avertis. Naviguer dans la crise immobilière : stratégies pour l'achat intelligent !
Acheter ou louer : une question de contexte
La première étape dans le processus d'acquisition immobilière est de déterminer si l'achat ou la location est le meilleur choix pour vous. Alors que les taux de crédit ont quadruplé en deux ans, rendant l'accès à la propriété plus difficile pour de nombreux foyers, la pénurie de logements dans les zones urbaines rend également la location de plus en plus compétitive. 
Que vous envisagiez d'acheter ou de louer, les décisions à prendre sont cruciales et méritent une analyse approfondie.
Pour prendre la bonne décision, il est essentiel d'évaluer vos capacités financières ainsi que vos objectifs à long terme. De plus, le contexte géographique joue un rôle crucial. Dans certaines régions où le marché de la location est plus flexible et les prix de l'immobilier moins élevés, la location peut être une option plus attrayante, tandis que dans d'autres, l'achat peut offrir une stabilité à long terme.
Immobilier neuf : négocier au milieu de la crise
La crise actuelle a également un impact significatif sur le marché de l'immobilier neuf. Avec des ventes en chute libre depuis un an, les promoteurs sont de plus en plus disposés à négocier. C'est le moment idéal pour les acheteurs potentiels de tirer parti de cette situation en recherchant des offres spéciales, des remises sur les prix ou des avantages supplémentaires tels que des équipements améliorés ou des frais de notaire réduits. Toutefois, il est essentiel de rester vigilant et de ne pas compromettre la qualité de la propriété pour des économies à court terme.
Décrocher un crédit : optimiser ses chances
Dans un environnement où les taux d'intérêt sont à la hausse, décrocher un crédit immobilier peut sembler un défi de taille. Cependant, il existe des stratégies pour optimiser ses chances d'obtenir un prêt avantageux. Tout d'abord, il est essentiel de préparer minutieusement sa demande en rassemblant tous les documents nécessaires et en améliorant sa solvabilité autant que possible. Ensuite, faire jouer la concurrence entre les différentes institutions financières peut permettre d'obtenir des conditions plus favorables. Enfin, envisager des options telles que l'apport personnel ou le recours à un courtier peuvent également être des moyens efficaces pour obtenir un meilleur accord.
En conclusion, bien que la crise immobilière présente des défis significatifs, elle offre également des opportunités pour les acheteurs astucieux. 
En évaluant soigneusement ses options, en négociant intelligemment et en se préparant adéquatement, il est possible de réaliser son rêve de propriété même dans un marché volatil.
par LYFtv-Paris
le 20th Mars 2024, 3:07 pm
 
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Annonces (applications, sites internet, startups)
Sujet: Rénovation énergétique : Hosman intègre l'application Beelly dans ses annonces
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Rénovation énergétique : Hosman intègre l'application Beelly dans ses annonces

L'innovation digitale au service de l'éco-rénovation des passoires énergétiques. Dans une démarche visant à rendre la transaction immobilière plus fluide et transparente, l'agence immobilière Hosman franchit une étape en intégrant un partenariat avec Beelly, une start-up spécialisée dans l'estimation du potentiel de rénovation énergétique. Hosman s'engage ainsi à offrir à ses clients une meilleure visibilité sur les coûts et les avantages liés à la rénovation énergétique des passoires énergétiques.
Une demande croissante
Les ventes de passoires énergétiques ont considérablement augmenté, représentant désormais 27% des ventes chez Hosman en février 2024, contre seulement 10% en octobre 2023. Face à cette tendance, Hosman a sondé ses clients pour comprendre leurs attentes : 58% des répondants ont indiqué s'intéresser au Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) pour des raisons économiques, tandis que 42% le considèrent pour des raisons écologiques.
Plus de transparence grâce à l'innovation
Pour répondre à ces attentes, Hosman a décidé d'intégrer l'outil innovant développé par Beelly. Cette solution permet aux acheteurs d'obtenir une estimation en temps réel des coûts et des bénéfices d'une rénovation énergétique, ainsi que des subventions disponibles. En projetant la performance énergétique du bien après travaux, cet outil offre une visibilité claire sur les avantages potentiels de la rénovation.
Grâce à cette intégration, les annonces Hosman fournissent désormais aux acheteurs toutes les informations nécessaires pour évaluer le potentiel de rénovation énergétique d'un bien dès leur première visualisation.
Beelly, un allié pour la rénovation énergétique
Beelly utilise une technologie avancée pour estimer le potentiel de rénovation énergétique de chaque bien immobilier en vente. En se basant sur les données brutes du DPE, Beelly lance des scénarios de rénovation pour estimer les coûts, détailler les aides disponibles et évaluer l'impact environnemental.
En fournissant des analyses détaillées et chiffrées, Beelly permet aux acheteurs de Hosman de prendre des décisions éclairées et de définir leur budget en toute confiance. De plus, les partenaires artisans de Beelly et Hosman sont prêts à intervenir pour garantir une transition fluide vers un habitat plus durable.
Des critères écologiques de plus en plus pris en compte
Outre les considérations économiques, de plus en plus d'acheteurs prennent en compte des critères écologiques dans leur décision d'achat immobilier. L'efficacité énergétique, l'isolation, les matériaux utilisés et d'autres aspects liés à la durabilité deviennent des facteurs clés dans le processus d'achat.
Une avancée majeure pour les clients
Stanislas de Dinechin, CEO et co-fondateur de Hosman, souligne l'importance de ce partenariat : « Notre collaboration avec Beelly est une avancée majeure pour les clients de Hosman, qui peuvent désormais se projeter dans leur achat avec une compréhension claire des travaux à envisager et une vision de leur impact sur l'environnement. »
De son côté, Manuel Letort, CEO de Beelly, se félicite de cette collaboration et met en avant les bénéfices environnementaux potentiels : « Cette collaboration avec Hosman va permettre d'éviter des centaines de tonnes de CO2 par an. »
par LYFtv-LYon
le 13th Février 2024, 10:54 pm
 
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Lyon actualités

Sujet: Modification du DPE petites surfaces : le simulateur de l'ADEME en ligne
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Modification du DPE petites surfaces : le simulateur de l'ADEME en ligne

Le gouvernement annonce une évolution des diagnostics de performance énergétique avec des nouveaux seuils pour DPE petites surfaces. Pour ceux qui ont réalisé un DPE récemment, un simulateur est en ligne. Il donnera lieu à une attestation en juillet 2024. Il n'y a donc pas lieu de refaire le diagnostic.
Les professionnels de l'immobilier ont fait valoir que ces logements sont statistiquement pénalisés pour des motifs objectifs et documentés liés au calcul des indicateurs par unité de surface. A ce titre, un arrêté modifiant les seuils des étiquettes DPE pour les logements d’une surface de moins de 40m² est en cours de consultation. Il entrera en vigueur à partir du 1er juillet 2024.
Si votre logement présente une surface inférieure à 40m², son étiquette DPE est susceptible d’être impactée par cet arrêté :

L’arrêté en consultation ne modifie pas la méthode de calcul du DPE, il n’est donc pas nécessaire de réaliser un nouveau diagnostic ; Vous pouvez simuler ci-dessous, à partir du numéro de votre DPE actuel, l’étiquette de votre logement sur la base de la modification proposée au sein du projet d’arrêté.
Au 1er juillet 2024, cette page vous permettra de générer une attestation permettant de justifier de la modification de l’étiquette DPE de votre logement. Cette attestation pourra être annexée au dossier de location ou de vente de votre logement afin de justifier de la performance de votre logement.
Pour plus d’information, consultez la FAQ sur le site de l'ADEME.
Quels logements seront interdits à la location à partir de 2025 ?
À compter de 2025, le niveau de performance énergétique minimal sera régulièrement rehaussé pour qu’un logement puisse être qualifié de décent et ainsi être loué sans risque. Sont concernés :
- la location vide ou meublée à usage de résidence principale du locataire ;
- le bail mobilité ;
- le bail « logement de fonction » ; il s'agit du logement loué en raison de l'exercice d'une fonction ou de l'occupation d'un emploi ;
[left]- la location consentie à un travailleur saisonnier.
Tous les logements classés G interdits à la location dès 2025
À partir du 1er janvier 2025tous les logements classés G (environ 600 000 logements en France) seront interdits à la location car leur performance énergétique sera devenue insuffisante. À cette date, pour être mis en location, il faudra donc que le logement soit au moins classé F.
Tous les appartements classés F interdits à la location dès 2028
À partir du 1er janvier 2028, en plus des logements classés G, tous les logements classés F (environ 1 200 000 logements) seront interdits à la location. À cette date, pour être mis en location, il faudra donc que le logement soit au moins classé E. Si le calendrier prévu par la loi Climat est respecté, c'est donc l'ensemble des « passoires énergétiques » qui aura été éradiqué en 2028, soit environ 17 % du parc de logement actuel. L'objectif est pour le moins ambitieux !
Tous les logements avec la classe énergétique E interdits à la location dès 2034
À compter du 1er janvier 2034, en plus des logements classés F et G, tous les logements classés E (environ 2 600 000 logements) seront interdits à la location. A cette date, le niveau de performance d’un logement décent sera donc compris entre la classe A et la classe D.
Ces échéances découlent des lois «énergie-climat» de 2019 et «climat et résilience» de 2021. Le maintien, l'accélération ou le report de tout ou partie de ces échéances dépendra des orientations prises par le Gouvernement, du niveau des aides aux travaux qui existeront à l'avenir et de la disponibilité d'une main-d’œuvre suffisante pour réaliser les travaux de rénovation énergétique. 
La durée de validité du DPE après la réforme de 2024
Il n'est à ce jour pas question de modifier la durée de validité du DPE qui restera donc certainement de dix ans. Enfin, jusqu'à une prochaine réforme...
En revanche, les DPE antérieurs à la réforme (date prévisionnelle au 1er juillet 2024) devront être corrigés, gratuitement via le simulateur de l'Ademe, soit pour avoir un meilleur classement, soit pour rassurer acheteurs et locataires, soit enfin pour savoir à quoi s'en tenir quant à ses propres obligations de travaux.
Quelle est l'importance du DPE en 2024 ?
Qu'il s'agisse de la vente ou de la location d'un logement, le diagnostic de performance énergétique joue en 2024 un rôle important sur le marché immobilier. Le DPE est à prendre en compte pour fixer le prix de vente mais si le DPE est un des éléments de la fixation du prix, son résultat n'interdit jamais de vendre.
Le DPE a une incidence sur le prix de vente d'un logement
Le diagnostic de performance énergétique a d'ores et déjà une influence sur le prix de vente d'un logement. En effet l'importance de la « valeur verte » d'un logement est grandissante du fait d'une part de la prise de conscience de l'impératif de la rénovation énergétique et d'autre part de son coût et de sa complexité. Le résultat du DPE est donc logiquement et légitimement pris en compte par le candidat acquéreur pour fixer son prix et formuler son offre d'achat. Ainsi, un appartement classé A ou B se vend en moyenne 20 % plus cher par rapport au prix d'un logement moyennement classé alors que la décote d'un appartement énergivore est de 11 %. Une maison dont le DPE est A ou B a un prix en moyenne de 15 % supérieur tandis que la décote d'une maison très mal isolée atteint 21 %.
Le classement d'un logement résulte du diagnostic de performance énergétique (DPE)
Le DPE classe les logements par niveau de performance décroissant, en fonction de leur niveau de performance énergétique et de leur performance en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Ce niveau de performance est exprimé en kilowattheures d’énergie primaire par mètre carré et par an, s’agissant de la consommation énergétique, et en kilogramme de dioxyde de carbone par mètre carré et par an, s’agissant des émissions de gaz à effet de serre induites. 
Comment fonctionne  le simulateur de l'Ademe ?
C'est facile, si vous avez un DPE en cours de validité réalisé par une entreprise assermentée, il suffit d'inscrire son code de validation pour savoir si votre DPE a changé.
* La classification de A à G de la performance énergétique du logement est définie selon la consommation totale d'énergie et la quantité d'émissions de gaz à effet de serre. Pour connaître les seuils de chaque classe du DPE (en kWh/m²/an et en kg CO2/m²/an), il faut consulter l'annexe 5 de l'arrêté du 31 mars 2021 relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments ou parties de bâtiments à usage d’habitation en France métropolitaine. La méthode de calcul du DPE, dite "3CL-DPE 2021" est fixée par l'arrêté du 8 octobre 2021 modifiant la méthode de calcul et les modalités d’établissement du diagnostic de performance énergétique.[/left]
par LYFtv-Politique
le 6th Février 2024, 8:10 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Performance énergétique : les géomètres experts "rassurés" par le gouvernement Attal
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Performance énergétique : les géomètres experts "rassurés" par le gouvernement Attal

Sur le Diagnostique de Performance Energétiqueappliqué aux petites surfaces, l’Ordre des géomètres-experts salue la proposition du Gouvernement. L’annonce de la simplification du DPE, et en particulier de la refonte du calcul pour les petites surfaces, par le Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires a fait réagir l’ensemble des acteurs de la filière du diagnostic immobilier
En juin 2023, déjà, l’Ordre des géomètres-experts identifiait cet enjeu à l’occasion de son Grand Débat consacré au DPE. À l’époque, la profession avait proposé d’amender la Loi Climat Résilience pour autoriser le Gouvernement à déroger au nouveau DPE par voie réglementaire, soit en excluant les logements inférieurs à une certaine surface du dispositif, soit en adaptant le calcul de la performance énergétique aux spécificités de ces petits logements.

« Mi-février, j’annoncerai une simplification du DPE qui permettra de conserver l’ambition du calendrier initial tout en fiabilisant le dispositif pour les petites surfaces et en actant des mesures de flexibilité qui permettront aux propriétaires et aux locataires d’aborder la date du 1er janvier 2025 avec plus de confiance », c’est par ces mots que Christophe Béchu a annoncé, ce 1er février, la volonté du Gouvernement de réformer une nouvelle fois le mode de calcul du DPE. 
Le 28 juin dernier, les géomètres-experts s’étaient penchés sur ce sujet à l’occasion de leur Grand Débat « Le nouveau DPE va-t-il provoquer l’effondrement du marché immobilier ? » auquel avait participé la Députée Marjolaine Meynier-Millefert et Robin Rivaton, CEO de Stonal et spécialiste de l’immobilier.
Les géomètres-experts acteurs de la filière du diagnostic immobilier
Garants du cadre de vie des Français, les géomètres-experts rappelaient alors qu’ils s’étaient positionnés sur les enjeux de diagnostic immobilier dès la mise en place des obligations de diagnostic plomb en 1998 puis amiante en 2006. « Les géomètres-experts possèdent les compétences techniques et juridiques en pathologie du bâtiment pour mener à bien ces missions », comme le soulignait Xavier Prigent, Vice-Président du Conseil supérieur de l’Ordre des géomètres-experts, « Il est donc logique de contribuer par notre expertise et notre savoir-faire aux débats liés au DPE aujourd’hui ».

L’inadaptation du nouveau DPE aux logements de petites surfaces, type studio, inférieures à 40 ou 30 m2, avait notamment émergé lors du débat.

Les petites surfaces condamnées de facto par le nouveau DPE ? 
En effet, en rapportant le critère de décence à l’énergie finale par mètre carré de surface habitable et par an, le nouveau DPE condamne de facto les petites surfaces d’après les géomètres-experts. «Même en ayant réalisé des opérations lourdes sur l’enveloppe du bâtiment, avec notamment l’isolation des sols, de la toiture et des façades, ces biens restent qualifiés au regard des méthodes de calcul du nouveau DPE comme peu performants sur le plan énergétique », avait ainsi alerté Michel Greuzat, géomètre-expert en Seine-et-Marne, « Le nouveau DPE entraîne un impact sur deux facteurs du logement : le ballon d’eau chaude et le chauffage électrique. La seule solution serait donc de les remplacer par un ballon thermodynamique et une pompe à chaleur, et dans un logement de petite surface ce n’est techniquement pas possible »

Une réforme du mode de calcul du DPE nécessaire
Pour éviter que les studios et les petits appartements sortent massivement du stock locatif, alors même que les besoins sur ce type d’habitation sont de plus en plus croissants, Xavier Prigent, le Vice-président du Conseil supérieur de l'Ordre des géomètres-experts, avait notamment proposé à Marjolaine Meynier-Millefert d’amender la Loi Climat Résilience pour autoriser le Gouvernement à déroger au nouveau DPE par voie réglementaire, soit en excluant les logements inférieurs à une certaine surface du dispositif, soit en adaptant le calcul de la performance énergétique aux spécificités de ces petits logements.

[left]C’est pourquoi l’Ordre des géomètres-experts salue l’annonce du Gouvernement en faveur d’une réforme nécessaire du mode de calcul du DPE pour les petites surfaces. La profession se tient à sa disposition pour contribuer tant aux échanges sur ce sujet d’envergure nationale qu’à la préservation du cadre de vie des Français, dont elle est le garant.
LES CHIFFRES CLÉS DE LA PROFESSION DE GÉOMÈTRE-EXPERT
1.874 géomètres-experts inscrits au tableau de l’Ordre
2.205 établissements répartis sur l’ensemble du territoire
Une filière de 10.000 emplois structurée essentiellement en PME
[/left]


Grand Débat de l'Ordre des géomètres-experts : "Le nouveau DPE va-t-il provoquer l'effondrement du marché immobilier ?" (intervention de Michel Greuzat à partir de la 57'34'')


À PROPOS DE L’ORDRE DES GÉOMÈTRES-EXPERTS
Depuis 1946, l’Ordre des géomètres-experts est délégataire d’une mission de service public de régulation de la profession. Personne morale de droit privé créée par la loi du 7 mai 1946, l’OGE a pour vocation à représenter la profession auprès des pouvoirs publics, veille à la discipline, et s’assure de la qualité de service fourni aux consommateurs. Il est le garant du respect de la déontologie et des règles de l’art et agit, à ce titre, en tant qu’autorité indépendante. Depuis sa création, l’institution ordinale a évolué pour devenir une véritable instance de management stratégique de la profession. 

par Gilles Roman
le 1st Novembre 2023, 8:13 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Achat immobilier : la négociation s’impose pour les particuliers
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Achat immobilier : la négociation s’impose pour les particuliers

Il existe, dans la conjoncture actuelle du marché immobilier, une incohérence entre le prix initial affiché par les agences, et le prix réel auquel un bien est finalement acheté. En effet, depuis le mois de septembre 2023, la marge de négociation atteint les 9% (contre 4,4% en 2022). La négociation s’impose comme un levier de poids pour les candidats à l’achat.
Hosman, néo-agence immobilière, et Pretto, courtier en crédit immobilier 100% digital, délivrent leurs conseils d’experts pour concrétiser son projet immobilier et apprendre à négocier dans un marché en ralentissement.
Culturellement les français n’aiment pas négocier. 
37% des acheteurs, considèrent la négociation comme  un risque de laisser passer une opportunité, et 33% d’entre eux pensent qu’il s’agit d’un passage obligé mais inconfortable. 11% affirment qu’ il s’agit même d’une  source de stress considérable pour eux. Seuls  20% des français perçoivent la négociation comme un défi excitant. A l’occasion d’un webinar dédié à un large panel d’acheteurs (450 inscrits), Stanislas de Dinechin, co-fondateur et CEO de Hosman, et Renaud Pestre, co-fondateur et co-CEO de Pretto, ont donné les clés pour négocier dans un marché immobilier en ralentissement. 
Des délais de vente plus longs dans un marché immobilier en crise 
En 2023, le volume des transactions a baissé de 20% au niveau national, la chute est encore plus marquée dans les grandes métropoles (-22% à Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux et Nantes). Le ralentissement va se poursuivre en 2024 avec un nombre de transactions estimé à 800 000 (contre 890 000 en 2023). Le ralentissement du marché s’explique par la hausse des taux d’intérêt, multiplié par 4 en 20 mois, le palier des 4% est atteint. Les conditions d’accès à l’emprunt freinent les acheteurs qui ont vu leur capacité d’emprunt diminuer de 24% et une durée moyenne de crédit qui a pris 2 ans depuis 2021 pour atteindre 23,5 ans. 
Dans ce contexte, les délais de vente s’allongent. 
Depuis le mois de septembre 2023, il faut compter en moyenne 92 jours pour vendre son bien contre 64 jours en moyenne l’année dernière à la même époque, ce qui engendre une forte augmentation des stocks de 42% en moyenne, et donc l’amorçage de la baisse des prix. A Paris par exemple, le prix au m² a diminué de 4,5% et passe sous la barre symbolique des 10 000€, mais les prix affichés ne reflètent pas encore la baisse réelle des prix, et le m² est encore affiché à 11 600€.
La négociation, un réel levier pour les candidats à l’achat 
Dans le marché actuel, malgré la baisse du pouvoir d’achat immobilier, les experts de Hosman et Pretto démontrent que la période reste propice à l’achat. L’achat d’un bien immobilier est un choix de vie qui permet de construire un patrimoine et protéger son foyer (grâce à l’assurance emprunteur notamment), il faut donc avoir une vision long terme et envisager de rester au moins 5 ans dans le bien acheté pour rentabiliser les frais associés. La baisse des prix ne va pas aussi vite que la hausse des taux immobiliers, mais il sera toujours possible de renégocier son taux à la baisse dans quelques années alors que le prix d’achat, lui, ne pourra pas être renégocié ! En parallèle, l’inflation se fera ressentir sur le montant des loyers qui vont continuer d’augmenter.
Pour les porteurs de projets, c’est donc le bon moment d’acheter s’ils sont prêts à négocier.

Les conseils pratiques de Hosman et Pretto pour acheter dans les meilleures conditions
- Être bien préparé avant la visite 
Etre au clair sur sa capacité d’emprunt et son budget, 
Avoir pré-validé son dossier de financement avec un courtier 
-Revoir sa stratégie d’achat
Visiter des biens avec des prix qui s’affichent 10 à 15% au-dessus de son budget d’achat, dans le but de négocier ensuite. Le courtier pourra également aider à obtenir les meilleures conditions d’emprunt pour optimiser sa capacité d’emprunt.
Considérer les vieilles annonces, elles restent en moyenne 66 jours sur les plateformes, ce n’est pas forcément lié à un défaut mais surement à un prix affiché trop élevé. 
-- Oser négocier
Faire des offres même si elles sont basses, cela permet d’ouvrir une discussion. Chez Hosman, la marge de négociation a presque doublé entre octobre 2022 et octobre 2023, même si 20% d’offres se font encore au prix. Depuis le mois de septembre 2023, la marge de négociation atteint les 9% (contre 4,4% en 2022). 
L’agent immobilier est là pour vous accompagner, son devoir de conseil et de transparence est d’autant plus primordial dans un marché où les offres au prix se font plus rares. 
Renforcer son offre pour assurer la solidité de son dossier. dans ce contexte de hausse des taux, les offres avec des conditions suspensives ont augmenté de 13% par rapport à 2022
- Toujours tenir compte de l’humain
Montrer son sérieux dès le premier échange avec le vendeur et comprendre ses conditions de vente 
Proposer une solution gagnant-gagnant, avec des conditions suspensives cohérentes

 
Stanislas de Dinechin, CEO et co-fondateur de Hosman déclare, “La tendance de marché est en train de s’inverser et nous sommes maintenant dans un marché d’acheteurs. C’est le bon moment pour acheter si on arrive à négocier pour atteindre le prix réel de marché. Chez Hosman, nos experts vous accompagnent dans votre projet immobilier, que vous soyez vendeur ou acheteur, pour remettre de la transparence dans les transactions.
Renaud de Pestre, co-CEO et co-fondateur de Pretto ajoute : “Les vendeurs ne baissent pas encore le prix affiché mais cèdent de plus en plus à une offre négociée accompagnée d’un dossier de financement solide. Dans quelques mois, les taux auront a priori encore augmenté. Il est encore temps de tirer son épingle du jeu, malgré les taux affichés, si on est prêt à négocier !” 

Pour visionner le  Webinar “Achat immobilier - C’est le moment de négocier“ :
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À propos de Hosman 
La néo-agence immobilière Hosman a été créée en 2018, suite à un constat simple : le prix trop élevé des frais d’agence pour un service souvent mal perçu. Elle s’est alors donné comme mission de révolutionner le marché de l’immobilier en proposant un service plus simple, plus transparent avec un tarif plus juste. Concrètement un expert immobilier local accompagne ses clients depuis l’estimation jusqu’à la signature chez le notaire, des outils digitaux développés en interne permettent de suivre la vente en temps réel et d'accélérer les délais de vente (prise de rendez-vous en ligne, réception des offres d’achat en temps réel…) et son tarif fixe permet d’économiser en moyenne 15 000 euros sur les frais d’agence. Hosman est déjà présent à Paris, Nantes, Bordeaux, Lyon, Marseille et leurs régions où elle a accompagné plus de 12 500 clients dans leurs projets immobiliers. 
A propos de Pretto
Co-fondé en janvier 2017 par Pierre Chapon et Renaud Pestre, tous deux polytechniciens, Pretto est un courtier en crédit immobilier 100% digital. Grâce à son algorithme enrichi quotidiennement, Pretto permet à ses utilisateurs de comparer les taux et conditions pratiquées par les plus grandes banques françaises et de trouver le prêt qui correspond le plus à leur profil et leur projet. A l'expérience online intuitive et sécurisée s'ajoute l'accompagnement d'un expert crédit attitré. Réactif et transparent, il coache à distance son client, négocie pour lui avec les banques et l'accompagne jusqu'à la signature. Pretto prend en charge aujourd'hui tous types de prêts. En septembre 2020, Pretto a lancé son DataLab, l'observatoire des tendances du marché immobilier, qui délivre des analyses issues de plus de 700 000 simulations annuelles. Aujourd'hui, Pretto emploie plus de 100 collaborateurs, a aidé à financer plus d'1 Mds€ en 4 ans. La société possède aussi son agrégateur d'annonces immobilières, l'application Pretto Search. Pretto a levé 1,3M€ en octobre 2017 et 8M€ en février 2019. 
Plus d'informations sur pretto.fr. Pour accéder à notre observatoire et nos analyses des taux pretto.fr/taux-immobilier.
par Emmanuel
le 28th Septembre 2023, 12:18 pm
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Immobilier : Imbroglio Gouvernemental sur les passoires thermiques
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Immobilier : Imbroglio Gouvernemental sur les passoires thermiques

Alors que le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a ouvert la voie à une révision du calendrier d'interdiction à la location des logements F et G, avant de rétropédaler, le désaccord avec le président de la République ajoute une couche d'incertitude pour les propriétaires et investisseurs. Face à ces incertitudes, Invest-Preneur, leader dans la formation à l'investissement immobilier, conseille aux propriétaires de se lancer dans le Diagnostic de performance énergétique (DPE) et la rénovation énergétique. 

Emilie Malengo et Julien Malengo, un couple d’experts en investissement immobilier, nous éclaire sur les implications de ces changements pour les propriétaires. Ils disposent de nombreux cas clients dans toutes les régions de France grâce à leur école qui accompagne de nombreux investisseurs immobiliers.
L'avenir des passoires thermiques
L'interdiction de la vente des passoires thermiques est sur toutes les lèvres. Alors que le président Macron avait exprimé sa volonté de "mettre des contraintes à certains propriétaires qui ont des logements qui ne sont plus du tout en état, où il y a énormément de gaspillage énergétique", le Gouvernement semble prendre une direction différente. "Même si le ministère du Logement a démenti cette mesure vendredi 22 septembre, il est clair que des actions sont en cours pour accélérer la rénovation énergétique," déclare Emilie Malengo. "Il est crucial pour les propriétaires de comprendre ces changements et de prendre des mesures proactives pour éviter de se retrouver pris au piège."
Invest-Preneur, leader dans la formation à l'investissement immobilier, se positionne à l'avant-garde des opportunités offertes par la rénovation énergétique. "Grâce à notre programme d’accompagnement innovant, nous guidons les investisseurs à travers les complexités du marché actuel, les préparant à saisir les avantages de la transition écologique," ajoute Julien Malengo.
Comprendre le #DPE en 2023
"Le DPE a subi des changements majeurs, notamment avec l'extension progressive de l'interdiction de location aux biens mal notés. Il est plus important que jamais de comprendre comment lire et interpréter ces diagnostics," souligne Emilie Malengo. "Avec l'entrée en vigueur de la loi Climat et Résilience de 2021, le DPE est devenu un outil réglementaire incontournable pour les transactions immobilières. Les propriétaires doivent être conscients que les logements classés G seront tous interdits à la location d'ici 2025, suivis des logements F en 2028 et E en 2034."
Conseils pour la rénovation énergétique
"La rénovation énergétique est devenue un élément incontournable de l'investissement immobilier," affirme Julien Malengo. "Plus de 500 000 logements vont être interdits à la location d’ici à 2035, sans travaux de rénovation énergétique. Les investisseurs doivent s'adapter et voir cela comme une opportunité. Les biens rénovés énergétiquement offrent une meilleure rentabilité et répondent aux attentes des locataires d'aujourd'hui."
Dépasser ses appréhensions et investir sereinement
"Le programme 'Liberté Financière 4.0' est conçu pour aider les investisseurs à surmonter leurs craintes," affirme Emilie Malengo. "Investir est un acte réfléchi. Avec le bon accompagnement et les bonnes informations, chaque investisseur peut réussir. L’investissement dans l’ancien représente une opportunité pour tout un chacun qui souhaite se lancer et participer en même temps à la rénovation et modernisation du parc locatif français."
À propos d'Invest-Preneur
Invest-Preneur est une entreprise basée en Occitanie, spécialisée dans l'investissement immobilier à très haute rentabilité. Fondée par Julien Malengo et Emilie Malengo, Invest-Preneur propose un accompagnement individualisé et pas à pas pour permettre à chacun de ses élèves d’investir sereinement et générer des revenus complémentaires grâce à l’immobilier, dès le premier jour de location et non pas à la fin du crédit. Au travers d’une approche innovante et d’une formation de qualité, Invest-Preneur vise à démocratiser l'accès à l'investissement immobilier à haute rentabilité pour tous, dans le but de diversifier ses sources de revenus.
Pour plus d'informations sur Invest-Preneur et ses services :

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par Gilles Roman
le 19th Septembre 2023, 3:49 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Crise du logement : "c'est quand même le moment d'acheter"
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Crise du logement : "c'est quand même le moment d'acheter"

Une diminution du volume des transactions, une baisse des prix à l’achat, une offre locative en régression, une attente des investisseurs quant à l’immobilier d’entreprise, autant de marqueurs rugueux pour le marché de l’immobilier qui de fait, traverse actuellement une crise. Retour sur ce constat et sur les perspectives. 
Dans le logement existant, une baisse de volume des ventes de 20 % est enregistrée dans la région lyonnaise pour une diminution des prix qui s’oriente vers 10 %, malgré des annonces respectives de 15% et 5 % en début d’année. La production de logements neufs est quasiment à l’arrêt dans la Métropole de Lyon avec une réduction des réservations d’environ 50 % par rapport à l’année dernière. L’offre locative diminue également de manière importante (jusqu’à 30 % selon les secteurs) et l’on compte désormais 1 logement pour 50 candidats. Un certain attentisme quant aux investisseurs dans l’immobilier d’entreprise s’est fait jour. Les attentes de rentabilité ont fortement augmenté, y compris pour des actifs sécurisés (6% minimum). 
En ce qui concerne les bureaux, une baisse de 27% de la demande est observée, par rapport à 2022. Les locaux industriels résistent mieux, avec une baisse de 3% de la demande. Cette classe d’actifs a bénéficié d’une bonne résilience de l’activité économique dans la région. Néanmoins, les perspectives sont peu encourageantes dans un contexte de croissance molle voire de récession. Voilà pour la situation actuelle constatée qui pourrait alarmer. 
Toutefois les motifs de tension sont connus et désormais bien évalués, avec à l’appui les données officielles : 
- une inflation élevée avec une hausse des taux d’intérêt (passés de 1% à plus de 4% en 18 mois) 
- une difficulté à obtenir un prêt avec des conditions plus drastiques imposées par les banques 
- une pénurie de l’offre en logements neufs, faute d’incitation à la construction. 
- une obligation de rénovation énergétique sous contrainte, sujet d’inquiétude pour les propriétaires et bailleurs : les logements classés F et G, interdits à la location, représentent 12,2% du parc rhodanien, soit 130 000 logements à rénover engageant la recherche d’artisans disponibles, qualifiés et agréés et un coût de travaux non négligeables pour les propriétaires. 
En outre, l’encadrement des loyers, mis en place depuis 2 ans, s’est révélé contre-productif et a fait fuir les investisseurs. Cette mesure a conduit à la sortie de 9 000 logements de la location classique pour les Grands Lyonnais … 
« Trop de régulation tue la régulation » ! 
Enfin, l’offre locative saisonnière est insuffisamment arbitrée et harmonisée dans l’offre globale. Les petites surfaces étant très impactées, il est devenu extrêmement difficile pour un nouvel arrivant, salarié, étudiant etc, de se loger dans la métropole lyonnaise. 
Face à ces défis, dans un marché immobilier en tension, la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM) Rhône et son président Pascal Pancrazio affichent un positionnement clair : défendre les intérêts des investisseurs, des clients, de ses adhérents en vue d’une sortie de crise. Donner rapidement une impulsion nouvelle à l’action et aux propositions de la FNAIM Rhône pour rassurer les acquéreurs et investisseurs encore inquiets et permettre une offre de logements à des prix raisonnables sont désormais la priorité. Au niveau national, la FNAIM (appuyée par la chambre du Rhône) œuvre avec les partenaires économiques et auprès des parlementaires et du ministre du Logement pour faire évoluer la règlementation. 
À court terme et localement, nous promouvons des solutions que les maires des communes sous tension peuvent appliquer, comme la mise en place d’une régulation des locations saisonnières à l’instar de ce qu’a institué la ville de Lyon (et de manière inédite aussi la ville de New-York), afin de créer un « choc de l’offre » et le retour de logements accessibles pour les Grands Lyonnais. La FNAIM, acteur majeur du marché immobilier depuis plus d’un siècle, apporte son expertise de terrain et reste un interlocuteur central des discussions à conduire autour de la politique du logement. 
À plus long terme, sachant que nous ne pourrons évidemment pas concentrer et loger toute la demande à Lyon, la « reconstruction de la ville sur la ville » ayant de grandes limites économiques, techniques et environnementales, nous souhaitons, aux côtés des partenaires locaux, contribuer à une réflexion promouvant un aménagement global des territoires, orientée par la temporalité (temps de trajet) et le bilan carbone. 
Si nous soutenons la politique de développement des transports mode doux de la métropole de Lyon, nous souhaitons également la prise en compte et l’intégration de l’ensemble tous les modes de transports, de manière pragmatique, adaptés aux modes de vie des habitants et des usages professionnels. 
Pour revenir au marché immobilier, des raisons d’espérer émergent : la politique monétaire commence à porter ses fruits et l’on peut espérer une sortie de crise d’ici fin 2024, avec un retour de l’inflation vers 2%. 
La FNAIM rappelle que ce contexte délicat offre toutefois de véritables opportunités d’achat. Cela devient le moment d’acheter ! Chambre
À propos de la Chambre FNAIM de l’immobilier du Rhône 
La Fédération nationale de l’immobilier, reconnaissable par son célèbre cube jaune, est aujourd’hui le premier syndicat des professionnels de l’immobilier en France et en Europe et l’interlocuteur privilégié des pouvoirs publics. Au niveau national, les adhérents de la FNAIM regroupés autour de 13 métiers de l’immobilier sont au cœur du marché immobilier : ils assurent notamment, la gestion de plus de 60 % des lots de copropriété et interviennent dans la réalisation d'une transaction sur trois dans l'habitat résidentiel existant. La FNAIM du Rhône fédère plus de 230 cabinets dans le Rhône et dans le secteur Nord-Isère. Elle a pour vocation de défendre les intérêts des professionnels de l'immobilier et ceux de leurs clients. Elle leur dispense les formations qui différencient les professionnels FNAIM par leurs compétences et la qualité de services offerts aux particuliers. Elle veille au respect, par chacun de ses membres, de son code d’éthique et de déontologie, garant de la protection des droits du consommateur.
par Gilles Roman
le 16th Septembre 2023, 3:56 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Encadrement des loyers : des propriétaires s'engoufrent dans une faille...
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Encadrement des loyers : des propriétaires s'engoufrent dans une faille...

Mis en place il y a plusieurs années dans plusieurs grandes villes de France, dont Lyon, Villeurbanne, Paris ou Grenoble, l'encadrement des loyers peine à être respecté. 42 % des logements mis en location dépassent les plafonds de loyer, et les propriétaires ont affiné leurs techniques pour éviter la baisse de loyer.
Cela fait environ quelques mois que le marché de l'immobilier subit un ralentissement. En cause, le crédit. Il est plus difficile d'obtenir un prêt aujourd'hui qu'en début d'année et ce le sera encore plus demain ! D'où un nombre d'acheteurs qui baisse. Dans ce contexte, vendre son bien présente une difficulté supplémentaire, mais qui n'est pas insurmontable. À condition d'afficher le bon prix.
par AgenceFPA
le 6th Septembre 2023, 11:32 am
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Des bâtiments flambants neufs et bas carbone pour Daikin Lyon
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Des bâtiments flambants neufs et bas carbone pour Daikin Lyon

C'est un érable du Japon qui a été choisi pour sa durabilité, sa résistance à de forts écarts de température, son ampleur pour offrir des îlots de fraîcheur et à son origine, commune à celle du groupe Daikin. Vaillance Immobilier accompagne Daikin France pour son implantation sur EverEst III, projet emblématique de la ZAC EverEst développée par la SERL sur la commune de Genas.
Déménagement à venir
Afin d'accompagner la croissance de ses activités et d'offrir à ses collaborateurs un meilleur confort de travail au sein d'aménagements modernes et durables, Daikin annonce le déménagement futur de son agence commerciale de Lyon ainsi que de son service technique et son centre de formation. Historiquement basés sur la commune de Bron, à proximité de l'aérodrome, les locaux seront transférés vers Genas, dans un nouveau bâtiment réalisé par le promoteur local Vaillance Immobilier, EverEst III.
Ce futur immeuble qui sera occupé en location par Daikin, s'inscrit dans une opération immobilière plus large, et se caractérise par son exemplarité environnementale. Actuellement, les travaux de terrassement battent leur plein, avant l'organisation de la cérémonie du Premier Arbre, organisée le 05 septembre prochain au lancement des travaux de gros oeuvre, en présence de toutes les parties-prenantes de l'opération.
Plus de confort pour un effectif en croissance continue
Au fil du temps et de l'évolution de la règlementation en faveur de la décarbonation et des réductions de consommations énergétiques, la technologie pompe à chaleur s'est largement démocratisée sur le territoire français. Galvanisé par un contexte favorable, Daikin France n'a cessé de grossir au cours de ces derniers années tant en termes d'activités que d'effectifs, imposant peu à peu la pompe à chaleur comme l'équipement N°1 pour la fourniture de chauffage décarboné et faiblement consommateur d'énergie.
Dans sa volonté de poursuivre le développement de son maillage géographique, pour se tenir prêt de ses clients installateurs et utilisateurs finaux, Daikin compte un réseau de 12 agences régionales dispersées dans toute la France, dont plusieurs pourvues de centres de formation pour répondre aux besoins locaux  de ses clients professionnels.
A Lyon, plus importante agence de Daikin France en province du fait de l'intégration du service commercial, du service technique, de la hot-line et du centre de formation national, Daikin France nourrit d'importantes ambitions et prévoit le recrutement de nombreux collaborateurs. Pour toutes ces raisons et celle de vouloir garantir une qualité de vie au travail pour ses collaborateurs, la direction de Daikin France a pris la décision de déménager toutes les activités de son agence lyonnaise vers un site plus spacieux et plus moderne.
L'opportunité s'est présentée à elle au lancement d'une nouvelle opération immobilière portée par Vaillance Immobilier, symbole de construction durable et éco-énergétique.
Le projet EverEst III, situé dans la commune de Genas, bénéficie d'une situation géographique privilégiée, offrant une accessibilité routière et autoroutière facilitée. Ce programme mixte Tertiaire Activité développe 20 000 m² de bureaux, 4 516 m² d'activités et 700 m² de services, répartis sur 6 bâtiments.
Le site proposera, en son centre, un pôle de services indépendant comprenant un amphithéâtre pouvant accueillir jusqu'à 162 personnes, une salle de sport et un service de restauration rapide. Chaque toiture disposera d'une large surface de panneaux photovoltaïques pour couvrir une partie des besoins énergétiques des bâtiments.
Vaillance Immobilier, le bureau d'études Axy Ingénierie, l'installateur CFluide et Daikin sont actuellement à pied d'oeuvre pour réaliser l'étude de l'installation thermique des 6 bâtiments de l'opération. Il s'agit d'équiper 3 bâtiments d'activités et 3 bâtiments de bureaux de VRV 3 tubes au R-32 à récupération d'énergie. Il s'agit de la dernière génération de pompes à chaleur tertiaires, de type VRV, développées par Daikin pour proposer un équipement bas carbone, à l'aide du réfrigérant R-32, à faibles consommations énergétiques et parfaitement sécurisé grâce à l'intégration de plusieurs organes dédiés, et certifiés.
Le projet EverEst 3 sera doté :
- d'une centrale solaire de 500 Kwc.

- de bornes de recharge électrique sur 50% des places de stationnement

- de généreuses terrasses ombragées sur l'ensemble des niveaux.
Tous les locaux techniques ont été intégrés à l'intérieur du bâtiment pour garantir une meilleure intégration de l'immeuble dans son environnement urbain.
La cérémonie du « Premier Arbre » du 05 septembre prochain symbolise toute la dimension environnementale et végétale insufflée par le promoteur Vaillance Immobilier pour cette opération, dont la construction s'inscrit dans les exigences très strictes dont le label BREEAM Very Good.
A PROPOS DE DAIKIN FRANCE
Spécialisé dans la fabrication de solutions hautes performances de chauffage, de rafraîchissement, de ventilation et de réfrigération fonctionnant aux énergies renouvelables, le groupe DAIKIN intervient sur les marchés du résidentiel, du tertiaire et de l'industrie.
La filiale française du groupe, Daikin Airconditioning France, fondée en 1993, est basée à Nanterre (92). Depuis 2000, Daikin est leader sur le marché des solutions de génie climatique en France. Daikin Airconditioning France couvre l'ensemble du territoire avec l'implantation de 13 agences commerciales, 4 antennes locales, 7 plateformes techniques, 6 centres de formation et 3 pôles logistiques.
RETROUVEZ LES VISUELS EN HD A L'ADRESSE SUIVANTE (en bas de page) : https://fpa.fr/2023/daikin-premier-arbre-everest/
par LYFtv-Politique
le 1st Août 2023, 4:09 pm
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Immobilier : il est clair que les vendeurs doivent baisser leurs exigences
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Immobilier : il est clair que les vendeurs doivent baisser leurs exigences

La Banque Centrale Européenne (BCE) a augmenté ses taux directeurs pour la neuvième fois consécutive en un an. Le taux de refinancement atteint désormais 4,25 %, alors qu'il était de 0 % au début de 2022. Coup dur pour les acheteurs...
Avec cette nouvelle augmentation, on peut d’ores et déjà prédire que les taux de crédit immobilier – qui sont actuellement en moyenne de 3.95 % - vont continuer de monter et certainement atteindre 5 % d’ici janvier 2024.

La capacité d'emprunt des acquéreurs continue de chuter

Une hausse de 1 % du taux d'intérêt se traduit par une réduction significative du montant empruntable. Par exemple, avec une mensualité de 1 000 € et un taux d'intérêt de 4 %, un acheteur peut emprunter jusqu'à 165 000 €. Quand le taux sera passé à 4,5 %, le même acheteur ne pourra plus emprunter que 158 000 €, et d’ici début 2024, avec des taux à 5 %, 151 000 €.
En l’espace de six mois, la capacité d’emprunt va donc encore baisser d’environ 8 %.
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Les taux d'intérêt ne cessent de progresser depuis le début de l'année. :copyright: PAP
Début 2022, les taux d’intérêt étaient d’environ 1,5 % en moyenne. Avec des taux à 5 % début 2024, la perte de capacité d’emprunt en 2 ans sera de 27 %. Il n’est donc pas surprenant que le marché immobilier tourne actuellement au ralenti : certains acheteurs sont contraints de revoir leurs ambitions à la baisse, en particulier dans les zones où les prix sont élevés, ou de retarder leur projet d'achat immobilier.

L’impact sur les prix immobiliers reste modéré

Pourtant, la baisse des prix immobiliers reste actuellement modérée (environ 1 à 2 % à l’échelle nationale), et ne compense pour l'instant pas la perte de capacité d'emprunt. Pourquoi les prix tardent-ils à baisser ?

Les primo-accédants ne représentent pas tout le marché

Tout d’abord, seuls les primo-accédants sont pleinement impactés par la hausse des taux. Or, ceux-ci sont minoritaires sur le marché, et particulièrement en ce moment. Les primo-accédants, en effet, sont quasiment exclus du crédit en ce moment à cause des exigences des banques sur l’apport personnel.
Le marché immobilier continue donc de tourner avec les « secundo-accédants » : ceux qui ont déjà acheté auparavant, et qui n’empruntent qu’une partie du budget dont ils ont besoin. D’après l’Observatoire PAP, il y a même 1 acheteur sur 3 qui n’emprunte pas du tout et qui finance intégralement son achat par la revente d’un autre bien.

Les hausses de salaire atténuent légèrement l’impact

De plus, l'impact de la hausse des taux sur la capacité d'emprunt est modéré par la hausse des salaires. Selon les chiffres du ministère du Travail, les salaires de base en France ont augmenté de 3,9 % en 2022, et les projections sont de 5 % pour 2023.
Début 2024, la perte de capacité d’emprunt par rapport à début 2022 ne serait donc pas de 27 %, mais de 20 % en tenant compte de la hausse des salaires, ce qui reste très élevé.

Les vendeurs résistent

Enfin, les vendeurs sont conscients de la situation, et certains décident de reporter leur vente, ou au moins de prendre leur temps, plutôt que de baisser leur prix. Cette phase d’ajustement est classique, et d’ici la fin de l’année la baisse des prix pourrait se renforcer quand certains vendeurs se retrouveront dans l’urgence.

Quand les taux vont-ils finir par redescendre ?

La Banque Centrale Européenne utilise la hausse des taux pour ralentir l'inflation, qui reste actuellement élevée. Toutefois, de nombreuses voix commencent à s'élever contre cette stratégie monétaire. Le remède pourrait être pire que le mal !
Il est donc possible que la BCE marque une pause pour laisser à l'économie le temps d'encaisser. En 2024, on peut espérer que les taux se stabilisent. Il est en revanche improbable que les taux reviennent aux niveaux qu'on a connu ces dernières années, qui étaient, il faut bien le dire, historiquement bas.

Faut-il acheter maintenant ou attendre ?

C’est la grande question ! Et la réponse est finalement assez simple… Plus vous empruntez, moins il faut attendre :
Prenons un exemple concret pour voir comment les différents phénomènes (hausse des taux, hausse des salaires, baisse des prix immobiliers) se conjuguent. L’exemple est volontairement simplifié (le coût d’assurance, les frais de notaire ne sont pas pris en considération) pour plus de clarté.
Imaginons que vous vouliez acheter un bien d’une valeur de 300 000 €, et que vous disposez déjà de 100 000 €. Vous devez emprunter 200 000 €. Aujourd’hui, si vous obtenez un crédit à 4 % sur 20 ans, votre mensualité sera de 1 212 €. D’ici début 2024, imaginons que la valeur du bien passe à 290 000 € (ce qui représente une baisse de prix de 3,3 % en 6 mois), vous n’avez plus à emprunter que 190 000 euros... mais avec un taux à 5 %, votre mensualité sera de 1 254 €, donc plus élevée. Pour avoir la même mensualité, il faudrait que la valeur du bien passe à 283 000 €... soit une baisse de prix de presque 5,6 % en quelques mois. Le pari est risqué !
Comme on peut le constater, la hausse des taux d’intérêt est telle qu’il est difficile de la compenser par les autres facteurs.

Achetez maintenant... mais négociez !

Étant donné que la hausse des taux d'intérêt est une certitude, les vendeurs se doutent que la situation va continuer de se corser. Vous avez donc des arguments pour négocier. Le meilleur plan est donc probablement d'obtenir aujourd'hui une baisse de prix de 5 %, tout en empruntant aux taux actuels !
Attention, tout dépend évidemment du niveau de prix auquel se situe le vendeur : certains ont déjà baissé leur prix pour tenir compte de la situation.

Étudiez votre marché immobilier local

Si vous n’empruntez pas ou peu, vous avez peut-être intérêt à attendre pour bénéficier des autres facteurs tels que la hausse des salaires ou la baisse des prix. Mais dans ce cas, soyez vigilants à votre marché local ! Certains marchés n’évoluent pas à la baisse, malgré le contexte actuel, car ils visent des populations qui ne sont pas très impactées par les difficultés de financement, ou parce que la tension sur l’offre est telle qu’elle maintient les prix.
Cet article a été publié par Corinne Jolly le 27 juillet 2023
Présidente chez PAP.fr
par Gilles Roman
le 10th Juin 2023, 1:04 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Immobilier : vous cherchez un bien à acheter ? PAP vous accompagne !
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Immobilier : vous cherchez un bien à acheter ? PAP vous accompagne !

Définir son projet - Construire son financement - Trouver un bien - Estimer et négocier - Le processus d'achat - Simuler son financement - Calculer ses capacités d'emprunt... PAP (Particuliers A Particuliers), propose un "guide gratuit pour bien acheter"
#logement #urbanisme #immobilier
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par Gilles Roman
le 19th Mai 2023, 9:03 pm
 
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Sujet: Baromêtre immobilier : au printemps 2023, les acheteurs ont repris la main
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Baromêtre immobilier : au printemps 2023, les acheteurs ont repris la main

Selon le baromètre Meilleurs Agents de l' #immobilier, "les acheteurs ont repris la main" (dans la négociation des prix -ndlr) durant les premiers mois de l'année 2023. Une évolution qui tend à s'accentuer dans la durée.
- Des crédits toujours difficiles à obtenir. 
- Des transactions qui traînent en longueur. 
- Des prix qui stagnent. 
- Et des marges de négociation qui s’amplifient. 
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Partout en France, les acheteurs négocient les biens à la baisse
Partout, les acheteurs négocient les prix à la baisse. Paris ne fait pas exception. Oublié, le regain d’activité qui accompagne traditionnellement le retour des beaux jours. Sur l’ensemble du territoire métropolitain, les prix continuent à baisser (-0,1% en moyenne) avec de fortes disparités selon les secteurs. Paris poursuit sa lente dégringolade avec une nouvelle baisse de prix de -0,5% en avril. Les zones rurales reprennent du poil de la bête (+0,6%).
Si les villes du Top 10 profitent des premiers rayons de soleil, certaines voient leur prix de vente moyen baisser : Bordeaux (-1%), Montpellier (-0,7%), Lyon (-0,7%) et Toulouse (-0,2%)
Les hausses de prix observées à Lille (+0,1%), Nantes (+0,3%) ou Marseille (+0,4%) notamment sont bien loin des performances habituellement enregistrées à cette période de l’année. 
Seule grande ville à échapper à ce phénomène de baisse depuis le début de l’année… Nice.
Avec 2,1% d’augmentation depuis janvier, la capitale des Alpes-Maritimes tire son épingle du jeu grâce à une clientèle essentiellement composée de secundo-accédants, moins dépendants aux crédits et, pour certains, à la recherche de résidences secondaires.
Les marges de négociation s’amplifient
"Avec des biens qui partaient comme des petits pains ces dernières années, on n’avait pas vraiment le temps de souffler. Encore moins de négocier. Si on voulait être sûr de ravir le logement tant convoité, il fallait se décider en quelques heures. Au risque, sinon, de le voir nous passer sous le nez. Cette époque-là aussi est révolue. Les acquéreurs ont repris le pouvoir et les négociations à la baisse sont désormais légion. Bien sûr, selon les zones géographiques, on ne négocie pas de la même façon".
Dans la capitale, la négociation concerne désormais près de deux transactions sur trois ! Seul un bien sur trois se vend au prix (original -ndlr), contre un sur deux en 2020. En moyenne, la négociation atteint 3,3% du prix de vente à Paris. 
Pour réussir à vendre leur bien aujourd’hui, les vendeurs doivent accepter de revoir leurs prétentions à la baisse. Soit immédiatement au moment de la mise en vente, soit au terme de discussions parfois longues et anxiogènes.
Conséquence immédiate : les délais de transaction s’allongent. 
Deux mois sont désormais nécessaires pour trouver un acheteur dans la quasi-totalité des dix plus grandes villes de l’Hexagone, contre à peine quarante jours en 2020.
L’instabilité financière, la difficulté pour de nombreux porteurs de projets à décrocher un prêt, la hausse régulière des taux de crédit, la problématique du taux d’usure… voilà qui crée un contexte peu favorable au marché immobilier. Selon Meilleurs Agents, le volume mensuel de ventes a reculé de 15% en un an (mars 2023).
La production de crédits immobiliers a, elle, diminué de 13% en un an. Et continue de se dégrader de mois en mois : 14,6 milliards d’euros ont été accordés en février 2023, contre 23,1 milliards un an plus tôt (-37%).
De multiples promesses de ventes pourraient bien ne jamais se concrétiser. Et le seuil symbolique du million de transactions semble aujourd'hui inatteignable.
par Gilles Roman
le 28th Avril 2023, 12:53 pm
 
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Archives LYFtvNews - articles + de 90 jours
Sujet: Notaires du Rhône : les vrais chiffres de l'immobilier dans le département
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Notaires du Rhône : les vrais chiffres de l'immobilier dans le département

La Chambre des Notaires du Rhône a présenté jeudi 27 avril les chiffres de l’immobilier sur Lyon et le département à fin décembre 2022. Ce point effectué sur les 12 derniers mois montre une baisse très nette des volumes des ventes de l’ordre de - 8,3%, tous biens confondus.
Si les prix sont encore en légère hausse à fin 2022, la baisse est clairement amorcée depuis janvier 2023.
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Notaires du Rhône - Le point sur l'immobilier dans la Métropole de Lyon -
Les programmes neufs enregistrent quant à eux une véritable chute pour les réservations de l’ordre -20% (extérieurs Métropole), -17% (Métropole de Lyon), -19% pour les extérieurs de la Métropole pour l’année 2022 avec une accentuation très marquée de cette baisse pour le 1er trimestre 2023 par rapport au 1er trimestre 2022 de - 40 % (-43% pour la Métropole de Lyon, -15% pour les extérieurs de la Métropole et -35% pour l’agglomération lyonnaise). (Selon les derniers chiffres FPI et CECIM)
L’inflation, la hausse des prix de l’énergie, la hausse des taux des #crédits immobiliers, l’encadrement des loyers et les conséquences des interdictions de louer des « passoires thermiques » pourraient impacter plus encore le marché dans les prochains mois.
Des volumes de ventes en très nette baisse, tous biens confondus 
Le volume des ventes a chuté de - 8,3 % sur le département du Rhône sur l’année 2022. - 6,8 % pour les appartements anciens, - 4,3% pour les appartements neufs, - 14% pour les maisons anciennes et - 8,8% pour les terrains à bâtir.
Si les prix ont augmenté sur les appartements anciens (+4,1%) et maisons anciennes (+5,1%) sur l’ensemble de l’année 2022, la tendance est à la baisse depuis janvier 2023.   
Les ventes d’appartements anciens ralentissent sur le département et à Lyon
Les prix des appartements anciens situés dans le Rhône ont tendance à stagner (+0,3%) contre + 5,1% en province. Le prix médian* dans le Rhône (4 080 €) est toujours en hausse (+ 3,1%) avec un tassement depuis janvier 2023.
Il est toujours une fois et demie supérieur au département de l’Isère et plus du double par rapport à la Saône et Loire.
Le prix médian à Lyon reste stable à 5 110 € le m2. Il est de 3 560 € sur la #métropole de #Lyon et de 2 440 € sur la région de Villefranche sur Saône.
Concernant les arrondissements de Lyon, les quartiers de Lyon 2, Lyon 4, Lyon 6 et Lyon 9 enregistrent encore cette année une légère baisse même s’ils restent les plus chers. La typologie d’appartements anciens n’a pas évolué. Le T3 reste toujours plus attractif.
Le volume des appartements neufs en baisse avec des prix toujours en hausse compte tenu notamment de la forte hausse du coût de construction lié à l’augmentation des matières premières.
Si le nombre de transactions portant sur les appartements neufs continue de chuter (-4,3%) en toute logique eu égard au manque d’offres liés notamment au nombre de permis de construire accordés, les prix quant à eux augmentent très légèrement de +2,7 %. A noter en revanche, que les acquéreurs se concentrent davantage sur de plus petites surfaces, 2 et 3 pièces.
Le prix médian est plus haut à Lyon (6 440 € le m2) que dans le Rhône (5 030 €)
Maisons anciennes : des volumes en baisse mais des prix en hausse
Si la vente de maisons anciennes a baissé de 14 % sur le département du Rhône, les prix ont en revanche augmenté de + 8% en 2022 avec un prix médian de 399 600 €. Le prix médian le plus haut (684 800 €) revient toujours à Caluire et Lyon avec une grande disparité au niveau des communes.
Le prix des terrains à bâtir toujours en hausse (+13%)
Concernant les terrains à vendre, les surfaces inférieures à 600 m² sont les plus vendues. Ce sont aussi celles qui sont le plus présentes sur le marché, et ce dans tout le département. Le foncier disponible se raréfiant, les prix pour l’instant restent en hausse.
1/3 des acheteurs est un cadre supérieur trentenaire
Le profil des acheteurs ne change pas. L’acquéreur est pour 1/3 un cadre supérieur de moins de 40 ans, qui achète pour une durée inférieure à 5 ans. Les acheteurs sont dans 82% des cas issus du département du Rhône.
le prix médian n’est pas la moyenne des prix. Il indique que la moitié des transactions ont été conclues à un prix inférieur et l’autre moitié à un prix supérieur du prix médian.
Pour aller plus loin :  le guide "savoir vendre son bien immobilier" dans #LaboutiqueLYFtv

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par Gilles Roman
le 19th Avril 2023, 1:00 pm
 
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Immobilier, Achats & Ventes
Sujet: Baromêtre de l'immobilier dans le Sud Est de la France
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Baromêtre de l'immobilier dans le Sud Est de la France

Les prémices d’une contraction du marché #immobilier à court terme se font sentir en Auvergne Rhône-Alpes. Pour autant, l’effondrement n’est pas du tout un sujet d’actualité pour les villes de la région selon le baromètre Guy Hoquet l'immobilier publié ce 11 avril 2023, qui analyse l’offre publiée sur plus de 15 portails d’annonces immobilières de professionnels et de particuliers. Entre le premier trimestre 2023 et celui de 2022, l’offre de logements proposés à la vente progresse de +7,9% et les prix augmentent de 2,8%.
DANS LA RÉGION SUD-EST, LE MARCHÉ RESTE DYNAMIQUE 
Au sommaire :
1. Un atterrissage en douceur
2. Les acquéreurs se font désirer
3. Davantage de biens à vendre
4. Vers une baisse des prix ?
5. La pierre, une valeur refuge dans la région Sud-Est
Le point de vue de Séverine Amate, porte-parole de Guy Hoquet l'Immobilier
Cette augmentation des prix sur la région (+2,8%) reste en dessous de la valeur moyenne nationale constatée sur un an : +4,3%. Le stock de biens à la vente qui s’est nettement recomposé avec +7,9% semble avoir un effet de ralentissement sur les prix, ce qui est loin d’être le cas partout en France.”
“En 12 mois, la région Sud-Est voit le nombre de biens à la vente progresser de +22,2% et se classe en 2ème position derrière la région des Hauts-de-France avec +24,1%. Un stock reconstitué dans les Hauts-de-France qui se répercute sur les prix, avec +0,8% en un an. On voit clairement un effet régulateur qui s’installe doucement mais sûrement, au profit des futurs acquéreurs ? La question du financement reste essentielle”
La vision de l'experte, Anne Monard-Bretin, directrice d’agence Guy Hoquet à Lyon.
« Certains ménages ne parviennent plus à être financés. D’autres préfèrent reporter leur projet tant leurs capacités d’endettement ont été grevées par la remontée des taux »
« Les acquéreurs encore présents prennent quant à eux plus de temps avant de faire une offre. Par conséquent, les délais de vente s’allongent et les stocks de biens en vente regonflent. »
« Nombre propriétaires bailleurs cherchent aujourd'hui à s'en débarrasser. Mais ce type de biens trouve aujourd’hui difficilement preneur »
« Cette pénurie produit des effets en cascade : le marché du neuf n’alimente pas assez le marché de l’existant, favorisant la hausse des prix à terme »,         
« Les acquéreurs peuvent négocier plus facilement, saisir des opportunités car la concurrence est moins féroce »
par Gilles Roman
le 14th Mars 2023, 10:09 pm
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Baromêtre de l'immobilier : les prix baissent partout, surtout à Lyon !
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Baromêtre de l'immobilier : les prix baissent partout, surtout à Lyon !

Selon le baromêtre de Meileurs agents, "le retour des beaux jours sur une large partie de la France peut être trompeur : pour le marché #immobilier, le printemps n’est pas encore là". Les prix continuent de baisser et la production de crédit s’est effondrée. Une lueur d’espoir jaillit pourtant grâce aux délais de vente qui se raccourcissent progressivement. Avec Nantes, #Lyon enregistre la plus forte baisse ce mois-ci (-1%).

Prix de l' #immobilier : des baisses partout en France
On prend les mêmes et on recommence ? Quelque chose comme ça, oui. Le mois dernier, notre baromètre faisait état d’un hiver hyper rigoureux avec des prix immobiliers qui stagnaient dans les grandes villes ; Paris et l’Île-de-France qui plongeaient ; et même des zones rurales en berne. Malheureusement, l’approche imminente du printemps ne semble pas bousculer cette tendance un peu morose. Depuis début janvier, les prix immobiliers ont ainsi reculé de 0,2% en moyenne au niveau national. 
Fait plus marquant encore : depuis fin 2022, tous les segments du marché ont basculé dans le rouge. Un phénomène extrêmement rare que nous n’avions pas observé depuis... 14 ans Si les prix immobiliers à Paris continuent de flancher (-0,4% en un mois), il en va désormais de même dans les dix autres plus grandes villes de France (-0,4%), mais aussi dans le Top 50 (-0,1%). Même les zones rurales qui portaient le marché français depuis le début de la pandémie en 2020, accusent une nouvelle baisse ce mois-ci (-0,4%).
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Marseille flanche, Lyon s’écroule, Nice s’envole


Le mois de février aurait pourtant dû apporter les premières éclaircies annonçant la poussée printanière. Il n’en est rien. L’hiver 2023 étant beaucoup plus rigoureux et long que prévu. Les premières à faire les frais de ce violent coup de froid ? Les grandes métropoles françaises, déjà fragilisées par la crise sanitaire. 


Marseille, qui connaissait jusqu’à présent une progression spectaculaire (+11,2% en un an) enregistre elle aussi un recul de 0,4% en février. La palme de la plus forte baisse est partagée par  Lyon et Nantes qui ont toutes deux vu leurs prix chuter d’1% en un mois et de plus de 2% depuis le début de l’année (-2,4% dans la préfecture du Rhône et -2,2% dans celle de Loire-Atlantique).


Dans ce marasme, seule Nice fait figure d’exception, comme le mois dernier, avec des prix immobiliers en hausse de 0,7% depuis le 1er février. 


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La production de crédit a chuté de 30% en un an


Ces baisses de prix vous inquiètent ? Attendez qu’on vous parle de la production de crédit. En décembre 2022, les banques françaises ont accordé 30% de crédits en moins par rapport à décembre 2021, selon les données de la Banque de France. Certains pointent du doigt le taux d’usure qui compliquerait l’accès au crédit. Or la réévaluation mensuelle de ce taux jusqu’en juillet prochain ne devrait hélas pas changer la donne.


Certes, cette décision apparaît comme une bonne nouvelle pour certains dossiers qui se retrouvaient bloqués par ce mécanisme de protection des emprunteurs. Mais la hausse rapide des taux qui devrait l’accompagner ne manquera pas d’avoir des conséquences sur la solvabilité de nombreux candidats à l’achat qui, de fait, se retrouveront mécaniquement exclus à leur tour du crédit. 


Pour rappel, dans des pays comme la Belgique ou l’Allemagne où ce système de taux d’usure n’existe pas, les taux d’intérêt des prêts sur 20 ans ont bondi respectivement de 2,5 et de 2 points entre janvier 2022 et janvier 2023 contre seulement 1,5 point en France au cours de la même période. Le risque ? Une remontée brusque des taux d’emprunt depuis l’annonce des changements apportés au calcul du taux d’usure. Au point que, longtemps envisagé comme le scénario du pire, un taux d'intérêt de 4% sur 20 ans d’ici fin 2023 est aujourd’hui plus que plausible.


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Moins d’un million de transactions en 2023


Surtout, les banques resteront toujours aussi frileuses dans un contexte économique chahuté (inflation plus forte que prévu notamment). En atteste la situation en Belgique et en Allemagne où malgré l’absence du dispositif de taux d’usure, la production de crédits a là aussi été revue drastiquement à la baisse (respectivement -36% et -43% de production mensuelle entre décembre 2021 et décembre 2022).


En France, le volume de prêts immobiliers pourrait donc rapidement retrouver son niveau d’avant 2016 et la mise en place de la politique accommodante de la Banque centrale européenne qui a soutenu le système économique pendant près de sept ans. Si tel était le cas, cela pèserait dès cette année sur le nombre de transactions qui passerait sans conteste sous la barre symbolique du million. 


Des délais de vente porteurs d’espoir ?


Vous nous connaissez, on ne pouvait pas vous quitter sans vous laisser une note d’espoir. Et ce sont les délais de vente qui nous l’offrent, cet espoir. Dans les principales agglomérations françaises, ces délais se raccourcissent progressivement. Depuis novembre, il faut ainsi une semaine de moins en moyenne pour concrétiser une transaction, dont quatre jours gagnés au cours du seul mois de février. 


Tag immobilier sur LYFtvNews Info_baro_MA_MARS23_De%CC%81lais


Un signal positif pour le marché immobilier, qui témoigne d’une volonté d’achat toujours présente et d’une acceptation de la part de certains vendeurs d’ajuster sans attendre leurs prix à la baisse. Cela augure même de l’arrivée d’un printemps de l’immobilier, certes plus tardif et plus timide qu’à l’accoutumée. 


Malgré un contexte global de décroissance tant sur les prix que sur les volumes, certains porteurs de projets devraient concrétiser leur rêve d’achat au retour des beaux jours. 

par Gilles Roman
le 16th Décembre 2022, 12:32 pm
 
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Sujet: Se loger à Lyon : les prix en fonction des stations de métro
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Se loger à Lyon : les prix en fonction des stations de métro

Cartographie Quels loyers à Lyon en fonction du métro L’agence de location et de gestion en ligne Flatlooker publie une carte des loyers placés en fonction des stations de métro dans la ville de Lyon. L’étude a été menée sur des T2 de 35 m2, à partir de 175.000 annonces diffusées sur les portails immobiliers en 2022. Elle permet de mettre en évidence de fortes disparités d’une station à une autre.
Analyse :
A Lyon, ce n’est pas parce qu’on s’éloigne du centre-ville que le loyer est moins cher. Sur la ligne D, les loyers moyens à la station Laënnec (au sud-est de Lyon) sont de 630€. Ils font partie des plus élevés de la ville. C’est notamment là qu’on retrouve la faculté de médecine. La station aux loyers moyens les plus chers est Masséna (660€). Les stations avec les loyers les moins chers sont de leur côté au bout de la ligne A : Cusset (480€), Laurent Bonnevay (480€) et Vaulx-en-Velin
A propos de Flatlooker
Fondée en 2016 par Nicolas Goyet, CEO et Nicolas Parisot, COO, la start-up Flatlooker permet de trouver un logement sans avoir à bouger de son canapé !  Grâce à la visite 360° et aux vidéos 4k, les futurs locataires peuvent visiter un logement comme s'ils y étaient. Visites en lignes hyper détaillées, dépôts de dossiers locatifs en ligne, signatures électroniques, paiements et gestion des incidents dématérialisés, Flatlooker apporte des solutions dématérialisées particulièrement avantageuses pour les propriétaires. Côté propriétaires, Flatlooker assure la gestion locative à un prix 25% en deçà d'une agence immobilière classique tout en proposant une qualité de service supérieure. Forte de son succès, la start-up qui a levé 1,5 millions d'euros en 2018 se compose aujourd'hui de 50 salariés et est active dans 30 villes, avec plus de 3.200 appartements en gestion.
par Gilles Roman
le 22nd Mars 2022, 5:03 pm
 
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Sujet: Achat vs Location ? à Lyon, pour le même prix il vaut mieux louer !
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Achat vs Location ? à Lyon, pour le même prix il vaut mieux louer !

Exclu SeLoger // À Lyon, on a plus grand en louant son logement plutôt qu’en le achetant (mais ce n'est pas le cas dans la plupart des villes de France) ! Contre toute attente, être propriétaire de sa résidence principale plutôt que d’en être locataire permet le plus souvent de gagner en superficie.
Le recul global du pouvoir d’achat immobilier des Français ne saurait, en effet, masquer les inégalités locales. Pour 1 000 € déboursés chaque mois, où vaut-il mieux acheter son logement ? Et au contraire, où est-il plus avantageux de le louer ? 
Mètres carrés : un ratio meilleur à l’achat qu’à la location
Certaines idées reçues ont décidément la peau dure… Parmi celles-ci, on retiendra la croyance selon laquelle l’un des avantages de la location par rapport à l’achat immobilier tient au fait qu’en louant, on peut espérer profiter de davantage de mètres carrés qu’en achetant. En d’autres termes, pour un même budget, il serait le plus souvent impossible d’acheter l’équivalent - en termes de superficie -  de ce qu’on loue. Aussi répandue soit-elle, cette idée reçue mérite toutefois qu’on lui torde le cou. Et pour cause, il ressort d'une étude que nous avons réalisée que dans plus de la moitié (55 %, pour être précis) des villes de France de plus de 30 000 habitants, il est plus avantageux d’acheter sa résidence principale que de se contenter de la louer. Dans plus d'un cas sur deux, on gagne, en effet, de la surface en achetant. 
En effet, dans une majorité des villes de l’hexagone et en contrepartie d’un effort financier de 1 000 € par mois, ceux-ci étant dépensés soit en mensualités de crédit, soit en loyers, vous pouvez vous offrir davantage de mètres carrés en achetant votre logement plutôt qu’en le louant. Si ce montant (1 000 €/mois) peut vous sembler disproportionné, sachez que nous l’avons choisi afin de pouvoir comparer, toutes choses étant égales par ailleurs, les marchés immobiliers de métropoles comme Lyon à ceux de communes comme Charleville-Mézières ou Montluçon. Dans la quasi-totalité des communes étudiées, l’ascendant du pouvoir d’achat immobilier sur la capacité locative s’explique par une relative ténuité des prix de vente (pas plus de 3 012 €/m²) relevés localement.
Dans 26 % des villes de plus de 30 000 habitants dans lesquelles mieux vaut acheter que louer, le gain obtenu représente une pièce supplémentaire.

À Montluçon, acheter plutôt que louer permet de gagner 116 m²
À la lecture de l’étude que nous avons conduite, il est troublant de constater qu’en délaissant la location au profit de l’achat immobilier, on peut multiplier par 2 la superficie de son logement. Deux villes permettent aux acquéreurs de gagner autant de surface en plus. Il s’agit de Montluçon dans l’Allier et de Nevers dans la Nièvre. À Montluçon, pour 1 000 € par mois, vous devrez vous contenter de 112 m² à la location au lieu de 229 m² à l’achat ! Si ces deux villes cristallisent la supériorité - locale - de l’achat immobilier sur la location, en termes de mètres carrés gagnés, d’autres communes ne sont pas en reste, loin s’en faut ! Sur la totalité des municipalités qui font la part belle aux acquéreurs, 1 ville sur 5 permet de profiter d’une pièce supplémentaire. Concrètement, le bonus oscille entre 9 et 18 m². C’est le cas, par exemple, à Avignon (+ 9,7 m²), à Quimper (+ 16,2 m²)

À Caen, dans le Calvados, pour 1 000 € déboursés chaque mois, la surface, qu’elle soit achetée ou qu'elle soit louée, sera la même.
Un gain de 18 m² en signant un compromis plutôt qu’un bail
À l’heure où les mètres carrés sont aussi rares que chers et où les Français ont, plus que jamais, des envies d’espace(s), ce qui s’apparente à une exception, non pas culturelle mais bien immobilière, mérite que l’on s’y attarde. Car aux avantages - déjà bien connus - de l’achat immobilier (éviter de payer des loyers à fonds perdus, se constituer un patrimoine, préparer sa retraite, etc.) s’en ajoute un autre auquel on ne s’attendait pas : avoir une plus grande superficie qu’à la location. Et cela dans plus d’une ville sur deux ! Or, si certaines communes permettent aux acquéreurs de s’offrir l'équivalent d’une pièce en plus, d’autres leur offrent même la possibilité de profiter de l’équivalent de deux pièces en plus. soit un bonus de 18 m². Un tel gain de surface vous sera ainsi octroyé en faisant l'acquisition d’un logement à Limoges (+ 28,4 m²) ou encore à Évreux (+ 39,2 m²).
À Paris, l’écart en m² est mince entre l’achat et la location
Si 55 % des villes de plus de 30 000 habitants dont nous avons scruté les marchés immobiliers donnent l’avantage, en termes de surface habitable, aux acquéreurs sur les locataires, force est de constater que ces derniers reprennent la main dans 44 % d’entre elles Ce déplacement du centre de gravité de l’achat vers la location s’explique non seulement par des prix de vente élevés (notamment dans les grandes villes, en région parisienne et dans le sud de la France), mais aussi par un déséquilibre entre une forte demande et des biens trop rares, plus marqué sur le marché de la transaction que sur celui de la location. Dans ces villes où louer permet d'avoir plus grand que si l’on achète, le gain en superficie oscille entre 1 et 35 m². Enfin, il est intéressant de souligner que, si les prix parisiens dépassent ceux des autres villes de l’hexagone, le niveau (élevé !) des loyers pratiqués dans la capitale fait que le gain en mètres carrés à la location y est rogné. Jugez plutôt, il se limite à 13 m² à Paris alors qu’il culmine à 22 m² à Nantes !
"C'est parce que la réalité du marché immobilier n'est pas uniforme en France et que les problématiques rencontrées par les Français pour se loger sont très différentes d'une ville à l'autre que nous récoltons l'avis précieux de chacun des Français sur l'immobilier et le logement au travers d'une grande consultation nationale : le logement, parlons-en avec SeLoger" explique Séverine Amate, porte-parole du Groupe SeLoger. "Les résultats de cete consultation seront le terreau d'un manifeste qui sera remis au prochain gouvernement comme piste de réflexions et de solutions pour l'avenir."
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Notre méthodologie : Dans cet article, les données sur lesquelles nous nous sommes basés ont été calculées comme suit : Les prix et les loyers sont datés du 1er mars 2022. La surface pour une mensualité de crédit de 1 000€ a été calculée pour la capacité d’emprunt via un crédit immobilier. Elle représente le nombre de mètres carrés que peut s’offrir un ménage via un crédit immobilier sans apport. La capacité d’emprunt est d’une durée de 20 ans, avec un taux d’emprunt à 20 ans tel qu’il est appliqué aujourd’hui sur le marché (Banque de France). La surface pour un loyer de 1 000 € a été calculée sur la base des prix des loyers tels qu’ils sont affichés dans les annonces de SeLoger. La différence entre acheter et louer avec une mensualité de 1 000 € représente la surface d’une mensualité de 1 000 € moins la surface d’un loyer de 1 000 €.
par Gilles Roman
le 7th Février 2022, 5:21 pm
 
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Sujet: Achat immobilier : un prix moyen de 266800 € pour 23m2 à Paris ou 170 m2 à St Etienne !
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Achat immobilier : un prix moyen de 266800 € pour 23m2 à Paris ou 170 m2 à St Etienne !

Le site Seloger nous apprend que le prix moyen de vente de #logement aurait été de 266800€ durant l'année 2021 en France. Mais quelle surface peut-on acheter pour ce prix là et dans quel arrondissement de Lyon?

Le pouvoir d’achat immobilier des Français étant connecté aux revenus des ménages, mais aussi aux prix des logements, il varie (parfois considérablement !) d’une ville à l’autre. Pour 266 800 €, soit le prix moyen d’un logement en France en 2021, la surface, que l’on peut s’acheter, varie du simple au septuple (et frôle même l’octuple !).
Sommaire
Pour 266 800 €, on a 7,7 fois plus de m² à Saint-Étienne qu’à #Paris
Tous les Français sont loin d’être égaux face au pouvoir d’achat immobilier. Jugez plutôt, pour l’année 2021, le Baromètre LPI-SeLoger a calculé que le prix moyen d’un logement - dans l’ancien - en France avoisinait les 266 800 €. Or, il ressort de l’analyse qu’a livrée ce même Baromètre LPI-SeLoger que le nombre de mètres carrés, que cette somme permet de s’offrir, varie en fonction de la ville où l’on envisage d’acheter. Toutes choses étant égales, par ailleurs, en déboursant 266 800 €, il est possible de devenir propriétaire d’un logement d’une superficie de 23 m² à Paris alors qu’en achetant dans la ville de Saint-Étienne, ce sont 179 m², soit environ 7,7 fois plus, que l’on peut s’offrir.
49 m² à Lyon, 54 m² à Bordeaux, 62 m² à Nantes, 73 m² à Lille…
Vous l’aurez compris, en termes de pouvoir d’achat immobilier, les chiffres qu’a recueillis le Baromètre LPI-SeLoger mettent en avant d’importantes disparités selon les villes (de plus de 100 000 habitants, NdlR). En clair, et en fonction de l’endroit où l’on entend réaliser son projet d’achat, 266 800 € - c’est-à-dire, rappelons-le, le coût moyen d’un bien immobilier dans l’ancien en 2021 - pourront être convertis en logements de superficies variables… En effet, si l’on exclut les valeurs extrêmes que sont Paris et Saint-Étienne, pour 266 800 €, en 2021, vous pouvez acquérir :
49 m² à Lyon
54 m² à Bordeaux
57 m² à Nice
62 m² à Nantes
67 m² à Rennes et à Strasbourg
72 m² à Toulouse
73 m² à Lille
77 m² à Montpellier
82 m² à Marseille
90 m² à Reims
92 m² à Grenoble
99 m² à Toulon
117 m² au Havre
Un pouvoir d’achat immobilier en recul depuis 2 ans
Un rapide coup d’oeil dans le rétro (et plus précisément sur les deux derniers Baromètres-LPI) nous apprend qu’alors que le prix moyen d’un bien immobilier - dans l’ancien - augmente (de 251 000 € en 2019, nous sommes passés à 265 500 € en 2020 puis à 266 800 € en 2021, NdlR), la surface « achetable », quant à elle, se réduit comme peau de chagrin. Quelques exemples de l’érosion qui touche le pouvoir d’achat immobilier depuis deux ans :
Paris :1 m² perdu depuis 2019
Lyon :1 m² perdu
Saint-Étienne : 1 m² perdu
Rennes : 2 m² perdus
Le Havre : 2 m² perdus
Nice : 4 m² perdus
Lille : 4 m² perdus
Toulon : 4 m² de perdus
Montpellier : 4 m² perdus
En revanche, il est intéressant de noter que dans certaines villes, la surface achetable a augmenté. C’est le cas à Bordeaux (1 m² gagné en 2 ans), à Marseille (5 m² gagnés). Enfin, le pouvoir d’achat immobilier stagne à Toulouse ou encore à Grenoble.
[*]
A Lyon, c’est dans le neuvième arrondissement qu’on trouvera le plus d’opportunités et les plus grandes surfaces, à la Duchère bien sûr mais aussi à Saint-Rambert. Dans le cinquième arrondissement, le secteur de Point du Jour, pas (encore) desservi par le métro, offre toujours de belles possibilités, de même que le quartier de St Irénée pour des appartements anciens à rénover. 
Dans le deuxième arrondissement, certains secteurs du quartier Perrache sont encore disponibles en dessous de ce prix médian, mais là encore pour des appartements anciens et la plupart du temps à mauvaise performance énergétique. 
Si le reste du deuxième, le quatrième (Croix Rousse)  et le sixième arrondissement sont déjà, comme le vieux Lyon et le bas des pentes hors de ce prix médian, même pour de petites surfaces, les investisseurs pourront encore trouver de belles opportunités  dans le 7ème (Guillotière et quartier des universités), et dans certains quartiers du huitième arrondissement pour des appartements des années 1960, moins anciens mais le plus souvent avec des pièces de petites tailles.
par Gilles Roman
le 13th Octobre 2021, 6:32 pm
 
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Sujet: Comment faire une demande de prêt immobilier ?
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Comment faire une demande de prêt immobilier ?

La Centrale de Financement constate une diminution d'environ 30% de la demande de prêts entre août et septembre 2021 (en fonction des régions), malgré des taux particulièrement bas sur l'ensemble de la période. Si une reprise du marché du crédit immobilier était attendue par les acteurs du secteur à la rentrée de septembre 2021, celle-ci n'a finalement pas été aussi importante qu'escomptée... 

Cette reprise limitée peut notamment s'expliquer par le contexte anxiogène généré par la crise sanitaire, ainsi que par le maintien de mesures restreignant l'accès à l'emprunt, mises en place par le Haut Conseil de Stabilité Financière (35% d'endettement maximum, durée d'emprunt maximale à 25 ans dans l'ancien et 27 ans dans le neuf).
Pour autant, les taux demeurent à un niveau historiquement bas. Pour La Centrale de Financement, il est donc toujours temps d'investir dans l'immobilier ! Cette période est d'autant plus favorable que les ménages auront la possibilité de bénéficier d'une bienveillance et d'une écoute accrues des banques, n'ayant pas été en mesure d'atteindre leurs objectifs.
Dans ce contexte, le courtier délivre ses conseils pour emprunter en mettant toutes les chances de son côté !
Comment contracter son prêt dans les meilleures conditions ?
Pour s'assurer de la réussite de son projet d'acquisition immobilière, La Centrale de Financement recommande de se faire accompagner par un professionnel du crédit immobilier :
Recourir à un courtier en crédit immobilier présente de nombreux avantages pour les acquéreurs. Celui-ci accompagne l'emprunteur de la conception de son projet d'achat à l'acquisition effective du bien, en lui assurant les meilleures conditions d'emprunt, tant en matière de taux de crédit qu'en matière d'assurance sur le prêt.
Sur un marché du crédit immobilier particulièrement tendu, caractérisé par une vigilance accrue des banques, le courtier instruit des demandes de prêt en tenant compte de l'ensemble de leurs caractéristiques : il s'assure de la capacité d'emprunt des ménages acquéreurs (35% d'endettement maximum sur le revenu net mensuel) et du maintien d'un reste à vivre suffisant leur permettant de subvenir à leurs besoins.
« Depuis le début de la crise sanitaire, les banques sont devenues plus vigilantes. Elles ont besoin de s'assurer de la solvabilité des emprunteurs et de veiller à leur sérieux en matière de gestion financière. Elles prêtent notamment beaucoup d'attention à la gestion du compte courant et de l'éventuelle épargne. » constate Sylvain Lefèvre, président de la Centrale de Financement.
Pendant la crise sanitaire, le pourcentage d'apport moyen demandé par les banques a connu une forte hausse et s'est imposé comme un critère indispensable à la réussite de son investissement immobilier : entre 2020 et 2021, celui-ci a augmenté de 3,5%, passant de 10,4% à 13,9% du montant global du prêt moyen (1). Ce paramètre s'est appliqué à la majorité des profils d'emprunteurs. Il est devenu incontournable pour les primo-accédants qui ont eu recours, de plus en plus, au soutien financier de leurs ascendants.
« Depuis le début de la crise, nous constatons une hausse significative du nombre de donations dans le cadre des demandes de prêt effectuées par les primo-accédants. Une évolution qui peut notamment être corrélée au faible niveau de rémunération de l'épargne, ayant probablement incité une partie des ascendants à lui trouver une autre utilité ou à transmettre une partie de leur héritage plus tôt. » explique Sylvain Lefèvre.
Dans quelques cas exceptionnels, le prêt a pu être accordé sans apport. 
Cela s'est en effet vérifié pour certains profils répondant à des critères très stricts : des salariés en CDI travaillant dans des secteurs peu ou pas impactés par la crise et bénéficiant d'un revenu annuel supérieur au revenu moyen d'un primo-accédant (soit 41 447 € (2)).


Dans le cadre du compromis de vente, il est nécessaire de faire attention au délai d'obtention du crédit, surtout dans les zones tendues dans lesquelles les banques sont soumises à de nombreuses demandes de prêts. La Centrale de Financement conseille, dans ce cadre, de négocier un délai d'environ 70 à 75 jours avec le vendeur plutôt que de s'en tenir aux 60 jours minimums, afin de s'octroyer un délai suffisant à l'obtention de son prêt...


L'emprunt immobilier correspond à l'un des achats les plus importants des ménages français. Il représente plus d'un tiers de leurs dépenses annuelles. Ce n'est donc pas un investissement dans lequel s'engager à la légère !
Tandis que de plus en plus de Français choisissent des biens situés à la campagne, La Centrale de Financement recommande d'être particulièrement attentif à la ville dans laquelle le ménage souhaite s'installer.
« Il est important de prêter attention au dynamisme économique et démographique de la ville choisie, en analysant précisément les plans d'urbanisme envisagés par la municipalité, les réseaux de transports, l'accessibilité des crèches, des écoles... afin de se garantir une vie épanouissante une fois installés mais aussi une plus-value à la revente ! Car, bien que les prêts soient contractés en première intention sur 22,5 ans, en moyenne, nous constatons que ceux-ci sont majoritairement remboursés au bout de 8,5 ans (soit en raison d'une évolution professionnelle avec mutation, d'un agrandissement de la famille, ou encore d'une séparation du couple...).
Par ailleurs, avec l'inflation du prix de l'énergie et la mise en place d'un nouveau Diagnostic de Performance Énergétique (DPE), il est également primordial d'être particulièrement attentif à la performance énergétique du bien, en anticipant les coûts qui pourraient être générés dans ce cadre... L'acquisition immobilière n'est donc définitivement pas un investissement à banaliser !» ajoute Sylvain Lefèvre, président de la Centrale de Financement.
Octobre 2021 : une baisse des taux sur la plupart des durées de prêt
Le mois d'octobre 2021 débute par une baisse des taux de crédit immobilier sur la plupart des durées de prêt. Ainsi, avec les taux annoncés ce mois-ci, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000 € sur 25 ans à 1,18 % verra sa mensualité s'élever à 693,18 euros pour un coût total de crédit de 27 954 euros, soit 2,63% de moins que le mois précédent (correspondant à une économie de plus de 750 euros) pour un prêt de la même durée et du même montant.
Évolution des taux
Les taux immobiliers moyens d'octobre 2021 par durée d'emprunt
Les conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0.015 %, en moyenne, pour toutes les durées de prêt confondues. Dans le détail : la baisse de taux de crédit la plus significative s'observe pour les prêts contractés sur 25 ans, avec une diminution de 0.03 % par rapport à septembre 2021. Pour une durée de prêt de 15 ans et 20 ans, la baisse des ta8ux est de 0,02% par rapport au mois précédent, et pour les prêts contractés sur 10 ans et 12 ans, elle est de 0,01%. Seuls les taux de crédit appliqués aux prêts contractés sur une durée de 7 ans sont restés stables d'un mois sur l'autre.
Les meilleurs taux immobiliers d'octobre 2021 par durée d'emprunt
Les meilleurs taux obtenus sur le mois d'octobre 2021 sont restés identiques à ceux obtenus au cours du mois précédent, toutes durées de prêt confondues. Les ménages bénéficient donc de conditions d'emprunt aussi avantageuses que celles au mois de septembre 2021.
À propos de la Centrale de Financement
Fondée en 2013 par Sylvain Lefèvre et Philippe Girou, La Centrale de Financement est l'un des leaders français du courtage en prêt immobilier - financement, regroupement de crédits et assurance emprunteur. Son ambition est de faciliter l'accès au prêt immobilier au plus grand nombre, en proposant des offres de prêts immobiliers et d'assurances emprunteurs aux conditions financières les plus avantageuses, et en garantissant une relation personnalisée et durable à ses clients, autour de quatre engagements : exigence, expertise, déontologie, et accompagnement.
La Centrale de Financement, filiale du groupe APRIL depuis 2018, s'appuie sur un réseau de plus de 195 agences et 1000 collaborateurs répartis sur tout le territoire national, et a noué des partenariats avec la quasi-totalité des grands acteurs banque-assurance du marché. Elle a négocié, en 2020, un volume de crédit de 4,7 milliards d'euros.
par Gilles Roman
le 29th Septembre 2021, 2:20 pm
 
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Sujet: Comment ne pas se faire avoir à la location d’un bien immobilier en 5 leçons !
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Comment ne pas se faire avoir à la location d’un bien immobilier en 5 leçons !

Presque trop belles pour être vraies, les arnaques immobilières explosent. En effet, de plus en plus subtiles, les escroqueries sont de plus en plus nombreuses... Cinq conseils pour éviter de tomber sur une offre immobilière frauduleuse :


1 . Les annonces trop belles pour être vraies
Il ne faut pas être naïf, une pépite à bas prix n'est pas un signe du destin mais parfois et souvent le résultat d'une belle arnaque. La plateforme digitale  Pandadoc, spécialiste de la location immobilière préconise donc de faire très attention aux belles photos, aux descriptions des logements et surtout au prix du loyer. Vous pouvez par exemple le comparer au prix du marché actuel. S'il est beaucoup plus bas, cela devrait vous mettre la puce à l'oreille.
2. Les belles images, on s'en méfie 
Souvent, sur des sites de location, on retrouve de nombreuses belles images qui seraient presque dignes d'un travail de professionnel. Prêtez attention aux détails, aux angles de prise de vues. Souvent les escrocs utilisent des images volées d'autres sites ou même sur des banques d'images. Et si vous avez le moindre doute, téléchargez la photo et faites une recherche d'image inversée sur votre moteur de recherche. 
Simple, efficace et ingénieux ! 
3. Ne jamais donner un dossier de location avant la visite
Il ne faut jamais envoyer un dossier de location avant d'avoir réalisé la visite. Un dossier de location complet dispose de toutes les pièces justificatives nécessaires pour souscrire un crédit à la consommation afin de voler l'identité des locataires. 
4. Ne jamais verser un centime avant d'avoir visité le logement
Il ne faut jamais verser un acompte lorsqu'on fait du particulier à particulier. L'escroc ajoutera un sentiment d'urgence pour ne pas vous donner le temps de réfléchir : il faut payer vite pour le réserver avant que quelqu'un d'autre ne le fasse. Il peut également refuser de vous faire visiter le logement sans paiement préalable. Plus simplement, dès lors que quelqu'un exige une somme d'argent en échange d'une action de ce type, fuyez. 
5. Privilégiez un contact téléphonique 
Quel meilleur moyen que de s'assurer de la véracité d'une offre qu'en parlant de vive voix avec son interlocuteur? L'arnaqueur aura tendance à préférer échanger par mail. Insistez et profitez de l'avoir au téléphone pour poser plein de questions.
S'il refuse, la réponse est claire, c'est une arnaque !
par Gilles Roman
le 29th Juillet 2021, 7:20 pm
 
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Sujet: L'immobilier continue de flamber à lyon
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L'immobilier continue de flamber à lyon

Exclu Seloger - Pourquoi les prix immobiliers flambent-ils à Lyon ?
[center]
11 % de hausse sur 1 an dans le 1er arrondissement de #Lyon. Des prix qui accusent 12,6 % d’augmentation dans le 2e lyonnais et un bond de 14,4 % dans le 5e arrondissement. Pas de doute, dans la Capitale des Gaules,  les prix des #logements anciens (5 613 €/m²) accélèrent fortement.
Éléments d’explication et données du Baromètre LPI-SeLoger de juin dernier.
Tag immobilier sur LYFtvNews Lyftvn10

Lyon est une ville extrêmement dynamique et cela se ressent également en ce qui concerne le marché #immobilier où la flambée des prix des biens est amorcée déjà depuis plusieurs mois du fait d'une forte demande combinée à une pénurie de biens à la vente. Une mécanique haussière qui  entraîne dans son élan des villes proches telles que Charbonnières-les-Bains, Caluire-et-Cuire ou encore Sainte-Foy-Lès-Lyon. Sans oublier qu'avec l'avènement du télétravail, la possibilité de s'éloigner demeure une piste intéressante pour les futurs acquéreurs. Ainsi, des villes comme Saint-Genis-Laval, La-Tour-de-Salvagny ou encore Miribel, situées à moins de 30 minutes de Lyon[/url], offrent une alternative aux acquéreurs mis sous pression face à des prix qui ne semblent pas vouloir fléchir " analyse Séverine Amate, porte-parole chez SeLoger.
Selon les données qu’a recueillies le Baromètre LPI-SeLoger, sur les douze derniers mois, le prix au mètre carré à Lyon a enregistré 8,5 % de hausse sur 1 an pour se porter à 5 613 € et au trimestre, la hausse se chiffre à 1,6 %. Ce sont 100 % des arrondissements qui composent celle que l’on surnomme la Ville au Deux Collines qui voient les prix de leur immobilier progresser. Mais alors, comment expliquer cette formidable poussée des prix de la pierre lyonnaise ? Dans la préfecture du Rhône comme dans la plupart des grandes villes françaises, la hausse du prix de l’immobilier résulte de la réunion de deux facteurs. À savoir, d’une part, une forte demande.En ces temps de pandémie et d’incertitudes, la pierre jouit, plus que jamais, d’un statut de « valeur-refuge » auprès des Français. D’autre part, des biens à vendre qui se font rares. Et pour cause, une large majorité des propriétaires renonce à vendre leur logement. Non pas qu’ils craignent que leur bien ne trouve pas preneur, bien au contraire, la ténuité de l’offre fait que la plupart des ventes se font non seulement très rapidement et aussi au prix, mais plutôt par crainte de ne pas parvenir à trouver un logement, une fois que le leur aura été vendu. Seulement voilà, à Lyon comme ailleurs, en agissant de la sorte, les propriétaires ne font qu’entretenir et même aggraver la pénurie de stocks qu’ils redoutent tant. Bref, c’est le serpent qui se mord la queue ! D’où des prix immobiliers qui n’en finissent pas de flamber.
S’il est un arrondissement de Lyon où la hausse du prix de l’immobilier est particulièrement marquée, c’est bien le 5e lyonnais (Vieux Lyon, Fourvière). Jugez plutôt, le  prix au m² dans le 5e arrondissement de Lyon accuse 14,4 % de hausse sur 1 an. De la place de l’Abbé Larue à la rue du Viel renversé, en passant par le quai des Étroits, devenir propriétaire dans le 5e lyonnais coûte 5 364 €/m². En termes de hausse des prix, si le 5e arrondissement se tient sur la plus haute marche du podium, la 2e et la 3e sont occupées respectivement par le 2e arrondissement (12,6 % sur 1 an / 6 748 € du m²) et le 1er arrondissement (+ 11 % / 6 305 € du m²). Avec « seulement » 2,3 % de hausse annuelle et en comparaison, le 4e arrondissement ferait « presque » pâle figure… 
Plus de 6 700 €/m² dans le 2e arrondissement de Lyon !
C’est dans le 2e arrondissement de Lyon (Cordeliers, Bellecour) que les prix les plus élevés ont été relevés. Comptez 6 748 € du m² pour y devenir propriétaire d’un logement dans l’ancien. Rien d’étonnant toutefois car on sait qu’il s’agit là de l’arrondissement le plus huppé, le plus chic et, par voie de conséquence, le plus cher de la Capitale de la Gastronomie avec le 6e lyonnais (Les Brotteaux, Cité Internationale). Du boulevard des Belges à la rue Duquesnes et au cours Franklin-Roosevelt, le prix de vente signé avoisine 6 629 € du mètre carré. En termes de prix, c’est du côté de Vaise, de Gorge de Loup, de Saint-Rambert-L’Île-Barbe ou encore de La Duchère que les prix sont les plus accessibles. Le prix immobilier dans le 9e arrondissement de Lyon tourne, en moyenne, à 4 149 €.
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