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149 résultats trouvés pour lyon

par Gilles Roman
le Mar 23 Mai - 11:15
 
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Sujet: Lyon : une exposition Elliott Erwitt à la Sucrière, quai Rambaud
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Lyon : une exposition Elliott Erwitt à la Sucrière, quai Rambaud

L’exposition « Elliott Erwitt. Une rétrospective » prend ses quartiers à La Sucrière de Lyon, après son étape parisienne, à partir du 21 octobre 2023. L'exposition rend hommage à l’un des photographes les plus importants du 20e siècle, membre de Magnum Photos depuis 1954.
ELLIOTT ERWITT À LA SUCRIÈRE DE LYON
21.10.23 | 31.03.24
Depuis 1988, Elliott Erwitt a beaucoup réfléchi sur son œuvre, sur la manière de la préserver et de la présenter. Cette exposition explore cette vision humaniste au travers d'une dizaine de thématiques définies par l’artiste lui-même Between the sexes, Kids, Beaches, Abstractions, Dogs, Regarding Women, Cities, Museum Watching, Kolor. Un véritable voyage à la découverte de la sensibilité unique du photographe.
Une exposition présentée et produite par Tempora en étroite collaboration avec Magnum Photos et La Sucrière de LyonLe parcours retrace les différentes thématiques de son œuvre à travers un ensemble exceptionnel de photographies en noir et blanc et en couleur de 1949 aux années 2000. Photographe américain d'origine russe, ayant grandi en Italie et en France, Elliott Erwitt est notamment réputé pour ses scènes de rue mais aussi pour ses clichés de personnalités connues comme Marilyn Monroe ou encore Jackie Kennedy, Charles de Gaulle, "Che" Guevara, Alfred Hitchcock, Nikita Khrouchtchev,… Au-delà de certaines icônes, le visiteur découvrira une œuvre beaucoup plus large, profonde et légère à la fois. L’Europe et l’Amérique constituent son terrain de jeu presque naturel, mais son œuvre couvre le monde entier. Elliott Erwitt traverse un siècle en cumulant les approches et les rôles comme aucun autre.
Dans l’ensemble de son oeuvre, Elliott Erwitt a une manière d'immortaliser des instants de la vie quotidienne ou des moments historiques avec un regard qui n'appartient qu'à lui, combinant l’émotion, l'ironie  et l’humour.
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California, USA, 1955
Marilyn Monroe pendant le tournage du film Les Désaxés, 
:copyright:Elliott Erwitt/ Magnum Photos
par Gilles Roman
le Mar 23 Mai - 11:00
 
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Sujet: Lyon : Réservez vos places pour les films du Festival de Cannes
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Lyon : Réservez vos places pour les films du Festival de Cannes

Pour la 10ème année, les films de Cannes s’invitent dans les cinémas Pathé. Du 26 au 28 mai, les spectateurs des cinémas Pathé Bellecour à Lyon pourront découvrir, en avant-première et au rythme de la Croisette les films issus de la Sélection Officielle du Festival de Cannes. Avec un jury présidé par le réalisateur suédois Ruben Östlund, le 76ème Festival de Cannes se tiendra du 16 au 27 mai 2023. De nombreux films y concourront pour remporter la célèbre Palme d’Or du plus grand festival de cinéma mondial.Sans plus attendre, découvrez la liste des films qui seront projetés dans les cinq cinémas participants.
Le Programme officiel de cette édition 2023 :
Vendredi 26 mai
14h30 BANEL ET ADAMA de Ramata Toulaye Sy avec Khady Mane, Mamadou Diallo, Binta Racine Sy (Compétition Officielle)
16h30 BONNARD, PIERRE ET MARTHE de Martin Provost avec Jean-Christophe Bretignière, Cécile de France, Vincent Macaigne (Cannes Première)
19h00 CLUB ZERO de Jessica Hausner avec Mia Wasikowska, Sidse Babett Knudsen, Elsa Zylberstein (Compétition Officielle)
21h15 LES FILLES DOLFA de Kaouther Ben Hania avec Hend Sabri, Olfa Hamrouni, Eya Chikahoui (Compétition Officielle)
Samedi 27 mai
13h15 LES HERBES SÈCHES de Nuri Bilge Ceylan avec Deniz Celiloğlu, Merve Dizdar, Musab Ekici (Compétition Officielle)
17h00 VERS UN AVENIR RADIEUX de Nanni Moretti avec Nanni Moretti, Margherita Buy, Silvio Orlando (Compétition Officielle)
19h00 ANATOMIE DUNE CHUTE de Justine Triet avec Sandra Hüller, Swann Arlaud, Milo Machado Graner (Compétition Officielle)
22h00 - SALEM de Jean-Bernard Marlin avec Dalil Abdourahim, Oumar Moindjie, Wallen El Gharbaoui (Un Certain Regard)
Dimanche 28 mai
14h00 LENLÈVEMENT de Marco Bellocchio avec Barbara Ronchi, Filippo Timi, Fabrizio Gifuni (Compétition Officielle)
16h30 LES FEUILLES MORTES de Aki Kaurismaki avec Alma Pöysti, Jussi Vatanen, Janne Hyytiäinen (Compétition Officielle)
18h30 PERFECT DAYS de Wim Wenders avec Koji Yakusho, Min Tanaka, Arisa Nakano (Compétition Officielle)
21h MAY DECEMBER de Todd Haynes avec Natalie Portman, Julianne Moore, Charles Melton (Compétition Officielle)
Au programme donc, douze films de la sélection officielle du Festival de Cannes projetés les vendredi 26, samedi 27 et dimanche 28 mai. Une occasion exceptionnelle pour les cinéphiles de découvrir ces films, presque en même temps que les festivaliers, et pour certains, plusieurs mois avant leurs sorties en salles.
#Festivals #Cannes #Cinéma #lyon...mais aussi Paris, Rennes, Nantes, et Toulouse - du 26 au 28 mai
par Gilles Roman
le Lun 22 Mai - 10:43
 
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Sujet: Tourisme : des idées au départ de Lyon avec un budget de moins de 25 €
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Tourisme : des idées au départ de Lyon avec un budget de moins de 25 €

Parfois, il ne faut pas aller bien loin pour trouver son bonheur : la plateforme française de réservation de billets de train, bus et avion Kombo a analysé les prix au départ de #Lyon et propose six destinations avec un budget entre 6 et 25€ pour découvrir la région Auvergne Rhône-Alpes.

Tain l'Hermitage
à partir de 17,90€, à 57min en train de Lyon
à partir de 6€, à 40min en covoiturage de Lyon
Tain-l'Hermitage est une petite ville située dans la vallée du Rhône. C’est une ville pittoresque et agréable à visiter pour les amateurs de vin, de chocolat, de nature et de gastronomie.
Quelques idées d’activités sur place :
Vignobles : Tain-l'Hermitage est entourée de vignobles qui produisent des vins rouges et blancs de qualité, notamment le célèbre Hermitage. Vous pouvez visiter des domaines viticoles et déguster des vins locaux dans les caves à vin.
Chocolaterie Valrhona : La ville est également connue pour être le siège de la maison de chocolat Valrhona, qui propose des visites de sa chocolaterie et des dégustations de ses créations.
Le Rhône : La ville est située sur les rives du Rhône, qui offre de belles vues panoramiques sur les montagnes environnantes.
Le château de Tournon : La ville voisine : Tournon-sur-Rhône, abrite un château médiéval du XVe siècle, qui donne de beaux points de vue sur la vallée du Rhône.

Montbrison
à partir de 18,80€, à 1h30min en train de Lyon
à partir de 8€, à 1h30min en covoiturage de Lyon
Montbrison est une petite ville située dans la Loire, au sud-ouest de Lyon. C’est une ville charmante et agréable à visiter pour les amoureux d'histoire et de nature.
Quelques idées d’activités sur place :
Le château de Montbrison : Le château de Montbrison est l'un des principaux sites touristiques de la ville. Il a été construit au XIe siècle et offre une vue panoramique sur la ville et ses environs.
Le centre historique : Montbrison possède un charmant centre historique, avec des rues pavées et des bâtiments médiévaux bien conservés. Il est agréable de se promener dans les rues pour découvrir les nombreuses boutiques d'artisanat et les restaurants.
Les activités de plein air : La ville est entourée de collines et de forêts, plusieurs jolies randonnées y sont accessibles.
Les événements locaux : Montbrison accueille chaque année plusieurs événements, notamment le Festival des Monts de la Balle en juillet, qui célèbre la musique et la danse traditionnelle de la région.
La région est connue pour son fromage : le célèbre Bleu de Montbrison.

Pérouges
à partir de 8,80€ via Meximieux, à 55min en train de Lyon
à partir de 6€, à 30min en covoiturage de Lyon
Pérouges est une petite ville médiévale située dans l'est de la France, à environ 30 kilomètres de Lyon. Elle est souvent considérée comme l'une des plus belles villes médiévales de France, avec son architecture préservée et son charme rustique.
Quelques idées d’activités sur place :
Le village médiéval : Le village est entièrement construit en pierre et possède des rues pavées, des places pittoresques, des portes fortifiées, des remparts et des maisons à colombages bien conservées. Il est agréable de se promener dans les rues pour admirer l'architecture médiévale.
Les événements locaux : La ville organise chaque année plusieurs événements, notamment la Fête Médiévale de Pérouges en juin, qui transporte les visiteurs dans le temps à travers des animations, des spectacles et des démonstrations de métiers médiévaux.
Les activités de plein air : Les environs de Pérouges sont également très beaux, avec des champs de tournesols, des forêts et des collines. Il est possible de faire de la randonnée, du vélo, du cheval ou même du parapente dans les environs.
Pérouges est notamment connue pour la "galette de Pérouges", une sorte de galette épaisse et moelleuse servie avec du sucre, de la confiture ou de la crème fraîche.

Montelimar
à partir de 25,70€, à 1h40 en train de Lyon
à partir de 10€, à 2h en bus de Lyon
à partir de 13€, à 1h50 en covoiturage de Lyon
Montélimar est située au sud de Lyon. C’est une ville qui déborde d’histoire, avec de nombreux sites touristiques à découvrir.
Quelques idées d’activités sur place :
L'histoire : Montélimar a une histoire riche remontant à l'époque romaine. La ville a également été le théâtre de nombreux événements historiques importants au fil des siècles.
La production de nougat : Montélimar est surtout connue pour sa production de nougat, une confiserie sucrée faite de blanc d'œuf, de miel, de sucre et d'amandes. La ville possède de nombreuses boutiques de nougat, où vous pouvez acheter de délicieux produits locaux.
Le château des Adhémar : Ce château médiéval est un lieu incontournable à Montélimar. Construit au XIIe siècle, il abrite aujourd'hui un centre d'art contemporain. Il est situé sur une colline et offre une vue panoramique sur la ville et la région environnante.
La vieille ville : La vieille ville de Montélimar est un véritable dédale de rues étroites et sinueuses bordées de maisons médiévales en pierre. C'est un endroit idéal pour se promener et admirer l'architecture locale.
Les musées : Montélimar abrite plusieurs musées intéressants, tels que le Musée de la Miniature et du Cinéma, qui présente une impressionnante collection de miniatures, de maquettes et d'objets de cinéma.

Montmelian
à partir de 24,10€, à 1h44 en train de Lyon
à partir de 6€, à 1h10 en covoiturage de Lyon
Montmélian bénéficie d’une belle architecture médiévale, d’une gastronomie savoyarde à découvrir et de nombreuses activités de plein air dans la région environnante.
Quelques idées d’activités sur place :
L'histoire : En tant que ville stratégique de la Savoie, aux portes de la France et de l'Italie, elle a été un important centre de commerce et d'échanges entre les deux pays.
Le château de Montmélian : Ce château médiéval est un lieu incontournable à Montmélian. Il a été construit au XIe siècle pour protéger la ville, et a été agrandi au cours des siècles. Aujourd'hui, il abrite un musée qui retrace l'histoire de la ville et de la région.
La vieille ville : La vieille ville de Montmélian est un dédale de rues pavées bordées de maisons médiévales en pierre. C'est un endroit idéal pour se promener et admirer l'architecture locale.
Les activités de plein air : La région autour de Montmélian offre de nombreuses randonnées et piste de vtt. Il y a également des lacs et des rivières où vous pouvez faire du canoë-kayak et d'autres sports nautiques.

Vienne
à partir de 8,10€, à 16min en train de Lyon
à partir de 6€, à 40min en covoiturage de Lyon
Vienne est une ville historique et culturelle intéressante, avec de nombreux monuments romains, une vieille ville pittoresque et un festival de jazz renommé. 
Quelques idées d’activités sur place :
L'histoire de la ville remonte à l'époque romaine. Le passé de la ville se retrouve dans ces rues et dans les monuments à visiter.
Les monuments : Vienne est connue pour ses monuments romains, notamment le temple d'Auguste et de Livie, les vestiges du théâtre antique et de l'amphithéâtre, ainsi que la porte de Cybèle. La cathédrale Saint-Maurice est également un lieu incontournable à visiter.
La vieille ville : La vieille ville de Vienne est un endroit pittoresque avec des rues pavées, des maisons colorées et des places animées.
La musique : Vienne est également connue pour son festival de jazz, qui a lieu chaque été depuis plus de 40 ans. Le festival attire des artistes de renommée internationale et est un événement majeur dans la région.

A propos de Kombo 
Kombo créée en 2016 par 2 entrepreneurs, Clément Hugon et Matthieu Marquenet. est une plateforme française :flag_fr: de réservation de billets de train, bus, et avion utilisée par plus de 500 000 voyageurs chaque mois. Leur volonté est simplement de permettre à tout le monde de se déplacer facilement, et au meilleur prix. Kombo propose donc les trajets en train, en bus et en avion de plus de 400 compagnies partout en Europe. Kombo est attachée à l'objectivité et s’engage à ne pas favoriser un transporteur par rapport aux autres.
par LYFtv-LYon
le Jeu 4 Mai - 16:01
 
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Sujet: Techtera, le pôle de compétitivité qui tisse des liens dans l'industrie textile
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Techtera, le pôle de compétitivité qui tisse des liens dans l'industrie textile

Newsletter du pôle de compétitivité - Au cœur de la transformation textile en Auvergne Rhône-Alpes !
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 85424
Mai 2023
Retour sur l’Assemblée Générale de Techtera, entre bilans et perspectives
Techtera a réuni plus de 60 participants à son Assemblée Générale le 20 avril dernier. Lors de l’événement, le pôle de compétitivité a dressé le bilan de la phase IV dont les résultats sont très positifs. Philippe Sanial s’est saisi de l’occasion pour remercier Louis Vovelle pour son engagement au sein du pôle ces dernières années. L’Assemblée Générale a d’ailleurs voté à l’unanimité la nomination de Louis Vovelle en tant que président d’honneur.
Techtera est également revenu sur les chiffres 2022 et a présenté ces premiers résultats et actions sur le 1er trimestre 2023 et sa feuille de route pour l’année.
Découvrez le rapport annuel retraçant les faits marquants 2022 et le bilan de la phase IV.
par LYFtv-LYon
le Jeu 4 Mai - 15:16
 
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Sujet: Anywr organise un job dating à Lyon : 9 minutes pour trouver son candidat idéal
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Anywr organise un job dating à Lyon : 9 minutes pour trouver son candidat idéal

Anywr, acteur-clé des services RH 360 et des solutions digitales en recrutement et mobilité professionnelle, organise un job dating à destination des recruteurs les 11 et 25 mai et le 08 juin à Lyon .
Dans un contexte de pénurie de main d’œuvre généralisée, la région lyonnaise, en concurrence avec Paris et la Suisse, se trouve particulièrement impactée par des difficultés de recrutement. La région devrait ouvrir 370 050 postes en 2023 mais, sans solutions externes, plus de 60% de ces postes sont estimés difficiles à pourvoir. 
Anywr, se lance un nouveau challenge : jouer les entremetteurs grâce au job dating.
Ce sera donc l’occasion pour les recruteurs de rencontrer des candidats triés sur le volet dans le secteur de l’IT et des Life Sciences et d’ainsi trouver la perle rare.
Rendez-vous les 11 et 25 mai et le 08 juin de 9h à 18h. Inscription ici
A propos d’Anywr
Depuis 2012, Anywr recrute et accompagne la mobilité des talents pour les entreprises du monde entier. Anywr répond ainsi aux entreprises dans leurs problématiques de recherche rapide de talents rares et accompagne les talents dans leurs projets de mobilité et de flexibilité professionnelle. Sélectionnée parmi les 120 startups les plus prometteuses de France, #FrenchTech120, le groupe a une position unique sur son marché grâce à une offre complète de solutions RH : recrutement et chasse de talents, via un large choix de véhicules juridiques (recrutement direct, ESN, freelancing, portage salarial), solutions de mobilité (immigration, relocation et fiscalité) et de formations. Avec 23 agences dans 16 pays, Anywr bénéficie d’une présence experte de proximité et d’un vivier de talents mondiaux. Déjà plus de 4 000 entreprises lui font confiance et 30 000 talents ont déjà bénéficié de ses services pour leur changement de vie.  Portés par des valeurs d’engagement, de diversité, d’audace et de plaisir, Anywr est une entreprise digitale innovante et responsable, engagée dans ses communautés, qui met son expertise et ses solutions au service de projets d’intégration sociale et de la diversité.
Anywr a adopté le statut (Loi Pacte) en juin 2021, 
En savoir plus, rendez-vous sur le site 
par Gilles Roman
le Ven 28 Avr - 12:53
 
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Sujet: Notaires du Rhône : les vrais chiffres de l'immobilier dans le département
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Notaires du Rhône : les vrais chiffres de l'immobilier dans le département

La Chambre des Notaires du Rhône a présenté jeudi 27 avril les chiffres de l’immobilier sur Lyon et le département à fin décembre 2022. Ce point effectué sur les 12 derniers mois montre une baisse très nette des volumes des ventes de l’ordre de - 8,3%, tous biens confondus.
Si les prix sont encore en légère hausse à fin 2022, la baisse est clairement amorcée depuis janvier 2023.
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Notaires du Rhône - Le point sur l'immobilier dans la Métropole de Lyon -
Les programmes neufs enregistrent quant à eux une véritable chute pour les réservations de l’ordre -20% (extérieurs Métropole), -17% (Métropole de Lyon), -19% pour les extérieurs de la Métropole pour l’année 2022 avec une accentuation très marquée de cette baisse pour le 1er trimestre 2023 par rapport au 1er trimestre 2022 de - 40 % (-43% pour la Métropole de Lyon, -15% pour les extérieurs de la Métropole et -35% pour l’agglomération lyonnaise). (Selon les derniers chiffres FPI et CECIM)
L’inflation, la hausse des prix de l’énergie, la hausse des taux des #crédits immobiliers, l’encadrement des loyers et les conséquences des interdictions de louer des « passoires thermiques » pourraient impacter plus encore le marché dans les prochains mois.
Des volumes de ventes en très nette baisse, tous biens confondus 
Le volume des ventes a chuté de - 8,3 % sur le département du Rhône sur l’année 2022. - 6,8 % pour les appartements anciens, - 4,3% pour les appartements neufs, - 14% pour les maisons anciennes et - 8,8% pour les terrains à bâtir.
Si les prix ont augmenté sur les appartements anciens (+4,1%) et maisons anciennes (+5,1%) sur l’ensemble de l’année 2022, la tendance est à la baisse depuis janvier 2023.   
Les ventes d’appartements anciens ralentissent sur le département et à Lyon
Les prix des appartements anciens situés dans le Rhône ont tendance à stagner (+0,3%) contre + 5,1% en province. Le prix médian* dans le Rhône (4 080 €) est toujours en hausse (+ 3,1%) avec un tassement depuis janvier 2023.
Il est toujours une fois et demie supérieur au département de l’Isère et plus du double par rapport à la Saône et Loire.
Le prix médian à Lyon reste stable à 5 110 € le m2. Il est de 3 560 € sur la #métropole de #Lyon et de 2 440 € sur la région de Villefranche sur Saône.
Concernant les arrondissements de Lyon, les quartiers de Lyon 2, Lyon 4, Lyon 6 et Lyon 9 enregistrent encore cette année une légère baisse même s’ils restent les plus chers. La typologie d’appartements anciens n’a pas évolué. Le T3 reste toujours plus attractif.
Le volume des appartements neufs en baisse avec des prix toujours en hausse compte tenu notamment de la forte hausse du coût de construction lié à l’augmentation des matières premières.
Si le nombre de transactions portant sur les appartements neufs continue de chuter (-4,3%) en toute logique eu égard au manque d’offres liés notamment au nombre de permis de construire accordés, les prix quant à eux augmentent très légèrement de +2,7 %. A noter en revanche, que les acquéreurs se concentrent davantage sur de plus petites surfaces, 2 et 3 pièces.
Le prix médian est plus haut à Lyon (6 440 € le m2) que dans le Rhône (5 030 €)
Maisons anciennes : des volumes en baisse mais des prix en hausse
Si la vente de maisons anciennes a baissé de 14 % sur le département du Rhône, les prix ont en revanche augmenté de + 8% en 2022 avec un prix médian de 399 600 €. Le prix médian le plus haut (684 800 €) revient toujours à Caluire et Lyon avec une grande disparité au niveau des communes.
Le prix des terrains à bâtir toujours en hausse (+13%)
Concernant les terrains à vendre, les surfaces inférieures à 600 m² sont les plus vendues. Ce sont aussi celles qui sont le plus présentes sur le marché, et ce dans tout le département. Le foncier disponible se raréfiant, les prix pour l’instant restent en hausse.
1/3 des acheteurs est un cadre supérieur trentenaire
Le profil des acheteurs ne change pas. L’acquéreur est pour 1/3 un cadre supérieur de moins de 40 ans, qui achète pour une durée inférieure à 5 ans. Les acheteurs sont dans 82% des cas issus du département du Rhône.
le prix médian n’est pas la moyenne des prix. Il indique que la moitié des transactions ont été conclues à un prix inférieur et l’autre moitié à un prix supérieur du prix médian.
Pour aller plus loin :  le guide "savoir vendre son bien immobilier" dans #LaboutiqueLYFtv

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par LYFtv-LYon
le Ven 21 Avr - 19:27
 
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Sujet: Comment les écologistes lyonnais se sont convertis à la video-surveillance ?
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Comment les écologistes lyonnais se sont convertis à la video-surveillance ?

Lyon est, après Nice, la ville la plus équipée en caméras de surveillance ! Attendu depuis trois ans, l’audit sur la #vidéosurveillance de la Ville de #Lyon constitue pourtant un véritable aggiornamento des écologistes en la matière. Au grand dam de l’ancien adjoint aux marchés publics Étienne Tête (EELV). 
Un article de l'Arrière cour, signé Raphaël Ruffier-Fossoul et illustré par Jibé. 
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« C’est n’importe quoi. » L’ancien adjoint écologiste Étienne #Tête, grand pourfendeur de la vidéosurveillance, ne comprend toujours pas le choix du maire de Lyon, Grégory #Doucet, d’investir dans six nouvelles caméras de vidéosurveillance par an d’ici à la fin du mandat. « Qu’on maintienne le parc actuel en l’état, cela ne me choque pas. Compte tenu de l’effet placebo de la vidéosurveillance, ça ne peut pas s’arrêter du jour au lendemain. Mais investir dans de nouvelles caméras, c’est envoyer le message que l’on pense que c’est efficace ! C’est surtout ce symbole qui est choquant, car sur le fond, il va y avoir 5% de caméras en plus, ça ne va rien changer. »
En charge des marchés publics lors du premier mandat de Gérard #Collomb à la Ville de Lyon, Étienne Tête s’était opposé au déploiement des caméras de vidéosurveillance voulu par le maire socialiste à partir de 2001, au nom du bon usage de la dépense publique, estimant les caméras inefficaces et trop chères. Ses prises de position ont longtemps semblé donner le « la » chez les écologistes, prompts à dénoncer comme lui le « lobby de la vidéosurveillance ».

Cet « héritage » semble avoir été un peu difficile à gérer pour Grégory Doucet. Lors de son élection à la Ville de Lyon, il a d’abord promis un audit sur la vidéosurveillance, avant de définir sa politique en la matière. Après deux appels d’offres non concluants, faute de candidats jugés suffisamment indépendants des fournisseurs de caméras, il a fini par confier la mission à son inspection générale des services. Cette dernière a rendu son rapport en mars. Pour accoucher d’une réponse de Normand : « On ne peut pas dire que la vidéosurveillance est efficace, ni qu’elle est inefficace », résume l’adjoint à la sécurité, Mohamed Chihi. L’audit interne estime surtout que le dispositif municipal de 571 caméras, pour un coût annuel de 2 millions d’euros, est « équivalent à celui des autres grandes métropoles françaises » et « proportionné à la superficie de la ville et au nombre de ses habitants ».

L’adjoint à la sécurité a donc annoncé dans la foulée que la Ville suivrait la recommandation faite par l’audit de « redéployer le parc existant », suggérant notamment que des caméras très peu utilisées de la Cité internationale pourraient être réinstallées dans des quartiers qui en sont dépourvus, comme le 4e arrondissement, ou qui en manquent, comme les abords de la préfecture. Plus inattendu, il a indiqué que la Ville investirait chaque année dans six caméras nomades supplémentaires, jusqu’à ce que le parc total atteigne la barre symbolique des 600 caméras. « Un éléphant qui accouche d’une souris », dénonce David #Kimelfeld. L’ancien président de la Métropole tacle au passage un maire et un adjoint qui, « dans la même phrase, peuvent dire que la vidéosurveillance est utile et que c’est inutile ». « Est-ce qu’on avait besoin de trois ans pour reconnaître que ça marche ? », ajoute le député de Lyon Thomas #Rudigoz (Renaissance), qui aurait aimé « beaucoup plus de caméras ».

« L’audit démontre que Lyon est la ville la mieux équipée après Nice »
Si le maire de Lyon ne le reconnaît pas ainsi, cette annonce est l’occasion d’enfin tourner la page d’un feuilleton qui donnait le sentiment d’une valse-hésitation sur la politique de tranquillité de la Ville. L’opposition n’avait d’ailleurs pas manqué de s’y engouffrer, à commencer par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui, lors de sa venue très médiatique à Lyon en septembre dernier, avait dénoncé une ville « sous-dotée en caméras de vidéoprotection ».
Interrogé en marge d’une réunion des maires écologistes, Grégory Doucet en a profité pour dénoncer une instrumentalisation politique : « L’audit démontre qu’on est la ville la mieux équipée après Nice. On est bien mieux équipés que Toulouse, qui a une population quasi identique. Mais vous avez entendu le ministre de l’Intérieur réclamer plus de caméras au maire de Toulouse (l’ex-LR Jean-Luc Moudenc, NDLR) ? » Il dit retenir surtout de l’audit le fait que le dispositif lyonnais est parfaitement proportionné et tout à fait efficace : « On a un système qui est hyper-performant. L’audit vient dévoiler aussi que les relations entre les agents municipaux et la police nationale sont très fluides, ça marche très bien. Alors, pourquoi vient-on critiquer un système aussi efficace ? » Le maire de Lyon ne souhaite pas prendre Nice, la seule ville française qui paraît nettement mieux équipée, comme modèle : « Moi, j’ai 20 caméras par agent du centre de supervision urbain (CSU). Il y en a 104 par agent à Nice. S’il n’y a personne pour regarder les images, ils pourraient mettre des caméras factices, ça ne changerait pas grand-chose. » Un de ses proches collaborateurs abonde : « Les gens s’attendaient peut-être à ce qu’on réduise le parc de vidéosurveillance. Ça montre qu’on n’est pas dogmatiques et que l’on se soucie avant tout de la sécurité des Lyonnais. »
S’il conteste les choix annoncés par ses amis de l’exécutif municipal, Étienne Tête assure n’avoir pas grand-chose à redire de l’audit à proprement parler. « Je pense que son auteur a repiqué dans tous les documents que j’ai pu rédiger à l’époque, car j’aurais pu écrire à peu près la même chose. » Il note d’ailleurs que le rapport ne préconise pas l’augmentation du nombre de caméras, comme l’a annoncé Grégory Doucet. « En lisant cet audit, j’aurais trouvé logique que l’on ne remplace pas les caméras en fin de vie et que l’on réduise ainsi progressivement la dépense publique en la matière », confie l’ancien élu. C’est en effet le paradoxe de cet audit qui semble marquer un véritable aggiornamento des écologistes lyonnais en matière de vidéosurveillance, sans pour autant annoncer de grandes évolutions dans les choix qu’ils ont posés depuis trois ans.
En matière d’efficacité, l’audit constate ainsi que la recherche internationale « n’a pas permis de conclure sur l’efficacité de la vidéoprotection », et rappelle qu’en France, la Cour des comptes avait constaté en 2020 qu’« aucune corrélation globale n’a été relevée entre l’existence de dispositifs de vidéoprotection et le niveau de la délinquance commise sur la voie publique, ou encore les taux d’élucidation ». Seule réelle certitude, les lieux fermés comme les parkings et les transports en commun sont « plus propices » à leur usage. Or, ces derniers relèvent davantage de la Métropole et du Sytral, où Bruno Bernard n’a pas attendu l’audit pour les déployer massivement, puisque sa « stratégie territoriale de sécurité et de prévention de la délinquance » adoptée en mars 2021 s’appuie déjà sur un parc de 8.500 caméras et prévoit le déploiement de 1.600 autres dans l’ensemble des métros lyonnais. « Mais ça, c’est ce que j’ai aussi toujours dit : plus on est en milieu fermé, plus la caméra est efficace », ajoute Étienne Tête, pas choqué de ce déploiement. Devenu avocat et particulièrement attentif aux libertés publiques, il ne voit rien non plus à redire à l’équipement en cours des agents du Sytral (par Bruno Bernard) et de la police municipale (par Grégory Doucet) en caméras piétons : « Je n’ai pas réagi, dans la mesure où la caméra est apparente, qu’il ne peut pas vraiment y avoir d’atteinte à la vie privée et qu’à la limite, cela sert à la protection des agents autant qu’à celle des citoyens. » Il défend en revanche « un principe d’égalité : un citoyen interrogé par la police devrait pouvoir mettre en marche la caméra. Légalement, je ne vois pas ce qu’on pourrait lui dire, puisqu’on a le droit d’enregistrer une conversation qui vous est destinée, même si, dans les faits, on ne peut pas l’utiliser, ou uniquement pour se défendre. »
L’exemple de Piolle à Grenoble… avec effet retard ?
Toujours dubitatifs à l’égard de la vidéosurveillance, les écologistes de la Ville de Lyon ont donc fait le choix de la développer malgré tout. Une attitude peut-être dictée par un principe de réalité politique : une fois installées, les caméras peuvent être coûteuses politiquement à retirer. La décision d’en ajouter quelques-unes est une manière de couper l’herbe sous le pied de l’opposition et surtout du ministre de l’Intérieur.
Cette conversion en rappelle d’ailleurs une autre. Lors de son élection à la mairie de Grenoble en 2014, Éric Piolle voulait réorienter les moyens affectés à la vidéosurveillance à la « présence humaine dans les quartiers ». Il avait même lancé, en manière de boutade, qu’il était prêt à les revendre au maire de Nice, Christian Estrosi. Une fois élu, s’il s’est opposé à un déploiement généralisé, il a maintenu le parc existant et ajouté lui aussi quelques dizaines de caméras, comme il l’a expliqué récemment à L’Essor Isère : « À la Ville de Grenoble, nous n’avons pas de doctrine sur le sujet. On regarde là où ça marche et là où ça ne marche pas. Là où il y a un consensus politique pour dire que cela sert à quelque chose, c’est dans les transports en commun, les halls d’immeubles et les bâtiments publics. » Une position finalement assez proche de celle adoptée, avec un peu de retard, par Grégory Doucet.
Raphaël Ruffier-Fossoul

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par LYFtv-Education
le Mer 19 Avr - 13:29
 
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Education, Enfance

Sujet: Concours commun du réseau Sciences Po : plus de 11 500 candidats
Réponses: 2
Vues: 8560

Concours commun du réseau Sciences Po : plus de 11 500 candidats

Plus de 11500 candidats ont tenté cette année d’intégrer l’un des Sciences Po du réseau ScPo ! Le concours d’entrée en première année est commun aux 7 Sciences Po du réseau : Aix, Lille, #Lyon, Rennes, Saint-Germain en Laye, Strasbourg et Toulouse. Les candidats sont répartis dans différents centres d’examen à proximité de leur domicile.
11 centres d’examens sont également ouverts à l’étranger : 6 centres dans les territoires ultramarins (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Nouvelle Calédonie, Polynésie française et Réunion) et 4 centres dans des lycées français à l’étranger (Dubaï, Mexico, Montréal et Singapour).
Le concours commun comporte 3 épreuves écrites, qui se déroulent de 9h à 17h.
  Une dissertation sur des questions contemporaines
(livraison par Amazon)
•  Une analyse de documents en histoire
•  Une épreuve de langue vivante (anglais, allemand, espagnol ou italien)  
Ces épreuves écrites sont complétées de notes du lycée, disponibles sur Parcoursup :
- La moyenne des notes de bulletins de Terminale des langues vivantes A et B (coefficient 0,5).
- La moyenne des résultats obtenus au contrôle continu des enseignements de spécialités 1 et 2 en Terminale (coefficient 1).
A l’issue des #résultats, les 1140 lauréats intégreront à la rentrée universitaire l’un des 7 Sciences Po du réseau ScPo.
par LYFtv-LYon
le Mar 18 Avr - 16:52
 
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Sujet: Lyon : savez vous que Citiz LPA permet l'autopartage dans toute la France ?
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Lyon : savez vous que Citiz LPA permet l'autopartage dans toute la France ?

Cap sur #Lyon métropole… Le déploiement de l’offre Citiz LPA suit sa route, avec pour objectif de couvrir l’ensemble du territoire grand lyonnais. Et donc, de proposer à toutes et tous une alternative à la voiture, à la fois souple, sérieuse et accessible. Ce mois-ci, en complément des stations déjà ouvertes au sein de leur commune, Givors et Vaulx-en-Velin accueillent chacune de nouveaux emplacements Citiz LPA.
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 6e375576-ff75-4d25-b5c1-07e76f8ed497
A ce jour, le service compte 141 stations et 453 véhicules mis à votre disposition sur 34 communes de la Métropole de Lyon.
Abonné à Lyon, abonné dans tout le réseau Citiz*
Citiz, c’est la souplesse d’utiliser une voiture quand vous avez besoin, là où vous en avez besoin. Cette flexibilité vous est permise sur l’ensemble du réseau. Marquez l’intégralité de vos déplacements du réflexe autopartage et faites foisonner votre abonnement au gré de vos envies : inscrit à Lyon avec Citiz LPA, vous pouvez louer des véhicules Citiz dans toutes les autres villes de France du réseau. Il suffit d’en faire la demande auprès du service Relation clients, qui vous ouvrira les droits nécessaires.
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 11dbe25b-82c7-30b8-a61a-9c444719a1cd
*sous réserve d'éligibilité

… Et partout ailleurs !

[left][justify]Un voyage en Citiz LPA, cela peut aller très loin. D’un arrondissement à l’autre, de Lyon vers les Monts d’or ou ses communes voisines, mais aussi au-delà : votre abonnement ne vous limite à aucun périmètre. A vous la France, à vous l’Europe : votre Citiz peut vous suivre jusqu’à l’étranger.
La circulation des véhicules est limitée aux pays suivants : Allemagne, Andorre, Autriche, Belgique, Croatie, Danemark, Espagne, France métropolitaine (hors DOM-TOM), Finlande, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Monaco, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Royaume-Uni, Slovaquie, Suède, Slovénie et Suisse.

Pensez à réserver pour cet été !
Vous projetez de partir plus de 7 jours en vacances avec Citiz LPA ? Vous êtes à la recherche d'une solution de mobilité pratique et économique pour vos vacances ? Les réservations longue durée de Citiz LPA sont pensées pour vous !
En optant pour une réservation longue durée chez Citiz LPA, vous bénéficiez de nombreux avantages, comme la gratuité du carburant*, l'assurance tous risques et l'assistance 24h/24 et 7j/7. 
Prenez rapidement contact avec le service Relation Clients qui effectuera votre réservation et vous trouvera le véhicule le plus adapté !
Contact : citiz@lpa.fr 


*via utilisation de la carte carburant ou l'application Citiz
Renouvellement du label "Lyon Ville Equitable et Durable" 
Citiz LPA s'est vu accorder le renouvellement du label « Lyon Ville Equitable et Durable » pour une durée de 3 ans. Ce label est décerné par la ville de Lyon aux entreprises qui s'engagent à respecter des critères environnementaux, sociaux et économiques dans leurs activités. 
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Citiz LPA a ainsi confirmé son implication en faveur de la mobilité durable, en proposant une alternative à la possession individuelle d'une voiture et en favorisant les nouvelles pratiques de transports en ville. Cette initiative contribue à réduire les émissions de gaz à effet de serre et la congestion routière, tout en offrant un service pratique et économique.
En décernant ce label, la ville de Lyon souligne l'engagement de Citiz LPA dans une économie durable soucieuse des enjeux de transition écologique et sociale.
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[/left]
par LYFtv-LYon
le Dim 16 Avr - 17:50
 
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Sujet: Offres d'emplois : cette startup lyonnaise fait bouger les lignes du recrutement
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Offres d'emplois : cette startup lyonnaise fait bouger les lignes du recrutement

Depuis 2019, #JenesuisPASunCV ouvre les portes du marché caché de l’#emploi et brise le mythe de la pénurie de talents. Il s'agit d'une nouvelle initiative pour décloisonner et diversifier les approches de recrutement
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Jenesu10

Le but : permettre des rencontres qui ne se feraient pas via un CV.
La startup rêve d'offrir à tous les candidats la chance d’accéder aux opportunités professionnelles qui ne passent pas par la publication d’une offre d’emploi officielle. Pour ce faire, elle inverse les rôles : ce ne sont plus les talents qui abordent les entreprises mais les entreprises qui vont au devant de candidats anonymes pour partager leurs engagements. Plus de 100 entreprises ont déjà rejoint la plateforme (Adecco, April, Apicil, bioMérieux, Cegid, Keolis, Ninkasi, l'Olympique Lyonnais, le groupe SEB, la SNCF, Visiativ, etc.)
- Plateforme de mise en relation inversée entre candidats et entreprises 
- Valoriser une approche par compétences 
- En finir avec l’illusion de la pénurie de talents 
- Bousculer les modes de recrutement traditionnels 
En 2020, 41% des embauches ont été réalisées sur le marché invisible de l’emploi, c'est-à-dire sans passer par la publication d'une offre d'emploi. Ces postes ont été pourvus via le bouche à oreille, le réseau personnel ou encore la prise de contact sur les réseaux sociaux. “Grâce à notre plateforme, nous permettons à tous les talents d’accéder à ces opportunités pour donner un nouvel élan à leur carrière” explique Laurent Arnaud, cofondateur de #jenesuisPASunCV
La startup apporte une solution aux 79% des employeurs français qui affirment éprouver des difficultés à recruter*. Pour Laurent Arnaud, il n’existe pas de pénurie de talents, mais une mauvaise appréciation du potentiel des candidats par les entreprises. #jenesuisPASunCV se pose comme un médiateur qui fait le lien entre les talents et les entreprises pour décloisonner l’accès à l’emploi. “Nous ne manquons pas de compétences en France. Nous souffrons d’un défaut de mise en relation. Le CV ne permet pas de révéler la valeur d'un candidat : il restreint le potentiel de chacun à ses expériences passées et limite les rencontres aux candidats qui ont déjà une expérience du métier pour lequel il postule. Le marché de l’emploi a changé, les entreprises n’ont plus le choix : c’est désormais à elles d’aller vers les candidats et de s’ouvrir à d’autres critères que ceux notés sur le CV” détaille Laurent Arnaud qui milite pour que les entreprises passent d'une approche par références à une approche par compétences. 
La plateforme fonctionne à l’inverse des jobboards traditionnels. 
Ce sont les entreprises qui vont au devant des candidats anonymes pour partager leurs opportunités. “En fait, ce sont les candidats qui sont cachés ! Leur profil n'est pas accessible comme sur une CVthèque traditionnelle. Sur notre plateforme, les entreprises ne communiquent pas sur leurs offres d’emploi mais sur leurs engagements. Elles valorisent leur marque employeur pour développer leur attractivité auprès des candidats” détaille Laurent Arnaud. 
Une initiative qui a déjà séduit plus de 100 entreprises de la #métropole de #Lyon 
Une centaine d’entreprises de la métropole de Lyon évoluant dans divers secteurs sont prêtes à changer de regard sur les candidats en appréciant ce qu'ils pourraient faire et non plus seulement ce qu'ils ont déjà fait : Adecco, April, Apicil, bioMérieux, Cegid, Esker, Keolis, Lavotel, Ninkasi, l'Olympique Lyonnais, le groupe SEB, la SNCF ou encore Visiativ. 
Via cette nouvelle solution, la startup répond aux enjeux de recrutement et de marque employeur en proposant une approche pragmatique et engagée. 
*selon une étude Manpower 
A propos de #enesuispasunCV 
Créée en 2019 à Lyon par Laurent Arnaud et Luc Mertzweiller, la startup #jenesuisPASunCV œuvre pour la diversité et l'égalité. L’objectif de #jenesuisPASunCV est de décloisonner l’accès à l’emploi en favorisant des rencontres qui ne se seraient pas faites avec un CV. #jenesuisPASunCV valorise une approche par compétences plutôt qu'une approche par références (le CV). Après avoir accompagné les demandeurs d’emploi, #jenesuisPASunCV s’attaque au marché caché de l’emploi et cible les personnes en veille ou en reconversion professionnelle pour faciliter leur recherche. Pour ouvrir ces nouvelles voies vers l’emploi, la startup développe une plateforme sur laquelle ce sont les entreprises qui invitent les candidats à prendre connaissance et postuler à leur offre d’emploi.
par Gilles Roman
le Mar 14 Mar - 22:09
 
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Logement, Locations, Aides

Sujet: Baromêtre de l'immobilier : les prix baissent partout, surtout à Lyon !
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Baromêtre de l'immobilier : les prix baissent partout, surtout à Lyon !

Selon le baromêtre de Meileurs agents, "le retour des beaux jours sur une large partie de la France peut être trompeur : pour le marché #immobilier, le printemps n’est pas encore là". Les prix continuent de baisser et la production de crédit s’est effondrée. Une lueur d’espoir jaillit pourtant grâce aux délais de vente qui se raccourcissent progressivement. Avec Nantes, #Lyon enregistre la plus forte baisse ce mois-ci (-1%).

Prix de l' #immobilier : des baisses partout en France
On prend les mêmes et on recommence ? Quelque chose comme ça, oui. Le mois dernier, notre baromètre faisait état d’un hiver hyper rigoureux avec des prix immobiliers qui stagnaient dans les grandes villes ; Paris et l’Île-de-France qui plongeaient ; et même des zones rurales en berne. Malheureusement, l’approche imminente du printemps ne semble pas bousculer cette tendance un peu morose. Depuis début janvier, les prix immobiliers ont ainsi reculé de 0,2% en moyenne au niveau national. 
Fait plus marquant encore : depuis fin 2022, tous les segments du marché ont basculé dans le rouge. Un phénomène extrêmement rare que nous n’avions pas observé depuis... 14 ans Si les prix immobiliers à Paris continuent de flancher (-0,4% en un mois), il en va désormais de même dans les dix autres plus grandes villes de France (-0,4%), mais aussi dans le Top 50 (-0,1%). Même les zones rurales qui portaient le marché français depuis le début de la pandémie en 2020, accusent une nouvelle baisse ce mois-ci (-0,4%).
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Info_baro_MA_MARS23_France


Marseille flanche, Lyon s’écroule, Nice s’envole


Le mois de février aurait pourtant dû apporter les premières éclaircies annonçant la poussée printanière. Il n’en est rien. L’hiver 2023 étant beaucoup plus rigoureux et long que prévu. Les premières à faire les frais de ce violent coup de froid ? Les grandes métropoles françaises, déjà fragilisées par la crise sanitaire. 


Marseille, qui connaissait jusqu’à présent une progression spectaculaire (+11,2% en un an) enregistre elle aussi un recul de 0,4% en février. La palme de la plus forte baisse est partagée par  Lyon et Nantes qui ont toutes deux vu leurs prix chuter d’1% en un mois et de plus de 2% depuis le début de l’année (-2,4% dans la préfecture du Rhône et -2,2% dans celle de Loire-Atlantique).


Dans ce marasme, seule Nice fait figure d’exception, comme le mois dernier, avec des prix immobiliers en hausse de 0,7% depuis le 1er février. 


Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Info_Baro_MA_MARS23_IPI










La production de crédit a chuté de 30% en un an


Ces baisses de prix vous inquiètent ? Attendez qu’on vous parle de la production de crédit. En décembre 2022, les banques françaises ont accordé 30% de crédits en moins par rapport à décembre 2021, selon les données de la Banque de France. Certains pointent du doigt le taux d’usure qui compliquerait l’accès au crédit. Or la réévaluation mensuelle de ce taux jusqu’en juillet prochain ne devrait hélas pas changer la donne.


Certes, cette décision apparaît comme une bonne nouvelle pour certains dossiers qui se retrouvaient bloqués par ce mécanisme de protection des emprunteurs. Mais la hausse rapide des taux qui devrait l’accompagner ne manquera pas d’avoir des conséquences sur la solvabilité de nombreux candidats à l’achat qui, de fait, se retrouveront mécaniquement exclus à leur tour du crédit. 


Pour rappel, dans des pays comme la Belgique ou l’Allemagne où ce système de taux d’usure n’existe pas, les taux d’intérêt des prêts sur 20 ans ont bondi respectivement de 2,5 et de 2 points entre janvier 2022 et janvier 2023 contre seulement 1,5 point en France au cours de la même période. Le risque ? Une remontée brusque des taux d’emprunt depuis l’annonce des changements apportés au calcul du taux d’usure. Au point que, longtemps envisagé comme le scénario du pire, un taux d'intérêt de 4% sur 20 ans d’ici fin 2023 est aujourd’hui plus que plausible.


Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Info_baro_MA_MARS23_Arrond_paris


Moins d’un million de transactions en 2023


Surtout, les banques resteront toujours aussi frileuses dans un contexte économique chahuté (inflation plus forte que prévu notamment). En atteste la situation en Belgique et en Allemagne où malgré l’absence du dispositif de taux d’usure, la production de crédits a là aussi été revue drastiquement à la baisse (respectivement -36% et -43% de production mensuelle entre décembre 2021 et décembre 2022).


En France, le volume de prêts immobiliers pourrait donc rapidement retrouver son niveau d’avant 2016 et la mise en place de la politique accommodante de la Banque centrale européenne qui a soutenu le système économique pendant près de sept ans. Si tel était le cas, cela pèserait dès cette année sur le nombre de transactions qui passerait sans conteste sous la barre symbolique du million. 


Des délais de vente porteurs d’espoir ?


Vous nous connaissez, on ne pouvait pas vous quitter sans vous laisser une note d’espoir. Et ce sont les délais de vente qui nous l’offrent, cet espoir. Dans les principales agglomérations françaises, ces délais se raccourcissent progressivement. Depuis novembre, il faut ainsi une semaine de moins en moyenne pour concrétiser une transaction, dont quatre jours gagnés au cours du seul mois de février. 


Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Info_baro_MA_MARS23_De%CC%81lais


Un signal positif pour le marché immobilier, qui témoigne d’une volonté d’achat toujours présente et d’une acceptation de la part de certains vendeurs d’ajuster sans attendre leurs prix à la baisse. Cela augure même de l’arrivée d’un printemps de l’immobilier, certes plus tardif et plus timide qu’à l’accoutumée. 


Malgré un contexte global de décroissance tant sur les prix que sur les volumes, certains porteurs de projets devraient concrétiser leur rêve d’achat au retour des beaux jours. 

par Gilles Roman
le Mar 14 Mar - 14:41
 
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Sujet: Exploitation minière des fonds marins Mobilisation samedi 18 mars à Lyon contre le massacre des abysses
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Exploitation minière des fonds marins Mobilisation samedi 18 mars à Lyon contre le massacre des abysses

Les gouvernements laisseront-ils des compagnies privées ratisser le fond des océans, patrimoine mondial de l’humanité, pour leurs intérêts industriels et financiers ? La question est sur la table alors que jeudi 16 mars débute une nouvelle session de négociations internationales en Jamaïque, au sein de l’Autorité internationale des fonds marins (AIFM), visant à autoriser ou non le démarrage de l’exploitation minière des océans. Si elle voyait le jour, cette industrie consisterait à envoyer des machines gigantesques racler les fonds marins à des milliers de kilomètres sous la surface afin d’y récupérer les métaux et minerais constitués en nodules.
Partout en France, dans une vingtaine de villes, les groupes locaux de #Greenpeace France vont rappeler l’enjeu crucial qui se joue ces deux prochaines semaines pour l’avenir des océans.  
A #Lyon, le rendez vous est fixé samedi 18 mars à 14h devant le #Musée des #Confluences
Contre l’exploitation minière, qui pourrait démarrer dès cet été, les militantes et militants de Lyon demanderont aux citoyennes et citoyens de se mobiliser aux côtés de Greenpeace et des autres organisations de la société civile, à l’occasion d’une journée nationale de mobilisation pour la protection des océans. 
Derrière le message “Abysses : massacre imminent”, affiché sur une grande bannière, ils sensibiliseront les citoyens et les appelleront à rejoindre un mouvement massif contre cette exploitation destructrice, notamment via une pétition qui a déjà recueilli plus de 155 000 signatures.
La France doit mener le combat à l’international
En novembre 2022, à la COP27 en Egypte, Emmanuel Macron s’est déclaré pour l’interdiction de l’exploitation minière des océans. Ce changement de position(le gouvernement français ayant dans un premier temps soutenu l’idée de l’exploitation) est intervenu suite à une forte mobilisation de la société civile, des scientifiques et des populations du Pacifique qui ont vivement dénoncé cette industrie.
“Ce revirement de situation est une excellente chose mais pas un aboutissement, rappelle François Chartier, chargé de campagne Océans chez Greenpeace France. Seule, la France ne pourra pas interdire une exploitation commerciale de voir le jour, potentiellement dès cet été. Il faut désormais que la France et les pays anti-exploitation rallient une majorité de gouvernements et fassent bloc pour empêcher le déploiement de cette industrie. Nous serons extrêmement vigilants à Kingston : les engagements oraux doivent se concrétiser dans la diplomatie internationale”.
La dynamique est déjà en cours et l'opposition internationale à cette activité naissante de plus en plus forte. L'Allemagne a exprimé la nécessité d'un moratoire ou pause de précaution tout comme la Nouvelle-Zélande, le Panama, l'Espagne, le Chili, le Costa Rica et une alliance de pays du Pacifique. L’adoption récente à l’ONU d’un traité sur la haute mer, qui en soit ne protège pas les océans de l’exploitation minière, aura inévitablement des répercussions et pourra inciter davantage de gouvernements à se joindre à l’appel contre cette industrie. 
Une industrie délétère pour l’environnement et le climat
De nombreuses recherches sont encore nécessaires pour comprendre la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes au fond des océans. Les scientifiques ont déjà mis en garde contre les risques importants que l’industrie minière ferait peser sur les écosystèmes océaniques, notamment les dommages irréversibles causés à des habitats uniques, les extinctions potentielles d'espèces et la pollution de la colonne d'eau. Un récent article scientifique souligne également l'impact potentiel du bruit de l'exploitation minière sur les espèces menacées d'extinction au niveau mondial, telles que les baleines bleues. 
De plus, une autre étude démontre que les grands fonds marins ne fourniront pas les métaux nécessaires à la transition énergétique, réfutant le principal argument des compagnies minières. Des grands constructeurs automobiles se sont engagés à ne pas s'approvisionner en minerais des fonds marins et ont soutenu l'appel en faveur d'un moratoire. “Nous avons une occasion unique d’empêcher une industrie polluante de voir le jour. Plus que jamais, la mobilisation de toutes et tous est primordiale”, conclut François Chartier. 
par Gilles Roman
le Mar 14 Mar - 11:00
 
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Sujet: Livraison du dernier kilomètre : Amazon reprend l'initiative à Lyon
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Livraison du dernier kilomètre : Amazon reprend l'initiative à Lyon

S'agit-t'il de greenwashing ou d'un engagement sincère en faveur du développement durable ?  Toujours est-t'il que la multinationale, qui n'a pas bonne presse auprès des municipalités écolos annonce faire des efforts sans précédents pour livrer désormais ses clients à l’aide de vélos cargo dans une dizaine de villes françaises : Annecy, Bordeaux, #Lyon, Marseille, Montpellier, Nice, Paris, Rouen, Strasbourg, et Toulouse
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Amazon prévoit d’investir plus de 250 millions d’euros au cours des cinq prochaines années afin de poursuivre l’électrification et la décarbonation de son réseau de transport en France et permettre à l’entreprise d’accélérer la réalisation de son objectif : "être zéro émission nette de CO2 d’ici 2040, avec dix ans d’avance sur l’objectif fixé par l’Accord de Paris".
Des aides du gouvernement et la réponse à des "appels à projet"...
L’année dernière, le gouvernement français mettait en place un plan national en faveur de la cyclo logistique visant à accélérer le développement de la mobilité propre en zone urbaine. Objectifs : lutter contre la pollution de l’air, développer des zones à faibles émissions (ZFE) sur l’ensemble des agglomérations de plus de 150 000 habitants et contribuer à la stratégie nationale bas carbone qui prévoit une réduction de 28% des émissions de GES du transport en 2030 (par rapport à 2015). Plus concrètement, ce plan vise un triplement de la part modale du vélo d’ici 2024.
Déploiement de la cyclo logistique pour les livraisons du dernier kilomètre
Dès 2017, Amazon a introduit la cyclo logistique dans ses activités de livraison. « Nous avons commencé avec trois vélos à Strasbourg, » se rappelle Charles Davous, responsable des projets livraisons du dernier kilomètre chez Amazon (...) 
Il ne suffit pas de remplacer des véhicules par des vélos pour mettre en place une stratégie de cyclo logistique. Amazon a dû trouver de nouveaux entrepôts au plus proche des villes, les livreurs à vélo prenant ensuite le relais sur le « dernier kilomètre » en centre-ville. 
Dans la région parisienne, Amazon a notamment répondu à l’appel à projet de la RATP pour utiliser à cette fin les centre bus en journée. "En journée, quand les bus sont sur le terrain, nous utilisons l’espace disponible pour y transborder nos tournées de livraison dans des vélos cargo". Cela permet d’optimiser l’utilisation d’un espace dont les caractéristiques sont compatibles.
En dehors de Paris le logisticien s’appuie sur son réseau de partenaires de transport avec cette même optique. Cette stratégie a été appliquée dans les villes où Amazon a développé de la cyclo-logistique ces derniers mois, au-delà de Strasbourg et Paris : Rouen, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Lyon, Annecy, Marseille et Nice.
Développer une cyclo logistique sécurisée
Comme pour la livraison avec des véhicules utilitaires, Amazon s’appuie sur ses partenaires de livraison, comme le groupe Coursier.fr, pour mettre en œuvre la cyclo logistique. L’ensemble des livreurs à vélos sont salariés des partenaires de livraison d’Amazon. 
Une adaptation aux politiques  ZFE (Zones à Faible Emission) décidées dans les grandes métropoles
La cyclologistique contribue  à la décongestion du trafic tout en s’inscrivant dans une tendance de fond : de plus en plus de villes ferment leur centre aux véhicules motorisés. « Les ZFE et la piétonnisation des hyper centre villes sont deux sujets complémentaires. Si la transition des flottes des véhicules traditionnels de livraison est nécessaire pour les ZFE, elle n’est pas suffisante pour accéder aux cœurs de ville". 
par Gilles Roman
le Mer 1 Mar - 15:12
 
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Sujet: Lyon : des squatteurs poursuivent le propriétaire en justice !
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Lyon : des squatteurs poursuivent le propriétaire en justice !

Le tribunal de Lyon a examiné le mardi 28 février 2023 la demande de jeunes squatteurs qui estimaient leur expulsion illégale. "Ils réclament 5000 euros de dommages et intérêts et le retour dans le logement occupé illégalement. Les débats ont porté sur le droit à la propriété et le droit au logement. Le jugement a été mis en délibéré", relate France3 Rhône-Alpes sur son site internet... Il y a 18 mois, un immeuble de la rue des Tuileries (dans le 9e arrondissement de Lyon) est squatté par une vingtaine de personnes. Il est à l'abandon. Il sert principalement de bureaux et de siège d'entreprise. Comme la loi le prévoit (quand des squatteurs occupent un logement ) le propriétaire engage une procédure judiciaire. Procédure qui débouche dans ce cas sur une "reprise des lieux", ordonnée par le juge des contentieux. Les squatteurs ont jusqu'au 31 mars, ensuite : ils doivent partir.
Une piscine sur le toit et des débordements à répétition
Pendant des mois, le voisinage doit subir le rythme de vie de ce groupe de squatteurs. Une piscine hors sol a été installée sur le toit de l'immeuble. Le groupe fait sa vie. Musique techno, bagarres, disputes, cris… La tension est palpable dans le quartier. Pétitions, recours, tentative de médiation, rien n'y fait.
Le 23 janvier 2023, la situation s'apaise. Elle s'apaise tellement que le voisinage prévient le propriétaire. Les lieux semblent désertés. Très vite, en quelques heures, l'immeuble est barricadé et placé sous surveillance. Un agent de sécurité veille à ce que personne ne puisse à nouveau pénétrer dans l'immeuble. Quand il revient sur le site l'un des plaignants a encore des effets personnels à l'intérieur. Il occupait les lieux depuis un an, il réclame 5000 euros de dommages et intérêts. Il espère pouvoir réintégrer "son logement".
Droit au logement VS Droit à la propriété
En l'espèce, la problématique des débats a porté sur le droit à la propriété face au droit au logement. La propriétaire, une S.C.I. (Société Civile Immobilière) explique que "il n'y a pas eu expulsion". Elle revendique sa propriété et indique avoir tout fait pour justifier son bon droit. Elle évoque l'insalubrité des lieux, la dangerosité, les dégradations qui coûtent chères et les coût liés aux assurances et à l'emprunt.
Pour l'avocate des plaignants, la version est différente. Certes, ses clients occupaient les lieux "sans droit, ni titre", mais une ordonnance du juge des contentieux avait fixé une date : c'était le 31 mars 2023. Selon elle, les squatteurs ont été expulsés illégalement. 
Le Tribunal de Grande Instance de Lyon, après avoir écouté les arguments des uns et des autres a mis sa décision en délibéré. Suite de l'histoire le14 mars prochain.
par Gilles Roman
le Ven 16 Déc - 12:32
 
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Sujet: Se loger à Lyon : les prix en fonction des stations de métro
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Se loger à Lyon : les prix en fonction des stations de métro

Cartographie Quels loyers à Lyon en fonction du métro L’agence de location et de gestion en ligne Flatlooker publie une carte des loyers placés en fonction des stations de métro dans la ville de Lyon. L’étude a été menée sur des T2 de 35 m2, à partir de 175.000 annonces diffusées sur les portails immobiliers en 2022. Elle permet de mettre en évidence de fortes disparités d’une station à une autre.
Analyse :
A Lyon, ce n’est pas parce qu’on s’éloigne du centre-ville que le loyer est moins cher. Sur la ligne D, les loyers moyens à la station Laënnec (au sud-est de Lyon) sont de 630€. Ils font partie des plus élevés de la ville. C’est notamment là qu’on retrouve la faculté de médecine. La station aux loyers moyens les plus chers est Masséna (660€). Les stations avec les loyers les moins chers sont de leur côté au bout de la ligne A : Cusset (480€), Laurent Bonnevay (480€) et Vaulx-en-Velin
A propos de Flatlooker
Fondée en 2016 par Nicolas Goyet, CEO et Nicolas Parisot, COO, la start-up Flatlooker permet de trouver un logement sans avoir à bouger de son canapé !  Grâce à la visite 360° et aux vidéos 4k, les futurs locataires peuvent visiter un logement comme s'ils y étaient. Visites en lignes hyper détaillées, dépôts de dossiers locatifs en ligne, signatures électroniques, paiements et gestion des incidents dématérialisés, Flatlooker apporte des solutions dématérialisées particulièrement avantageuses pour les propriétaires. Côté propriétaires, Flatlooker assure la gestion locative à un prix 25% en deçà d'une agence immobilière classique tout en proposant une qualité de service supérieure. Forte de son succès, la start-up qui a levé 1,5 millions d'euros en 2018 se compose aujourd'hui de 50 salariés et est active dans 30 villes, avec plus de 3.200 appartements en gestion.
par Gilles Roman
le Ven 3 Juin - 16:20
 
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Sujet: Pollution industrielle au sud de Lyon : des actions en justice contre Arkema et Elkem Silicones
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Pollution industrielle au sud de Lyon : des actions en justice contre Arkema et Elkem Silicones

À la suite de requêtes déposées en vue d’un référé pénal environnemental contre deux exploitants industriels de la vallée de la chimie, des questions sont soulevées, selon la Préfecture, quant à la prévention des pollutions aux abords de ces sites. Les services de l’État précisent les actions menées. 

L’association « Notre affaire à tous » a déposé deux requêtes en vue d'un référé pénal environnemental contre les sociétés #Arkema (Pierre-Bénite) et Elkem Silicones (Saint-Fons).
En raison de leur classification Seveso seuil haut, ces deux sites industriels font l’objet de contrôles très réguliers par les services de l’État, permettant de mettre en évidence et d’engager des mesures en cas de non-conformité. 
Graduées selon leur niveau de gravité, les non-conformités peuvent être rectifiées par une action de l’exploitant (vérifiée par une nouvelle inspection), ou donner lieu à une mise en demeure, et si nécessaire à une sanction. 
Sur la base des rapports d’inspection des installations classées, l’association estime que les non-conformités relevées et signalées par l’État n’ont pas été suivies d’effets suffisants par Arkema et Elkem Silicones. 
Accès aux rapports d’inspection de l’État sur ce lien : 
La préfecture indique dans un communiqué qu'à la demande de l’inspection, plusieurs non-conformités – citées par l’association – ont déjà été levées par des actions des exploitants. À titre d’exemple, Arkema a réalisé une station de traitement des effluents, permettant de lever la mise en demeure du 2 mai 2018. Elkem a réalisé un bassin grand sinistre pour prévenir les déversements accidentels, répondant à la demande de mise en conformité du 7 juin 2019.
D’autres non-conformités sont en voie d’être levées ; elles nécessitent souvent l’investissement dans de nouveaux équipements, des délais de réalisation sont donc prescrits en conséquence à l’exploitant. L’inspection s’assure du respect de ces prescriptions et de ces délais. 
Les services de l’État indiquent qu'ils sont "à la pleine disposition de l’autorité judiciaire pour établir un bilan précis, pour chaque non-conformité, des actions réalisées et en cours et des modalités de contrôle".
par Gilles Roman
le Jeu 26 Mai - 11:58
 
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Sujet: Lyon : une émission sur la pollution du site Arkema de Pierre Bénite crée la polémique
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Lyon : une émission sur la pollution du site Arkema de Pierre Bénite crée la polémique

Suite à la publication d’une enquête journalistique indiquant la présence de PFAS (substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées) au Sud de #Lyon, les services de l’État se sont engagés à mener plusieurs actions et à rendre compte régulièrement de la situation. 
 
  
Selon un communiqué du Préfet, le 26 mai 2022 :
Les contrôles des eaux du Rhône et des rejets de la plate-forme industrielle de Pierre-Bénite ont été complétés, par la DREAL et des laboratoires agréés, avec un contrôle inopiné des rejets de Daikin le 18 mai dernier. Celui-ci vient en complément des contrôles précédents (contrôles inopinés des points de rejets d’Arkema le 23 mars et le 28 avril, contrôle des eaux du Rhône et du canal usinier le 5 mai). 
Le préfet de région, préfet du Rhône, a signé le 20 mai 2022, à la suite d’une procédure contradictoire réalisée dans des délais accélérés, deux arrêtés prescrivant une surveillance renforcée des PFAS dans les process des usines Arkema et Daikin et leurs rejets liquides. Les bilans seront transmis périodiquement à l’inspection des installations classées et permettront d’objectiver la situation. 
A l’heure actuelle, les PFAS ne sont pas recherchés dans le cadre du contrôle sanitaire mis en œuvre par l’Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes car ces composés n’y sont pas encore réglementés. 
La directive européenne 2020/2184 qui concerne la qualité des eaux de consommation est en cours de transposition en droit français ; les PFAS devront être intégrés dans les analyses sanitaires de l’eau de consommation d’ici 2026. 
Sans attendre cette évolution nationale et en application du principe de précaution, l’Agence Régionale de Santé Auvergne-Rhône-Alpes #ARS va mettre en œuvre une surveillance des PFAS dans l’eau brute, traitée et distribuée, d’ici l’été 2022, pour l’eau d’alimentation issue des champs captants de Grigny et Ternay. 
A ce stade des analyses, les recommandations sanitaires sont les suivantes : 
- selon l’organisation mondiale de la santé, l’allaitement maternel est bénéfique pour les nourrissons et est recommandé de façon exclusive jusqu’à 6 mois, 
- l’ARS ne recommande pas de restriction de la consommation de l’eau d’alimentation issue des champs captants de Grigny et Ternay. 
Enfin, une page internet de référence a été ouverte sur les sites de la préfecture du Rhône, de la direction régionale de l’environnement de l’aménagement et du logement (DREAL), de l’Agence régionale de santé (ARS). Le public et les médias y trouveront, en fil de l’eau, les résultats des investigations menées par les services de l’État ainsi que les recommandations sanitaires. 
par Gilles Roman
le Mar 22 Mar - 17:03
 
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Sujet: Achat vs Location ? à Lyon, pour le même prix il vaut mieux louer !
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Achat vs Location ? à Lyon, pour le même prix il vaut mieux louer !

Exclu SeLoger // À Lyon, on a plus grand en louant son logement plutôt qu’en le achetant (mais ce n'est pas le cas dans la plupart des villes de France) ! Contre toute attente, être propriétaire de sa résidence principale plutôt que d’en être locataire permet le plus souvent de gagner en superficie.
Le recul global du pouvoir d’achat immobilier des Français ne saurait, en effet, masquer les inégalités locales. Pour 1 000 € déboursés chaque mois, où vaut-il mieux acheter son logement ? Et au contraire, où est-il plus avantageux de le louer ? 
Mètres carrés : un ratio meilleur à l’achat qu’à la location
Certaines idées reçues ont décidément la peau dure… Parmi celles-ci, on retiendra la croyance selon laquelle l’un des avantages de la location par rapport à l’achat immobilier tient au fait qu’en louant, on peut espérer profiter de davantage de mètres carrés qu’en achetant. En d’autres termes, pour un même budget, il serait le plus souvent impossible d’acheter l’équivalent - en termes de superficie -  de ce qu’on loue. Aussi répandue soit-elle, cette idée reçue mérite toutefois qu’on lui torde le cou. Et pour cause, il ressort d'une étude que nous avons réalisée que dans plus de la moitié (55 %, pour être précis) des villes de France de plus de 30 000 habitants, il est plus avantageux d’acheter sa résidence principale que de se contenter de la louer. Dans plus d'un cas sur deux, on gagne, en effet, de la surface en achetant. 
En effet, dans une majorité des villes de l’hexagone et en contrepartie d’un effort financier de 1 000 € par mois, ceux-ci étant dépensés soit en mensualités de crédit, soit en loyers, vous pouvez vous offrir davantage de mètres carrés en achetant votre logement plutôt qu’en le louant. Si ce montant (1 000 €/mois) peut vous sembler disproportionné, sachez que nous l’avons choisi afin de pouvoir comparer, toutes choses étant égales par ailleurs, les marchés immobiliers de métropoles comme Lyon à ceux de communes comme Charleville-Mézières ou Montluçon. Dans la quasi-totalité des communes étudiées, l’ascendant du pouvoir d’achat immobilier sur la capacité locative s’explique par une relative ténuité des prix de vente (pas plus de 3 012 €/m²) relevés localement.
Dans 26 % des villes de plus de 30 000 habitants dans lesquelles mieux vaut acheter que louer, le gain obtenu représente une pièce supplémentaire.

À Montluçon, acheter plutôt que louer permet de gagner 116 m²
À la lecture de l’étude que nous avons conduite, il est troublant de constater qu’en délaissant la location au profit de l’achat immobilier, on peut multiplier par 2 la superficie de son logement. Deux villes permettent aux acquéreurs de gagner autant de surface en plus. Il s’agit de Montluçon dans l’Allier et de Nevers dans la Nièvre. À Montluçon, pour 1 000 € par mois, vous devrez vous contenter de 112 m² à la location au lieu de 229 m² à l’achat ! Si ces deux villes cristallisent la supériorité - locale - de l’achat immobilier sur la location, en termes de mètres carrés gagnés, d’autres communes ne sont pas en reste, loin s’en faut ! Sur la totalité des municipalités qui font la part belle aux acquéreurs, 1 ville sur 5 permet de profiter d’une pièce supplémentaire. Concrètement, le bonus oscille entre 9 et 18 m². C’est le cas, par exemple, à Avignon (+ 9,7 m²), à Quimper (+ 16,2 m²)

À Caen, dans le Calvados, pour 1 000 € déboursés chaque mois, la surface, qu’elle soit achetée ou qu'elle soit louée, sera la même.
Un gain de 18 m² en signant un compromis plutôt qu’un bail
À l’heure où les mètres carrés sont aussi rares que chers et où les Français ont, plus que jamais, des envies d’espace(s), ce qui s’apparente à une exception, non pas culturelle mais bien immobilière, mérite que l’on s’y attarde. Car aux avantages - déjà bien connus - de l’achat immobilier (éviter de payer des loyers à fonds perdus, se constituer un patrimoine, préparer sa retraite, etc.) s’en ajoute un autre auquel on ne s’attendait pas : avoir une plus grande superficie qu’à la location. Et cela dans plus d’une ville sur deux ! Or, si certaines communes permettent aux acquéreurs de s’offrir l'équivalent d’une pièce en plus, d’autres leur offrent même la possibilité de profiter de l’équivalent de deux pièces en plus. soit un bonus de 18 m². Un tel gain de surface vous sera ainsi octroyé en faisant l'acquisition d’un logement à Limoges (+ 28,4 m²) ou encore à Évreux (+ 39,2 m²).
À Paris, l’écart en m² est mince entre l’achat et la location
Si 55 % des villes de plus de 30 000 habitants dont nous avons scruté les marchés immobiliers donnent l’avantage, en termes de surface habitable, aux acquéreurs sur les locataires, force est de constater que ces derniers reprennent la main dans 44 % d’entre elles Ce déplacement du centre de gravité de l’achat vers la location s’explique non seulement par des prix de vente élevés (notamment dans les grandes villes, en région parisienne et dans le sud de la France), mais aussi par un déséquilibre entre une forte demande et des biens trop rares, plus marqué sur le marché de la transaction que sur celui de la location. Dans ces villes où louer permet d'avoir plus grand que si l’on achète, le gain en superficie oscille entre 1 et 35 m². Enfin, il est intéressant de souligner que, si les prix parisiens dépassent ceux des autres villes de l’hexagone, le niveau (élevé !) des loyers pratiqués dans la capitale fait que le gain en mètres carrés à la location y est rogné. Jugez plutôt, il se limite à 13 m² à Paris alors qu’il culmine à 22 m² à Nantes !
"C'est parce que la réalité du marché immobilier n'est pas uniforme en France et que les problématiques rencontrées par les Français pour se loger sont très différentes d'une ville à l'autre que nous récoltons l'avis précieux de chacun des Français sur l'immobilier et le logement au travers d'une grande consultation nationale : le logement, parlons-en avec SeLoger" explique Séverine Amate, porte-parole du Groupe SeLoger. "Les résultats de cete consultation seront le terreau d'un manifeste qui sera remis au prochain gouvernement comme piste de réflexions et de solutions pour l'avenir."
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Notre méthodologie : Dans cet article, les données sur lesquelles nous nous sommes basés ont été calculées comme suit : Les prix et les loyers sont datés du 1er mars 2022. La surface pour une mensualité de crédit de 1 000€ a été calculée pour la capacité d’emprunt via un crédit immobilier. Elle représente le nombre de mètres carrés que peut s’offrir un ménage via un crédit immobilier sans apport. La capacité d’emprunt est d’une durée de 20 ans, avec un taux d’emprunt à 20 ans tel qu’il est appliqué aujourd’hui sur le marché (Banque de France). La surface pour un loyer de 1 000 € a été calculée sur la base des prix des loyers tels qu’ils sont affichés dans les annonces de SeLoger. La différence entre acheter et louer avec une mensualité de 1 000 € représente la surface d’une mensualité de 1 000 € moins la surface d’un loyer de 1 000 €.
par Gilles Roman
le Sam 19 Fév - 16:32
 
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Sujet: Présidentielles 2022 : le débat du siècle interroge les candidats sur le climat !
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Présidentielles 2022 : le débat du siècle interroge les candidats sur le climat !

Le collectif #Alternatiba ANV Rhône a lancé ce samedi à Lyon une campagne d’affichage pour dénoncer les candidats à la présidentielle qui représentent une menace pour la lutte contre le dérèglement climatique. 

 

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Une manière d’avertir visuellement les citoyens du danger et de les inviter à passer à l’action.
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Altern10
Crédit photo : Alternatiba ANV Rhône
L’urgence climatique n’est pas prise au sérieux par nombre de candidats à l’élection présidentielle, alors que les conséquences de l’inaction climatique sont déjà bien réelles. Pour alerter les électeurs sur ce constat accablant, ANV-COP21 et les Amis de la Terre ont débuté ce samedi une opération d’affichage d’envergure partout en France.
À Lyon comme partout en France, les militants et militantes ont collé un avertissement en forme de main rouge sur les affiches de campagne des candidats et candidates, accompagné du slogan « Urgence climatique, candidat(e) dangereux ». Concrètement, il s’agit de dénoncer les programmes qui ne tiennent pas ou peu compte des alertes scientifiques et donc qui ne proposent pas de mesures ambitieuses, réalistes et socialement justes pour faire face à l’urgence climatique. 
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Lyon_s10
« Les candidates et candidats que nous avons ciblés nous emmènent droit dans le mur pour plusieurs raisons », commente Lolita Boucher, porte-parole d’Alternatiba ANV Rhône avant de reprendre : « leurs mesures ne permettent pas à la France de respecter ses objectifs de diminution de gaz à effets de serre à l’horizon 2030. Elles ne luttent pas non plus contre les inégalités, mais servent les plus riches et les grandes entreprises, laissant de côté les plus précaires. Enfin, ces candidats mettent en avant des solutions inefficaces et coûteuses face à l’urgence climatique, comme la captation de carbone, détournant les fonds nécessaires à la transition écologique ». 
Avec cet affichage qui se poursuivra pendant toute la campagne, ANV-COP21 et Les Amis de la Terre rappellent que les questions de climat et de justice sociale doivent être au centre du débat politique, parce qu’elles déterminent l’avenir du pays. « Une société qui respecte les limites de nos écosystèmes va de pair avec une société plus juste, plus égalitaire et plus digne », ajoute Lolita. 
Face aux candidates et candidats dangereux·ses pour le climat, les citoyen·ne·s ne sont pas démuni·e·s. Leur vote est crucial, tout comme leur participation aux mobilisations populaires des marches climatiques et sociales organisées partout en France et à  Lyon le 12 mars prochain.
Ils peuvent aussi soutenir le Plan A ( https://leplan-a.com ), lancé par Alternatiba, les Amis de la Terre et ANV-COP 21, qui jette les bases d’une société plus juste et plus soutenable.
par LYFtv-LYon
le Jeu 2 Sep - 9:53
 
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Sujet: Lyon : une tentative d'empoisonnement du personnel à l'hôpital Mermoz ?
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Lyon : une tentative d'empoisonnement du personnel à l'hôpital Mermoz ?

C'est un "fait divers" peu commun qui suscite beaucoup d'interrogations : selon le quotidien Le Progrès de Lyon  plusieurs soignants de l'hôpital Jean Mermoz à Lyon 8ème ont été pris de malaises au cours du mois d'août.
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Les faits se sont déroulés à des dates différentes : dans la nuit du 31 au 1er août, une aide-soignante s'est sentie mal  après voir bu de l'eau en  bouteille. Une analyse contenu aurait révélé la présence de tranquillisants. Quelques semaines plus tard, dans la nuit du 19 au 20 août, une aide-soignante a été retrouvée inconsciente et a été transportée aux urgences. Le lundi 23 août, une autre infirmière est retrouvée inconsciente, également intoxiquée par des médicaments.

Protocole de sécurité renforcé
L'hôpital fait savoir que les trois cas d’intoxication médicamenteuse de salariés n’ont eu aucune conséquence préjudiciable sur les victimes mais que dès les premiers faits avérés, la direction de l’établissement est allée à la rencontre des équipes pour les informer d’une suspicion d’intoxication médicamenteuse.
"L’établissement a renforcé son protocole de sécurité. Les bouteilles d’eau et les plateaux-repas sont désormais stockés dans le local du PC sécurité, sous surveillance d’un agent Ssiap (Service de sécurité incendie et d‘assistance à personnes) et sont remis aux soignants sur émargement".
Une enquête est évidemment en cours...
par Gilles Roman
le Jeu 29 Juil - 19:20
 
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Sujet: L'immobilier continue de flamber à lyon
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L'immobilier continue de flamber à lyon

Exclu Seloger - Pourquoi les prix immobiliers flambent-ils à Lyon ?
[center]
11 % de hausse sur 1 an dans le 1er arrondissement de #Lyon. Des prix qui accusent 12,6 % d’augmentation dans le 2e lyonnais et un bond de 14,4 % dans le 5e arrondissement. Pas de doute, dans la Capitale des Gaules,  les prix des #logements anciens (5 613 €/m²) accélèrent fortement.
Éléments d’explication et données du Baromètre LPI-SeLoger de juin dernier.
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Lyftvn10

Lyon est une ville extrêmement dynamique et cela se ressent également en ce qui concerne le marché #immobilier où la flambée des prix des biens est amorcée déjà depuis plusieurs mois du fait d'une forte demande combinée à une pénurie de biens à la vente. Une mécanique haussière qui  entraîne dans son élan des villes proches telles que Charbonnières-les-Bains, Caluire-et-Cuire ou encore Sainte-Foy-Lès-Lyon. Sans oublier qu'avec l'avènement du télétravail, la possibilité de s'éloigner demeure une piste intéressante pour les futurs acquéreurs. Ainsi, des villes comme Saint-Genis-Laval, La-Tour-de-Salvagny ou encore Miribel, situées à moins de 30 minutes de Lyon[/url], offrent une alternative aux acquéreurs mis sous pression face à des prix qui ne semblent pas vouloir fléchir " analyse Séverine Amate, porte-parole chez SeLoger.
Selon les données qu’a recueillies le Baromètre LPI-SeLoger, sur les douze derniers mois, le prix au mètre carré à Lyon a enregistré 8,5 % de hausse sur 1 an pour se porter à 5 613 € et au trimestre, la hausse se chiffre à 1,6 %. Ce sont 100 % des arrondissements qui composent celle que l’on surnomme la Ville au Deux Collines qui voient les prix de leur immobilier progresser. Mais alors, comment expliquer cette formidable poussée des prix de la pierre lyonnaise ? Dans la préfecture du Rhône comme dans la plupart des grandes villes françaises, la hausse du prix de l’immobilier résulte de la réunion de deux facteurs. À savoir, d’une part, une forte demande.En ces temps de pandémie et d’incertitudes, la pierre jouit, plus que jamais, d’un statut de « valeur-refuge » auprès des Français. D’autre part, des biens à vendre qui se font rares. Et pour cause, une large majorité des propriétaires renonce à vendre leur logement. Non pas qu’ils craignent que leur bien ne trouve pas preneur, bien au contraire, la ténuité de l’offre fait que la plupart des ventes se font non seulement très rapidement et aussi au prix, mais plutôt par crainte de ne pas parvenir à trouver un logement, une fois que le leur aura été vendu. Seulement voilà, à Lyon comme ailleurs, en agissant de la sorte, les propriétaires ne font qu’entretenir et même aggraver la pénurie de stocks qu’ils redoutent tant. Bref, c’est le serpent qui se mord la queue ! D’où des prix immobiliers qui n’en finissent pas de flamber.
S’il est un arrondissement de Lyon où la hausse du prix de l’immobilier est particulièrement marquée, c’est bien le 5e lyonnais (Vieux Lyon, Fourvière). Jugez plutôt, le  prix au m² dans le 5e arrondissement de Lyon accuse 14,4 % de hausse sur 1 an. De la place de l’Abbé Larue à la rue du Viel renversé, en passant par le quai des Étroits, devenir propriétaire dans le 5e lyonnais coûte 5 364 €/m². En termes de hausse des prix, si le 5e arrondissement se tient sur la plus haute marche du podium, la 2e et la 3e sont occupées respectivement par le 2e arrondissement (12,6 % sur 1 an / 6 748 € du m²) et le 1er arrondissement (+ 11 % / 6 305 € du m²). Avec « seulement » 2,3 % de hausse annuelle et en comparaison, le 4e arrondissement ferait « presque » pâle figure… 
Plus de 6 700 €/m² dans le 2e arrondissement de Lyon !
C’est dans le 2e arrondissement de Lyon (Cordeliers, Bellecour) que les prix les plus élevés ont été relevés. Comptez 6 748 € du m² pour y devenir propriétaire d’un logement dans l’ancien. Rien d’étonnant toutefois car on sait qu’il s’agit là de l’arrondissement le plus huppé, le plus chic et, par voie de conséquence, le plus cher de la Capitale de la Gastronomie avec le 6e lyonnais (Les Brotteaux, Cité Internationale). Du boulevard des Belges à la rue Duquesnes et au cours Franklin-Roosevelt, le prix de vente signé avoisine 6 629 € du mètre carré. En termes de prix, c’est du côté de Vaise, de Gorge de Loup, de Saint-Rambert-L’Île-Barbe ou encore de La Duchère que les prix sont les plus accessibles. Le prix immobilier dans le 9e arrondissement de Lyon tourne, en moyenne, à 4 149 €.
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Le_bar10 

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par LYFtv-Environnement
le Mar 23 Juin - 14:14
 
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Sujet: Les écologistes en campagne dans le 5e et 9e de Lyon et la circonscription Lyon Ouest !
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Les écologistes en campagne dans le 5e et 9e de Lyon et la circonscription Lyon Ouest !

La circonscription Ouest est une porte d'entrée dans Lyon et concentre les axes clefs du programme des écologistes : Mobilité, éducation, économie, etc. 
Souhaitant offrir une alternative véritablement écologiste et solidaire, Nadine Georgel – candidate tête de liste du 5e arrondissement - promet de libérer les Lyonnais.es du 5ème de la voiture, de renforcer les liens sociaux entre habitant.e.s et de faire de cet arrondissement riche en espaces naturels (notamment la Colline de Fourvière) un exemple de la préservation de la biodiversité. Ceci grâce aux initiatives Territoire Zéro Déchet via l’installation de composteurs dans les copropriétés et les espaces publics. 
Elle et son équipe promettent d'assurer également la sécurité des personnes vulnérables. Un humanisme qui passe par l’inclusion vers les aînés et les enfants. Quelque soit leur héritage, leurs origines, qu’ils.elles vivent à Saint Georges, à Trion, à Fourvière, à Ménival. 
Dans le 5e arrondissement, une liste ancrée dans le territoire 
L'équipe du 5e se dit consciente de la réalité économique. Composée de salariés, d'artisans, d'entrepreneurs et de professions libérales, la liste se retrouve sur le fait que la transition écologique est une opportunité ! Les femmes et les hommes qui la composent sont également engagé.e.s dans la préservation des ressources de l'arrondissement avec comme objectifs : la volonté à développer les énergies renouvelables, promouvoir une consommation durable et multiplier les composteurs. 
Renforcer les liens humains : une priorité dans le 5e 
Dans le 5e arrondissement, nous ferons du renforcement des liens humains et sociaux une priorité. Pour que le handicap, l’avancée en âge, la pauvreté, la vulnérabilité et l’exil ne soient plus synonymes d’isolement.  
Le 9e est un arrondissement en pleine mutation, qui a su se transformer et se réinventer au cours de l’histoire.
À l’image de Vaise, de l’Industrie et bien sûr de la Duchère. Il comprend le quatrième parc de Lyon, celui du Vallon, et la forêt en ville dans les balmes qu'il partage avec le 5e. Avec la Saône comme fil conducteur, l’arrondissement possède aussi de nombreux ruisseaux et des réservoirs de biodiversité comme le parc de la Cressonnière. Son patrimoine historique, industriel et urbain est remarquable et il a déjà toutes les cartes en main pour devenir le symbole d’une transition écologique réussie. 
La mobilité est un enjeu fort du 9e. 
La pollution et la congestion quotidienne des grands axes de circulation comme la rue Marietton seront améliorées en proposant d’avantages d’alternatives à la voiture et en éloignant le trafic de transit. La demande en écoles est également importante et il nous faudra y répondre avec le lancement dès le début du mandat de la construction de deux nouvelles écoles. Les écoles actuelles seront rénovées pour offrir des conditions d’enseignement dignes pour les enfants et les enseignants, et les adapter aux nouvelles conditions climatiques. 
La candidature écologiste dans le 9e rassemble des citoyen.ne.s décidé.e.s à franchir le pas de l’implication en politique face à l’urgence écologique. Issu.e.s de la société civile et pour beaucoup du mouvement climat, ces municipales sont pour nous l’occasion de passer de l’indignation à l’action pour proposer une autre vision de Lyon
Au deuxième tour, cette liste s’est alliée avec les listes de Lyon en Commun et de la Gauche Unie. "Ils nous amènent leurs expériences et leurs sensibilités et renforcent encore notre équipe et notre programme, social et écologique pour toutes et tous. Un nouveau souffle qui porte un projet pour : pour le climat, pour la justice sociale, pour un futur désirable". 
Dans le 9e arrondissement, 46 ans séparent les deux têtes de liste : l’Écologiste Camille Augey et l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb se retrouvent pour un face-à-face très attendu. Et si la jeune femme, issue de la société civile et en ballottage favorable, était le symbole du renouveau dans ce fief longtemps acquis à l’actuel maire de Lyon ?
Vendredi 26 juin au marché St Rambert 
Bernard Bochard, actuel Maire du 9e arrondissement et président de la SACVL a été maintenu contre son gré sur la liste de Gérard Collomb pour le second tour. Il apporte pourtant son soutien à la liste des écologistes.
Il a notamment déclaré : "Mme Camille AUGEY incarne avec les membres de sa liste le renouveau et la jeunesse. Je suis persuadé qu’elle mettra tout son engagement et ses valeurs au service des habitants du 9ème. Si elle est élue dimanche prochain, je m’engage à l'informer sur les dossiers en instance et je serai à sa disposition pour faciliter la continuité dans l’intérêt des habitants de notre arrondissement."
Nadine Georgel - Tête de liste Lyon 5e 
Camille Augey - Tête de liste Lyon 9e 
Bertrand Artigny - Tête de liste Circonscription Lyon Ouest 
par LYFtv-LYon
le Mer 3 Juin - 17:16
 
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Sujet: 2e tour des municipales à Lyon : Denis BROLIQUIER rejoint le tandem Blanc/Collomb
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2e tour des municipales à Lyon : Denis BROLIQUIER rejoint le tandem Blanc/Collomb

#Municipales2020 #Lyon
Alors que a République en Marche a retiré l'investiture de Gérard Collomb qui a fait une alliance avec Les Républicains, l'ex-maire du 2ème arrondissement, qui représentait jusqu'ici une voix importante de l'opposition au sein du conseil municipal, choisit de le rejoindre pour le 2nd tour des élections municipales. C'est pour lui "le choix de la raison".
Communiqué :
 Denis BROLIQUIER rejoint la liste de rassemblement E Blanc- G Collomb.
« Une liste d’ouverture et de raison pour faire barrage à l’extrême gauche et à l’idéologie »
A la suite du premier tour des élections, à Lyon, les résultats ont placé les Verts en tête, loin devant les autres formations politique. C’est l’expression d’une aspiration nouvelle des électeurs lyonnais qu’il faut entendre même si on doit la replacer dans son contexte d’abstention record liée à la crise sanitaire.
Désormais, l’alliance annoncée des Verts avec la gauche et l’extrême gauche change la donne.
J’ai toujours fait le choix du centre, de la modération et de l’intérêt de Lyon et des Lyonnais. Fidèle à mes convictions, aujourd’hui, c’est l’intérêt de Lyon qui me préoccupe encore. C’est d’ailleurs autour de ces convictions que j’ai pu réunir une équipe indépendante, ouverte et libre pour le premier tour.
Aujourd’hui, nous n’imaginons pas que la France Insoumise et les partisans de la décroissance puissent parvenir aux commandes de Lyon et de la Métropole. L’écologie est un enjeu crucial qui ne doit pas être opposé à l’économie. Nous devons au contraire construire une croissance économique raisonnée pour générer les moyens de mieux répondre aux enjeux environnementaux. L’idéologie n’a jamais apporté de solutions durables.
C’est pour faire barrage à l’extrême gauche et à l’idéologie que je choisis de rejoindre la liste d’ouverture et de raison lancée par G Collomb et E Blanc. Si nous avons été concurrent en bien des occasions, aujourd’hui, nécessité fait loi pour assurer un avenir équilibré et durable à Lyon dans un contexte de crise économique majeure.
Denis BROLIQUIER
Maire du 2e arrondissement
Tête de liste Positivons LYON
Président des Centristes du Rhône
par Gilles Roman
le Lun 1 Juin - 17:25
 
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Sujet: Les chroniques de l'Arrière cour : Gérard Collomb, le baron sombre !
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Les chroniques de l'Arrière cour : Gérard Collomb, le baron sombre !

Revenu à Lyon pour « faire barrage à Laurent Wauquiez », Gérard Collomb s’est finalement rallié au candidat LR pour la Métropole, François-Noël Buffet. 
Comme si tout était préférable aux yeux du baron de Lyon, que de laisser s’émanciper ses anciens dauphins et alliés. Malgré cette volte-face impressionnante, les écologistes restent les grands favoris pour décrocher la ville de Lyon et probablement sa Métropole. 
L’analyse de Raphaël Ruffier-Fossoul,
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Gzorar10
« À quel moment cela a-t-il déraillé, monsieur Collomb ? » Répondant à la question d’Elizabeth Martichoux sur LCI, Gérard Collomb a daté sans surprise le début de ses ennuis à son départ de Lyon pour la place Beauvau en mai 2017. « Quand je suis parti, je pensais que je pouvais confier à certains de mes amis la présidence de cette assemblée. Très vite, j’ai vu qu’ils prenaient leur indépendance et qu’ils suivaient une autre ligne politique que la mienne. Et donc, j’ai commencé à trouver que la trajectoire déviait et que la ville de Lyon qu’ils étaient en train de construire n’était pas celle dont je rêvais. » Il faut croire que Gérard Collomb rêve d’une ville qui laisse les mineurs isolés à la rue, puisque les premières anicroches avec son successeur à la Métropole, David Kimelfeld, se sont produites lorsque ce dernier a mis en œuvre une prise en charge de ces jeunes. « Sur les questions migratoires, j’avais dit voici quelques années qu’il n’y avait pas l’épaisseur d’un papier à cigarette entre Gérard Collomb et Laurent Wauquiez : je me suis fait engueuler par beaucoup d’élus proches de Collomb à l’époque et qui, aujourd’hui, réalisent enfin que j’avais raison », fulmine Olivier Brachet, l’un des plus farouches opposants de Gérard Collomb après avoir été son vice-président au logement et même son directeur de campagne lors du dernier mandat.

« Il ne faut pas que l'on nous mette des vélos partout »

Il est un des seuls à ne pas avoir été surpris par l’annonce du soutien de Gérard Collomb au candidat LR François-Noël Buffet. Depuis jeudi, les réseaux sociaux résonnent des annonces de démissions d’élus et d’adjoints proches de Gérard Collomb. « Je suis triste, je n’imaginais pas terminer mon mandat ainsi, mais je suis résolue : impossible de continuer à travailler en commun avec Gérard Collomb-Yann Cucherat dans ces conditions… », poste l’adjointe Thérèse Rabatel en annonçant sa démission, concomitante à celle de trois collègues. « J’assiste avec une profonde tristesse à l’effondrement des valeurs de Gérard Collomb », souligne dans un communiqué son ancien premier adjoint Jean-Louis Touraine, député LREM. « C’est la pire image qu’un homme politique puisse donner, et qui donne raison à celles et ceux qui dénigrent la classe politique », ajoute Georges Képénékian, qui fut pourtant un ami proche et a cru jusqu’au bout la réconciliation possible. « Collomb vient de dire pour justifier l’alliance avec LR : “Il ne faut pas que l’on nous mette des vélos partout”… c’est délirant. Et c’est quoi le problème avec le vélo ? Je suis effondré », s’étrangle l’élu du 7e Romain Blachier, jusque-là fidèle à Gérard Collomb.
Même parmi ceux qui avaient perdu leurs illusions à propos de leur ancien « camarade », le choc a parfois été rude. « Quand Georges Képénékian raconte sa sidération devant sa télévision au moment de l’annonce, il est sincère », abonde Jean-Jack Queyranne, ancien président de la Région. « Tous les “collombistes” de ma génération sont atterrés. C’est tout un tas de combats avec Collomb qui s’effondrent, avec ce que cela signifiait d’engagements. » Lui est convaincu que le rapprochement entre Laurent Wauquiez et Gérard Collomb s’est opéré l’été avant les régionales de 2015, sur son dos : « On m’a même dit qu’il y a eu une rencontre entre eux, sous le patronage d’un grand industriel lyonnais. Je n’en sais rien, je n’ai pas de preuve, mais il est certain que leur alliance s’est dessinée à ce moment-là. Président sortant, j’avais le soutien de toutes les fédérations PS de la Région, sauf celle de Lyon, qui a refusé de financer la campagne et a fait sortir – sur les ordres de Collomb – 15 candidats de mes listes. David Kimelfeld, qui était premier secrétaire et proche de Collomb à l’époque, avait même interdit aux militants de distribuer nos tracts. J’ai été contraint de ne faire campagne à Lyon qu’avec les radicaux et mes colistiers, et pourtant, à la grande surprise de Gérard Collomb, nous avons réalisé un excellent score à Lyon : 49%, alors qu’il croit toujours au “pradélisme” municipal et que la ville est au centre-droit. »
Quant au « grand industriel », on devine facilement qu’il pense à Olivier Ginon, patron de GL events, dont on connaît la proximité avec un Gérard Collomb qui lui a permis d’instaurer un monopole de fait sur les événements d’affaires majeurs de l’agglomération, bien qu’il ait été le grand financeur de Charles Millon puis de Laurent Wauquiez. Ceci dit, même Jean-Jack Queyranne n’imaginait pas un ralliement public de Gérard Collomb au candidat de Laurent Wauquiez.

Revenu à Lyon pour faire "barrage à Wauquiez"

L’ironie de l’histoire, c’est qu’il y a 18 mois à peine, Gérard Collomb avait justifié son départ du ministère de l’Intérieur et son retour à Lyon au nom d’un « péril Wauquiez » contre lequel il aurait incarné le seul rempart possible. Encore et toujours le thème du « front républicain » contre « la droite extrême », socle de la victoire de Gérard Collomb en 2001 et qu’il a usé, jusqu’à la corde, lors de tous les scrutins suivants, toujours prompt à dénoncer la moindre accointance avec la droite dite « dure ». C’était l’époque tout de même pas si lointaine où il twittait : « Laurent Wauquiez incarne une droite dure, radicale, clivante. Bien loin de l’héritage de Jacques Barrot à qui il a succédé. » Une époque où ses proches houspillaient les journalistes qui peinaient à croire que la « droite Wauquiez » représente une quelconque « menace » dans une ville qui s’est largement déportée sur la gauche, à l’image de la plupart des grandes agglomérations. Une époque où il aurait été difficile de prévoir qu’au final, c’est Gérard Collomb lui-même qui lui ferait la courte échelle.

« On n’avait encore jamais vu un ministre de l’Intérieur tirer à boulets rouges sur son propre bilan »

Nous serions tenté d’y voir le moment précis où tout a « déraillé ». Quand, à la stupéfaction générale, le numéro 2 du gouvernement, le plus ancien soutien du président, annonce son départ d’une manière précipitée et pour tout dire incompréhensible. Même à Lyon, le sentiment général semble être que l’on n’abandonne pas de la sorte une fonction aussi éminente. Il faut dire que l’on n’avait encore jamais vu un ministre de l’Intérieur tirer à boulets rouges sur son propre bilan au moment de partir, dressant un terrible portrait des « quartiers populaires » « aujourd’hui, c’est la loi du plus fort qui s’impose, celle des narcotrafiquants, des islamistes radicaux qui ont pris la place de la République ». Durant ses 18 mois place Beauvau, l’ancien et futur maire de Lyon n’avait pourtant jamais donné l’impression d’une telle urgence de la situation sécuritaire dans le pays, consacrant l’essentiel de ses déplacements… à sa ville, où les Lyonnais ont pu le revoir tous les week-ends, comme s’il n’y avait rien de plus urgent en France que le forum des associations du 6e arrondissement. À tel point que, lorsque l’ouragan Irma a ravagé Saint-Martin et Saint-Barthélemy, le cardinal Barbarin s’était agacé de voir le ministre de l’Intérieur au premier rang du traditionnel « vœu des échevins » à la basilique de Fourvière, plutôt que dans les Caraïbes pour « apporter du réconfort à des populations qui souffrent tant », ce qui était, précisa-t-il cinglant, « votre devoir et notre choix ».

« Gérard Collomb dit souvent : “je l’ai fait”, “je l’ai façonné”, “il me doit tout” »

Le retour à Lyon ressemble avant tout à un acte de panique, en raison d’une situation politique locale qui commence à lui échapper. Or, contrairement à ce qu’il peut prétendre, au moment où il décide de rentrer à Lyon, sa majorité n’est nullement menacée. Ses successeurs à Lyon (Georges Képénékian) et à la Métropole (David Kimelfeld) font plutôt consensus parmi des élus qui apprécient de se voir confier davantage de responsabilités. Les milieux économiques autant que culturels se félicitent de ce renouvellement dans la continuité. Et s’il avait annoncé à cette époque son retrait au profit des successeurs qu’il avait lui-même choisis, il est assez probable que les deux auraient obtenu l’assurance de leur réélection dès le premier tour des municipales et des métropolitaines.
Mais Gérard Collomb n’avait aucune envie de s’effacer et ne supportait pas la prise d’autonomie de ses anciens dauphins. Comme toujours, il considère que les élus de sa majorité lui doivent tout et ne sont rien sans lui, faisant au passage bien peu de cas de leurs parcours respectifs. « Gérard Collomb dit souvent : “je l’ai fait”, “je l’ai façonné”, “il me doit tout” », confiait ainsi David Kimelfeld, avant même d’officialiser sa « rupture », dans le documentaire De Gérard à Monsieur Collomb, itinéraire d’un baron (lien ci-dessous). « Je suis toujours un peu surpris de ces propos, parce que je n’étais pas en train de tourner autour de lui pour avoir un emploi. J’ai sans doute appris la politique avec lui, cela me sert beaucoup aujourd’hui, mais c’est un champ restreint qui se limite à la politique. »

« Tu te fourvoies »

Parmi les rares socialistes restés fidèles à Gérard Collomb et présents à la fameuse conférence de presse annonçant le rapprochement avec la droite, Franck Lévy veut croire que « cette histoire est plus psychologique que rationnelle » du côté des ex-dauphins émancipés : « Ils disaient que le problème, c’était Gérard Collomb, mais même quand il se retire, cela ne suffit toujours pas », soupire-t-il. Selon la version officielle, Gérard Collomb aurait donc tendu la main aux deux hommes qui lui auraient « claqué la porte au nez ». Une version qui a du mal à convaincre, tout comme le choix de cette alliance « contre nature », ainsi qu’il a pu le constater sur sa propre page Facebook où l’on ne trouve que difficilement, parmi ses « amis », des commentaires qui l’approuvent ou au moins la comprennent. À l’inverse d’un flot de « non, pas toi », de « mais comment ? », de « Remember 1998 », de « tu te fourvoies »…
Selon l’entourage de David Kimelfeld, la réalité est bien différente. Celui à qui LREM envisage de confier l’investiture que le parti a immédiatement retirée au maire de Lyon, n’aurait pas fermé la porte à des discussions. En réalité, il n’a eu aucune nouvelle de Gérard Collomb jusqu’à ce qu’il découvre, selon des déclarations de ce dernier sur le site de France 3, qu’ils étaient proches d’un accord. Rendre publiques des discussions avant même qu’elles aient eu lieu, cela revient, en politique, à s’assurer de leur échec. Gérard Collomb a-t-il seulement envisagé de se désister en faveur de son ancien dauphin, qui l’a nettement devancé au premier tour du scrutin métropolitain ? Lorsque nous avons posé cette question à la sortie de la conférence de presse, c’est Roland Bernard, l’ami fidèle de Gérard Collomb, qui s’est chargé de répondre… d’un tonitruant éclat de rire. Collomb et Kimelfeld avaient pourtant en commun d’avoir revendiqué l’étiquette LREM. Et l’addition de leurs deux scores aurait fait d’eux les grands favoris du second tour à la Métropole. Mais les divisions et la haine ont été plus fortes.

« Gérard Collomb aime bien les romances »

Gérard Collomb s’y est pris tout autrement pour négocier son rapprochement avec la droite, multipliant les échanges discrets avant leur officialisation. Selon sa version, c’est lui qui a spontanément renoncé à la présidence. « Gérard Collomb aime bien les romances », sourit François-Noël Buffet lorsqu’on lui rapporte ce propos. « Contrairement à ce que dit Collomb, il n’est pas arrivé en donnant les clés », assure Jean-Jack Queyranne. « Il y a eu une double pression : à droite, pour dire qu’ils ne voulaient pas de Collomb, et sans doute à gauche, par ceux pour qui l’accession d’Étienne Blanc à la mairie de Lyon marquait le triomphe de Charles Millon dont il était l’ancien bras droit. Cela a forcé Collomb et Blanc à se mettre en retrait au profit de Buffet à la Métropole et de Yann Cucherat à la Ville. »

Collomb veut continuer à jouer un rôle

Gérard Collomb a-t-il vraiment renoncé, cependant ? La lassitude manifeste des électeurs au premier tour, qui l’ont relégué (avec 15,7%) à une humiliante quatrième place, a sans doute fini de le convaincre qu’il devrait jouer un peu plus profil bas au deuxième tour… pour mieux revenir au troisième, celui où les nouveaux élus métropolitains éliront le président de la Métropole. Il a le droit d’y penser. Car Gérard Collomb n’a jamais annoncé son retrait ; bien au contraire, il a expliqué, en marge de la conférence de presse, qu’il entendait bien occuper à l’avenir un rôle dans l’exécutif et faire en sorte que « Yann Cucherat et François-Noël Buffet restent dans la bonne trajectoire ». « J’ai beaucoup de qualités mais le pouvoir, c’est quelque chose que je ne partage pas », nous répond François-Noël Buffet. Au risque de lui être désagréable, l’analyse électorale rend très peu probable son accession effective à la présidence de la Métropole. Candidat pour la quatrième fois à ce poste, le sénateur et ancien maire d’Oullins risque bien d’être à nouveau le dindon de la farce. Comme en 2001, lorsque, le jour du scrutin, il avait la certitude de disposer d’une majorité mais que la défaillance dans l’isoloir d’une partie des élus de droite et du centre avait finalement ouvert un boulevard à Gérard Collomb. Certains y avaient vu l’œuvre des réseaux francs-maçons, qui ont sans doute été des facilitateurs mais dont on fantasme souvent l’influence et surtout l’unité. Cette fois, Jean-Jack Queyranne est convaincu qu’ils ont « joué un rôle » dans le rapprochement de François-Noël Buffet et Gérard Collomb. Pourtant, certaines figures de la maçonnerie lyonnaise sont aujourd’hui trop en opposition avec Gérard Collomb pour laisser penser que les « frères » se rallieront comme un seul homme. Il est en revanche probable que François-Noël Buffet aura une fois encore du mal à faire le plein à droite, alors que de nombreux élus se sont étranglés à l’ouverture des discussions avec Gérard Collomb, leur ennemi d’hier, et n’attendent qu’une occasion pour se débarrasser d’un sénateur respecté parmi ses pairs mais qui n’a pas impressionné par sa détermination à mener campagne.

Le renfort de Collomb pourrait ne pas suffire

Le principal problème de François-Noël Buffet est ailleurs, cependant : les résultats du premier tour ne lui sont clairement pas favorables, comme on peut le voir dans les scénarios de projections réalisés par L’Arrière-Cour.
Alors certes, il est pratiquement impossible de savoir comment se comporteront les électeurs dans un contexte économique et sanitaire qui bouscule bien des certitudes. Peut-être seront-ils sensibles au discours très « pro-business » développé par le tandem constitué de l’agrégé Collomb et de l’avocat Buffet, qui cumulent ensemble plus de 150 ans de mandats électifs. Peut-être au contraire seront-ils convaincus que le modèle de développement de la métropole a besoin d’être réinventé, et que le président sortant David Kimelfeld ou l’écologiste Bruno Bernard, tous deux anciens chefs d’entreprise, seront mieux à même d’y parvenir. C’est une nouvelle campagne qui commence, avec quatre semaines de possibles rebondissements, et aucun observateur ne se risque à une analyse définitive. Le scénario le plus probable n’en reste pas moins une confirmation au second tour des tendances qui se sont dégagées au premier. Si elles sont renforcées, alors l’alliance des écologistes et de la gauche l’emportera non seulement à Lyon, où ils sont d’ores et déjà les grands favoris, mais aussi à la Métropole où ils prendraient ainsi la tête – et de loin – de la plus importante collectivité qu’ils aient jamais dirigée en France. 
En l’absence d’une telle vague, il se pourrait bien qu’aucune majorité ne se dégage et que l’on ait besoin d’un profil rassembleur. David Kimelfeld semble avoir naturellement quelques arguments dans ce cadre. Mais on le parierait : Gérard Collomb est convaincu qu’il en aurait tout autant. 
Raphaël Ruffier-Fossoul
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par Gilles Roman
le Lun 1 Juin - 8:27
 
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Sujet: Lyon, les écologistes lancent leur campagne pour le 2ème tour
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Lyon, les écologistes lancent leur campagne pour le 2ème tour

#Municipales2020 #Lyon #EELV
LA CAMPAGNE DES ÉCOLOGISTES
Avec Grégory Doucet et Bruno Bernard 
Cette semaine, le gouvernement a tranché : le second tour des élections municipales aura lieu le 28 juin. Cette période de 30 jours qui s'ouvre sera marquée par la crise de la COVID 19 et implique de repenser nos façons de faire, de se ré-inventer.
La semaine a également été marquée par l'alliance des listes de Gérard Collomb et des Républicains. Face à celles et ceux qui n’ont pour autre ambition que la conservation du pouvoir, il est temps d’ouvrir une nouvelle ère ambitieuse pour notre ville et notre Métropole, une nouvelle ère à la hauteur des enjeux historiques à venir.
Car au delà de la campagne, le monde d’après nous attend. Le bien-vivre est au cœur du projet que nous portons, nous pouvons bâtir ensemble une Métropole et une ville de Lyon respirables, apaisées, socialement justes et adaptées aux défis de demain ! 
Nous avons toutes les solutions en main pour agir, maintenant.
Nous ferons une campagne exemplaire, scrupuleuse des règles sanitaires. Elle sera avant tout digitale. Nous n'oublierons pour autant pas le terrain. Nous ré-inventerons une campagne électorale qui soutiendra également le monde culturel, nous ferons appel à des artistes de rue qui ont vu leurs dates s'annuler les unes à la suite des autres en raison de la crise sanitaire. Nous investirons dans des visuels de rue esthétiques et imposants, pour éviter tout attroupement tout en étant visibles de loin.
Nous défendons l'idée que notre capacité à faire campagne autrement détermine notre capacité à gouverner autrement, demain, avec l'écologie comme boussole.
A très vite !
Être assesseuse ou assesseur le 28 juin
Vous êtes disponible pour être assesseuse ou assesseur le 28 juin prochain ? Nous pouvons transmettre vos informations suivantes :
- Nom / prénom / date de naissance ;
- Email ;
- Adresse et numéro de téléphone ;
- Bureau de vote.
Vous pouvez le faire en vous rapprochant de la tête de liste écologiste de votre arrondissement ou de votre circonscription ou bien directement via le lien ci-dessous (pour Lyon) :
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Grzogo10
Gregory Doucet réagit à la fusion LR/LREM
Beaucoup de réaction de stupeur ou d'étonnement sur les réseaux sociaux suite à l'annonce de l'alliance entre Gérard Collomb et la droite dure. 
Grégory Doucet a déclaré :
"Les lyonnaises et les lyonnais ont affiché le 15 mars une forte envie de changement écologique pour leur ville. Plus que jamais nous avons le choix le 28 juin entre un projet écologique, humaniste et ambitieux ou un projet du passé qui n'a pour seule ambition que de s'opposer au nôtre. Tournons la page et engageons Lyon dans le XXIe siècle. Prenons notre part dans la grande Histoire en amorçant la transition qui adaptera notre belle ville aux crises et défis à venir."
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 Bruno_10
Accord Collomb/LR à Lyon : "une coalition anti-climat"
Suite à l'accord entre Gérard Collomb et à la droite à Lyon, les têtes de listes écologistes dénoncent une "coalition anti-climat et sans projet politique". C'est en ces termes que Bruno Bernard, Candidat à la présidence de la Métropole de Lyon s'est exprimé :
"Les écologistes travaillent désormais à rassembler toutes celles et ceux qui se retrouvent dans un projet écologique et solidaire. Il est temps d’ouvrir une nouvelle ère pour Lyon et sa Métropole à la hauteur des enjeux historiques qui nous attendent."
par Gilles Roman
le Sam 1 Fév - 13:49
 
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Sujet: L'Arrière cour : L'accueil des mineurs isolés, point clé de la discorde Collomb Kimelfeld ?
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L'Arrière cour : L'accueil des mineurs isolés, point clé de la discorde Collomb Kimelfeld ?

#Municipales2020 #Lyon
Mineurs isolés : Collomb prêt à remettre les enfants à la rue 
C’est le sujet qui a provoqué la rupture entre Gérard Collomb et David Kimelfeld. Quand son successeur à la tête de la métropole a pris en main le dossier des mineurs isolés, le ministre de l’Intérieur y a vu une contestation de sa propre politique en matière d’immigration et le lui a vertement fait savoir. « Je suis président de la métropole, j’assume mes choix et je n’en changerai pas » lui a répondu David Kimelfeld. Naturellement, le sujet resurgit dans la campagne. Et pourrait faciliter le rapprochement des différentes listes de gauche au 2e tour.
« De tels propos sont à la fois mensongers, polémiques et infondés ». David Kimelfeld ne décolère pas après le nouvel esclandre de Gérard Collomb en marge de la cérémonie des voeux de la mairie du 4e, quand le maire de Lyon a déambulé longuement en tenant des propos catastrophistes sur l’évolution du quartier. Le sujet du litige concerne une nouvelle fois la question de l’accueil des mineurs isolés dans l’agglomération. La différence de vue fondamentale entre les deux hommes sur ce dossier est pour beaucoup dans leur rupture et le fait qu’ils se présentent aujourd’hui sur des listes concurrentes pour les élections métropolitaines des 15 et 22 mars prochain. Une nouvelle fois, Gérard Collomb s’est donc emporté sur le « laxisme » dont ferait preuve son successeur à la présidence du Grand Lyon, en prenant exemple sur le squat de l’ancien collège Maurice Scève, qui accueille un peu moins de 200 personnes, dont une cinquantaine se disent mineurs. Une nouvelle fois, il a répété que les actions en faveur de ces jeunes constitueraient un « appel d’air », propice à provoquer « un afflux migratoire considérable ». Et de lâcher : « Vous verrez la situation dans dix ans ! Vous verrez ce que sera devenue la douceur de vivre à la Croix-Rousse !»
Entre les deux hommes, ce n’est pas une simple divergence qui s’exprime ici, mais bien une ligne de rupture sur la définition qu’ils font de « l’humanisme lyonnais » et plus profondément du sens de leur engagement politique. Gérard Collomb n’a jamais été très porté sur les questions sociales, cela lui a été reproché à gauche dès les premières années après son élection en 2001. Sa conviction est que le rôle du politique est d’abord d’attirer des emplois et que le reste suivra par « ruissellement ». Au final, ses 20 années à la tête de la mairie de Lyon ont laissé un bilan relativement pauvre en matière d’innovation sociale, à l’exception notable du logement social, Gérard Collomb étant un des grands promoteurs des opérations de démolitions-reconstructions destinées à assurer une meilleure mixité dans l’agglomération. Pour le reste, sa politique se résume à l’expression familière : « J’ai déjà donné ». Gérard Collomb estime que sa ville est suffisamment « solidaire » déjà, pour aujourd’hui se permettre de repousser la misère du monde au-delà de ses frontières.

« Rien à envier à la droite la plus extrême »

Son ancien vice-président au logement, le fondateur de Forum Réfugiés Olivier Brachet, date ce revirement aux débuts de son troisième mandat, en 2014. C’est d’ailleurs ce qui l’avait amené à claquer la porte, en dénonçant un Gérard Collomb qui, sur ses sujets, n’aurait « rien à envier à la droite la plus extrême ». Nathalie Perrin-Gilbert, elle, juge bien naïfs ceux qui ont attendu autant pour réaliser « l’hypocrisie de l’humanisme à la lyonnaise dont parle tout le temps Gérard Collomb. Pour moi, il a oublié les fondamentaux de ce qui faisait son engagement en politique ». Candidate soutenue par la France Insoumise, la maire du 1er n’a jamais pardonné à son ancien mentor certaines décisions « autoritaires et arbitraires », et notamment le fait d’avoir coupé l’eau des fontaines publics du jardin des chartreux, en pleine vague de chaleur à l’été 2016, pour que les roms qui avaient trouvé refuge dans une rue adjacente ne puissent plus venir s’y abreuver.
Mais le sujet des mineurs isolés marque un vrai point de rupture entre Gérard Collomb et le terreau associatif et militant qui avait soutenu sa conquête du pouvoir 15 ans plus tôt. Arrivés sur le territoire sans proche pour les prendre en charge, ils relèvent de la protection de l’enfance. Et donc de la Métropole, le grand oeuvre politique de Gérard Collomb, puisqu’elle a récupéré les compétences du département en la matière. De quelques cas isolés, le nombre d’arrivées a commencé à exploser à partir de 2015, l’année de création de cette collectivité locale. Rien de très surprenant, lorsque l’on se souvient qu’un million de personnes ont traversé cette année la Méditerranée, provoquant une crise de l’accueil un peu partout en Europe. Rapidement, les services dédiés de la métropole ne parviennent plus à faire face, ne disposant tout simplement pas des moyens nécessaires. Les jeunes sont alors massivement rejetés à la rue. Lorsque David Kimelfeld arrive à la métropole, le 10 juillet 2017, en remplacement d’un Gérard Collomb devenu ministre de l’Intérieur, il découvre « une crise qui n’a pas du tout été gérée. Rien n’a été anticipé, aucun budget, aucun dispositif n’est prévu. On a donc pris du retard ». Son administration assurait pourtant jusque-là, contre toute évidence, qu’il n’y avait « pas de mineurs laissés à la rue », que les jeunes dehors étaient en réalité majeurs et relevaient donc des dispositifs d’urgence gérés par la préfecture… qui les refusaient, puisqu’ils étaient mineurs ! À l’automne 2018, Gérard Collomb ministre de l’Intérieur (https://www.facebook.com/watch/?v=363160020832842) continue de minimiser cette crise humanitaire en répondant à Hugo Clément de Kombini news qu’il « ne pense pas » qu’il y ait des mineurs isolés dans les rues de Paris, ou alors c’est qu’ils « refusent d’être pris en charge ».
Dès l’été 2017, la crise ne pouvait pourtant plus être ignorée, à Paris comme à Lyon, avec des centaines de jeunes qui errent en centre-ville et un squat géant qui se constitue à la gare de la Part-Dieu. Plusieurs associations s’émeuvent de voir au milieu de migrants de différentes origines, des dizaines d’adolescents manifestement très jeunes et totalement vulnérables. Des collectifs d’accueillants se mettent alors en place, portés notamment par des réseaux chrétiens, des militants de gauche, des habitants de la Croix-Rousse, des étudiants de Lyon 2, des habitants des Monts d’or… et beaucoup d’autres citoyens qui s’improvisent accueillants parce qu’ils ont été émus par un ado laissé dehors, dans l’attente de sa prise en charge.

« Sur ce sujet, il y a eu une amélioration, oui »

Si elle se sert politiquement du sujet pour ferrailler avec David Kimelfeld et Gérard Collomb, Nathalie Perrin-Gilbert fait partie des élus qui se mobilisent alors réellement sur ce sujet, libérant une salle de son arrondissement pour les associations, multipliant les courriers et SMS pour trouver des solutions individuelles au cas les plus dramatiques… Élu de gauche d’opposition à la Métropole, André Gachet (soutien aujourd’hui des listes de « la gauche unie » menées par Renaud Payre et Sandrine Runel) avait appelé dès 2015 à une « conférence de consensus » sur ce sujet. C’est finalement David Kimelfeld qui saisira perche en mai 2018. « Il a pris le dossier à bras le corps, y compris en me permettant moi, élu d’opposition, d’engager une démarche de concertation. On a abouti à 14 propositions six mois plus tard et la Métropole a lancé un appel à projet pour trouver des solutions, sur l’hébergement, mais aussi sur le social, le médical, l’accompagnement, scolaire… On n’est pas arrivé au bout de tout, mais quand même il s’est passé quelque chose » reconnaît-il. « On a un certain nombre de divergences, mais sur l’écoute, sur l’action sociale, ce qui a été fait ne l’aurait pas été si David Kimelfeld n’avait pas succédé à Gérard Collomb en cours de mandat » ajoute André Gachet. Pour l’instant, la « gauche unie » ne se prononce pas en faveur d’une alliance au 2e tour avec David Kimelfeld, jugé encore trop « LREM », mais on comprend que ce sujet pourrait faire pencher la balance. Il en va d’ailleurs de même du côté des écologistes : leur chef de file à la métropole, Bruno Bernard, tient toujours ses distances avec l’actuelle président de l’agglomération, mais reconnaît que « sur ce sujet, il y a eu une amélioration, oui ».
À droite, le propos du candidat investi par LR François-Noël Buffet est plus proche de celui de Gérard Collomb. Il estime en effet que David Kimelfeld « manque de fermeté », et qu’en la matière cela « crée toujours un appel d’air, car ce sont en réalité les réseaux qui orientent les migrants. » Comme sénateur, il s’enorgueillit d’avoir fait voter le fichier unique des mineurs étrangers au plan national, pour éviter que certains jeunes essaient de faire reconnaître leur minorité dans des départements différents. Une situation apparemment marginale, puisque Forum réfugiés assure qu’elle n’a été saisie d’aucun cas de « doublon » dans la métropole depuis que le fichier a été mis en oeuvre. Pour le reste, François Noël Buffet s’avère plus indulgent que Gérard Collomb avec David Kimelfeld, puisqu’il estime que « ce qui est fait à la métropole a l’air correct ».

Pas « d’appel d’air » constaté

Concrètement, c’est l’ONG Forum réfugiés qui s’est vue confiée depuis 2018 l’évaluation de minorités des jeunes. Une tache compliquée, car il n’existe aucune méthode totalement fiable pour définir un âge. Selon la loi, les mineurs étrangers doivent être mis immédiatement à l’abri pour une période de 5 jours, à la fin de laquelle les travailleurs sociaux évaluent son âge après avoir mené une série d’entretiens. Un cadre que l’ONG n’a pas toujours réussi à assurer, reconnaît son directeur Jean-François Ploquin« Mais la situation s’est nettement améliorée. Il n’y a plus d’évaluation faite en quelques heures. Et sur le dernier trimestre, nous sommes parvenus à ne laisser aucun jeune à la rue durant sa période d’évaluation. Alors que sur les 11 premiers mois de 2019, sur 900 jeunes que nous avons accueillis et évalués, 400 l’ont été sans hébergement, faute de place » assure-t-il. Cette sortie de crise a été permise selon lui par deux mouvements parallèles, d’une part « la création de places par la Métropole, qui a naturellement pris un peu de temps puisqu’ils ont du trouver les lieux, recruter des éducateurs… Et d’autre part, un flux des arrivées qui a été divisé par deux. Entre juin et octobre 2018, on était entre 130 et 170 jeunes qui arrivaient par mois. Sur la même période en 2019, nous sommes entre 50 et 85. »
S’il est difficile d’établir les raisons de ce reflux, il vient en tout cas contredire tout prétendu « appel d’air ». David Kimelfeld est même convaincu qu’il y a eu un effet inverse : « Je ne crois pas qu’un adolescent au fin fond de la Libye se dise "tiens c’est super ce qu’ils font, je vais venir à Lyon". Au contraire, dans la mesure où on encadre et on organise, on tape les filières clandestines et les marchands de sommeil. » Jean-François Ploquin lui donne raison : « C’est quand on ne maîtrise pas que les problèmes émergent. La réponse de la métropole doit simplement être à la hauteur du besoin ». Et de relever que Lyon s’est aussi inscrite dans le dispositif de solidarité nationale, qui a permis que 80 mineurs en 2019 aient été réorientés et pris en charge dans d’autres départements. 

« Pas un euro supplémentaire sur les dépenses sociales »

Les équipes de Gérard Collomb ne nous ont - pour l’instant - pas répondu sur la question des mineurs isolés. S’il est réélu, osera-t-il remettre en cause ce qui a été fait par son successeur et qui semble plutôt faire consensus aujourd’hui au sein de l’assemblée métropolitaine, alors que Gérard Collomb y avait vu une gabegie ? David Kimelfeld en est convaincu. « Si Gérard Collomb est réélu, il va repasser les mêmes consignes qu’il avait passées aux services en 2015 et 2016 : pas un euro supplémentaire sur les dépenses sociales dans cette métropole. Il l’a fait y compris d’ailleurs en exigeant des choses un peu ahurissantes puisque certaines dépenses ne dépendent pas de nous. Quand l’allocation du RSA augmente, ce n’est pas la métropole qui en décide, c’est l’État, donc il faut bien le prendre en compte… » Malgré les montants conséquents qui ont été débloqués, il « refuse de dire que cela coûte cher. C’est notre compétence, il faut l’exercer. Ou alors on renonce à ramasser les poubelles, à rénover les routes, à financer les transports en commun, parce que ça coûte cher… » Et de préciser : « Ce n’est pas parce que l’on met 35 millions d’euros pour les mineurs non accompagnés, sur un budget de 3,5 milliards, que l’on va dégrader l’attractivité de la métropole, que les entreprises ne voudront plus venir, que les commerces vont fermer… Cette vision apocalyptique de Gérard Collomb n’a aucun sens ».
Si la rupture entre Gérard Collomb et David Kimelfeld est intervenue aussi vite, et précisément sur ce dossier des mineurs isolés, c’est que le ministre de l’Intérieur avait immédiatement perçu les actions de son dauphin comme une remise en cause profonde de la politique qu’il mène alors au niveau national. Ministre d’État et numéro 2 du gouvernement, Gérard Collomb assume alors une politique répressive en matière d’immigration, qui suscite rapidement l’indignation quand il dénonce le « benchmarking » dont les migrants feraient preuve pour choisir leur destination, ou lorsqu’il se rend à Calais pour appeler les associations à « aller déployer leur savoir-faire ailleurs ». Plutôt que de montrer une quelconque solidarité avec l’Italie, qui voit alors exploser le nombre d’arrivées sur son territoire, il prend prétexte de la convention de Dublin pour renvoyer des migrants de l’autre côté de la frontière franco-italienne, y compris sur des cols de montagne. L’extrême-droite le félicite alors et Génération identitaire lui propose ironiquement son « aide » pour mener « cette politique de fermeté ». Finalement, le Gérard Collomb ministre semble raisonner comme le Gérard Collomb maire de Lyon, en pariant que l’opinion sera avec lui et que les indignations humanistes ne lui font au final pas une si mauvaise publicité… Les propos qu’il a tenus en marge des voeux du 4e semblent indiquer qu’il n’a pas changé de ligne. 
Raphaël Ruffier-Fossoul
pour L’Arrière-Cour
 

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par Gilles Roman
le Ven 12 Avr - 12:27
 
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Sujet: Pollution de l’air à Lyon : l’inaction coupable de la Métropole
Réponses: 1
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Pollution de l’air à Lyon : l’inaction coupable de la Métropole

Au lendemain de la publication d’une carte de la pollution autour des écoles de son territoire par l’association Greenpeace, la Métropole de Lyon répond "qu’elle n’a pas attendu les alertes des associations pour agir avec détermination dans la lutte contre la pollution de l’air".
 
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Des cartes élaborées par Atmo AURA mises à la disposition de tous

Atmo Auvergne-Rhône-Alpes travaille à la réalisation de cartes stratégiques air de l’ensemble de la région et disponibles sur les grandes agglomérations dont le territoire de la Métropole de Lyon. Il s’agit d’un outil cartographique permettant d’établir simplement et rapidement un diagnostic. Ces cartes contribuent à la prise en compte effective de l’exposition de la population à la pollution atmosphérique dans la conception de l’urbanisme.
Ces cartes combinent deux polluants (NO2 et PM10).
 
Par ailleurs, l’observatoire met aussi à disposition de tous les cartes de concentrations moyennes annuelles fine échelle (10 m) sur son site internet pour les principaux polluants. Les habitants peuvent ainsi très facilement zoomer sur les lieux qu’ils habitent ou qu’ils fréquentent pour vérifier la qualité de l’air qu’ils respirent.
 
Un travail en concertation pour corréler les concentrations avec la répartition des établissements recevant des publics sensibles.
 
La Métropole de Lyon s’appuie sur l’expertise et les outils d’aide à la décision d’Atmo Auvergne-Rhône-Alpes et du Cerema pour évaluer la corrélation entre les cartes des établissements recevant des personnes sensibles et les niveaux d’exposition aux polluants. Ce travail conjoint est réalisé dans la perspective de rendre ces données publiques en open data. Aujourd’hui, elles ne sont pas encore tout à fait finalisées, il manque encore quelques données notamment sur le territoire de la ville de Lyon. Néanmoins, elles peuvent être consultées en l’état. Très simples à lire, elles indiquent, au moyen de couleurs, si vous êtes au-dessus ou en dessous des seuils réglementaires européens et ceux de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Une zone rouge indique une zone d’exposition au-dessus des seuils, une zone verte, jaune ou orange une zone d’exposition inférieure. Ces cartes sont consultables sur le site :
 
 
David Kimelfeld avait eu l‘occasion d’annoncer à Jean-François Julliard, Directeur général de Greenpeace France lors de sa venue à Lyon la mise à disposition prochaine de ces cartes et de ces données au public. Le travail réalisé par Greenpeace mériterait d’être affiné pour être plus représentatif de l’exposition des enfants dans les établissements situés dans les zones les plus dégradées. Il faudrait notamment mettre en perspective cette première approche avec des données d’exposition sur plusieurs années et définir précisément la concentration moyenne par établissement à une échelle plus fine. 
Atmo fournit cette information à une précision de 10 m. Travailler de manière conjointe entre la Métropole de Lyon, Atmo Auvergne-Rhône-Apes et Greenpeace aurait permis d’éviter les approximations des données présentées par Greenpeace.
En effet, les concentrations en NO2 diminuent rapidement dès que l’on s’écarte des axes routiers.
 
Pour les cas les plus critiques, la Métropole de Lyon, les communes concernées et Atmo Auvergne-Rhône-Alpes peuvent envisager un travail précis au cas par cas, établissement par établissement. A l’échelle de la Métropole de Lyon, les services Accueil des Jeunes Enfants orientent les porteurs de projets souhaitant ouvrir une nouvelle crèche vers les outils d’Atmo afin de vérifier si l’implantation prévue se situe dans une zone qui n’est pas qualifiée de très ou hautement dégradée. Cette utilisation des outils d’aide à la décision d’Atmo AURA a conduit à l’abandon de 17 projets situés dans des zones inadaptées.
Des mesures renforcées pour améliorer rapidement et durablement la qualité de l’air
 
En matière de qualité de l’air, les réponses les plus efficaces ne sont pas locales et ponctuelles. Elles sont à l’échelle de la Métropole. C’est pour cela que son Président, très conscient des niveaux de pollution montrés à travers ces cartes, a pris des décisions fortes ces derniers mois. La Métropole de Lyon avait engagé dès 2016 le plan Oxygène qui proposait des actions renforcées, particulièrement dans les domaines de l’habitat, des transports et de l’énergie. Mais cela n’est pas suffisant. Pour accélérer encore l’amélioration de la qualité de l’air, David Kimelfeld a initié de nouvelles mesures. Une prime air-bois a ainsi été mise en place en décembre 2017, une prime d’aide à l’acquisition de vélos à assistance électrique a été votée en 2018 et reconduite en 2019. Une zone à faibles émissions a été votée au Conseil de janvier 2019.  Instaurée de manière pédagogique au début de cette année, elle fera l’objet de verbalisations dès le 1er janvier 2020. 
Avec cette 1ère étape de mise en œuvre du plan Oxygène, entre 2000 et 2021 les émissions de NOX auront diminué de 60% et les PM de 50%. En 2021, grâce à la ZFE, le nombre de personnes surexposées aux dioxydes d’azote aura été divisé par deux. Le Président de la Métropole de Lyon a également décidé le passage à 70 km/h sur le boulevard périphérique d’ici fin avril. Enfin une rallonge budgétaire de 20 millions d’euros a été votée lors du Conseil de mars dernier pour le dispositif d’écorénovation ECORENO’V, portant ainsi l’enveloppe globale pour ce mandat à 50 M€. Au total, ce sont 8 000 logements qui ont été rénovés entre 2015 et 2018 et 9 000 nouveaux logements le seront d’ici à 2020.

par LYFtv-Paris
le Lun 19 Nov - 15:20
 
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Sujet: Après le blackfriday, la #JournéeMondialeSansAchat
Réponses: 0
Vues: 1562

Après le blackfriday, la #JournéeMondialeSansAchat

Paris, Bordeaux, Montpellier ou Lyon :
que faire gratuitement ce week-end ?
 

Ironie du calendrier le tant attendu Black Friday (23.11.2018) où les consommateurs profitent de bons plans shopping, est suivi de la Journée Mondiale Sans Achat, une journée de sensibilisation contre la surconsommation. Mais alors comment profiter de bons plans sans dépenser un centime ? 
HomeToGo a mené l’enquête dans 4 grandes villes françaises et dévoile quelques idées d’activités gratuites pour profiter  sans se ruiner !

Culture gratuite à #Paris !
La capitale française regorge de bons plans gratuits, surtout pour les adeptes de culture ! En effet, plusieurs musées sont gratuits toute l’année, c’est le cas de
·         Maison de Victor Hugo,
·         Petit Palais,
·         Musée Carnavalet,
·         Musée du Parfum Fragonard....

Le bon plan : les collections permanentes des musées municipaux de la ville de Paris sont gratuites toute l’année pour tous !
 

En plus des musées, certains lieux emblématiques de la ville sont aussi accessibles comme les Arènes de Lutèce dans le 5ème arrondissement, un vestige gallo-romain souvent méconnus des parisiens ou le Cimetière du Père Lachaise où se côtoient les tombes de Colette, Molière, Piaf et bien d’autres personnalités.
 

Pour se détendre après une journée de visite, direction le Supersonic ou l’International pour des concerts gratuits et pour ceux qui sont sensibles à l’humour, direction le Next Club qui propose des stand-ups gratuits tous les mercredis.
 



Visite des traboules à #Lyon : le must-see à zéro euro !
Les traboules sont des passages piétons qui traversent les cours d’immeubles et permettent de passer d’une rue à l’autre. Véritables passages secrets, on en trouve surtout dans les quartiers du Vieux-Lyon et de la Croix-Rousse. Si d’autres villes en possèdent comme Saint-Etienne ou Grenoble, celles de Lyon sont les plus connues de France.


Les bons plans visites :
- La Basilique de Fourvière et son point de vue panoramique sur la ville,
- Les serres tropicales et le zoo du parc de la Tête d’Or,
- Découverte des fresques en trompe l’œil dans les rues de la ville...
Envie de se détendre après une journée de visite ? Plusieurs options concerts ou spectacles sont accessibles à l'Amphi de l'Opéra de Lyon et l’Auditorium de Lyon ou direction les quais branchés de la Saône pour un After-Work au Sucre.
 



Autres bons plans gratuits à #Bordeaux ou #Montpellier :
A Bordeaux, il est très facile de circuler en vélo il est d’ailleurs possible d’en louer un gratuitement via la Maison du Vélo pour ensuite découvrir les sites incontournables de la ville.
·         la Place de la Bourse et son Miroir D’eau (le plus grand du monde),
·         le Grand théâtre de Bordeaux,
·         la Porte Cailhau,
·         la Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul dans laquelle vous pourrez admirer l'impressionnant tombeau de François II, dernier Duc de Bretagne...
 

Vous faites une halte au Grand Parc ? Passer par la Maison du Jardinier. Ce lieu a pour mission de sensibiliser le public au jardinage écologique, propose surtout des ateliers de jardinage gratuits !
A Montpelier les adeptes de nature ne seront pas en reste ! Le Jardin des plantes ou le Zoo Lunaret proposent une entrée libre pour tous. Envie d’art contemporain ? Profiter des quelques 1 445 œuvres de la FRAC Occitanie ou visiter La Panacée le centre d’art contemporain de Montpellier.
 

Les bons plans visites :
·         Le clocher de la cathédrale Saint-Pierre,
·         L’église Saint-Roch seule église dog-friendly de la ville
·         Le cimetière Saint-Lazare qui abrite les tombes de défunts célèbres comme Louis Mazas, inventeur controversé de la bicyclette,
·         Les expositions gratuites du Pavillon Populaire dans le quartier historique de l’Écusson...
 



A propos de HomeToGo :
HomeToGo se présente comme le plus grand moteur de recherche indépendant de locations de vacances au monde. Il permet de comparer rapidement et facilement plus de 15 millions d'offres à travers plus 200 pays. HomeToGo offre à ses utilisateurs le plus vaste choix de locations de vacances au monde ainsi qu’une interface épurée et facile d’utilisation qui leur permet de découvrir une offre d'hébergements provenant de plus de 300 sites partenaires. Basée à Berlin, l’entreprise emploie actuellement plus de 150 employés et est présente sur 12 marchés européens ainsi qu’aux États-Unis, en Russie, au Mexique, au Brésil et en Australie.
par LYFtv-Sports
le Lun 11 Juin - 12:02
 
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Sujet: Environnement : même les terrains de football sont pollués !
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Environnement : même les terrains de football sont pollués !

Un rapport  montre l’exposition inquiétante des sportives et des sportifs à la pollution de l’air à #Paris, #Lyon et #Marseille. 

Greenpeace France a mesuré les concentrations de dioxyde d’azote (NO2) aux abords de six terrains de football dans les trois premières villes françaises.


 Sur sept sessions de mesures de deux heures, les résultats de six d’entre elles se situent au dessus de la valeur limite annuelle moyenne imposée par l'Union européenne [1]. Un résultat inquiétant pour des lieux où la pratique sportive exigerait des niveaux de polluants atmosphériques les plus bas possibles. Pour répondre à l’urgence sanitaire, Greenpeace appelle les responsables politiques à restreindre le trafic routier en ville en investissant dans les mobilités durables, telles que les transports en commun et le vélo. 
Tag lyon sur LYFtvNews - Page 5 152



Le dioxyde d’azote (NO2) est un polluant atmosphérique toxique, très lié au trafic routier et responsable de 8 230 morts prématurées en 2013 en France selon l’Agence européenne de l’environnement. Une forte concentration de NO2 est aussi un indicateur de la présence d’autres polluants atmosphériques comme les particules fines, également très nocives. Les conséquences sur la santé de l’exposition à la pollution de l’air sont de mieux en mieux documentées et leur liste ne cesse de s’allonger : asthme, naissances prématurées, problèmes cardio-vasculaires, cancer, …
Les concentrations en NO2 mesurées par Greenpeace sont particulièrement préoccupantes parce qu’elles interviennent dans des lieux et à des heures où enfants et adultes peuvent pratiquer une activité physique et donc inhaler 4 à 10 fois plus de polluants atmosphériques qu’au repos. C’est à Marseille qu’a été relevée la concentration de NO2 la plus élevée, avec 120 µg/m3 mesurés sur le terrain La Martine. Si elles ne permettent pas d’établir des moyennes à l’année, ces mesures viennent illustrer concrètement que la pollution de l’air fait partie du quotidien et qu’elle nous affecte d’autant plus lors de pratiques sportives où nous y sommes particulièrement vulnérables. 
Pour autant, il n’est pas question, pour Greenpeace, que les gens renoncent à faire du sport en ville, source de plaisir et de bien-être. 
Pour Sarah Fayolle, chargée de campagne Climat et Transports à Greenpeace France, “nous devons pouvoir bouger et respirer sans danger, en ville comme ailleurs. Cela implique d’agir sur les causes structurelles de la pollution de l’air, au premier rang desquelles le trafic routier. Les responsables politiques des grandes villes et agglomérations, les maires en particulier, ont le pouvoir et le devoir de rendre nos villes plus respirables en les libérant progressivement, mais rapidement, des voitures individuelles, diesel d’abord, puis essence. Ils doivent promouvoir les alternatives : transports en commun et vélo en tête.
Notes aux rédactions
[1] La France vient d’être renvoyée devant la Cour de Justice Européenne, justement pour ses dépassements de cette valeur limite annuelle de 40 µg/m3, dans des grandes villes comme Paris, Lyon et Marseille. 
Le rapport complet “Football : la pollution de l’air s’impose sur le terrain” est accessible ici

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