Jean-Yves Sécheresse, ancien adjoint de Gérard Collomb est décédé
Mar 14 Nov - 12:33
Le Président de la Métropole de Lyon, Bruno Bernard, réagit au décès de Jean-Yves Sécheresse. Jean-Yves Sécheresse, ancien Président des Sapeurs-Pompiers de la métropole de Lyon et du Rhône (SDMIS) et ancien adjoint de l'ex-Maire de Lyon Gérard Collomb est décédé dans la nuit du 13 au 14 novembre 2023.
Au nom de l’exécutif métropolitain, Bruno Bernard, Président de la Métropole de Lyon, adresse ses condoléances :
« J’ai appris avec tristesse le décès de Jean-Yves Sécheresse, engagé dès 2001 auprès de Gérard Collomb, avec lequel il a œuvré à la construction de notre métropole et au développement de Lyon. Au cours de ses différents mandats, il a été président des Sapeurs-Pompiers de la métropole de Lyon et du Rhône, adjoint au Maire de Lyon, conseiller dans le 7ème arrondissement. Il a notamment été l’un des artisans du mémorial lyonnais du génocide des Arméniens. Il était également grand amateur de rock, de littérature et de football, passions qu’il avait à cœur de partager. Il est resté très présent au sein de la vie politique locale, avec la personnalité et la ténacité qu’on lui connaissait. Au nom de l’exécutif métropolitain, je tiens à adresser mes sincères condoléances à sa famille et à ses proches. »
Autant passionné de musique rock que de politique, Jean-Yves Sécheresse était l'auteur d'un très original 'abécédaire politique de la pop musique'
"Passant de Beyoncé à Mick Jagger, de Tony Blair à Ronald Reagan, d’Occupy Wall Street à la guerre du Vietnam, cet abécédaire explore les rapports entre les artistes et les tendances sociétales dans le paysage anglo-saxon des années soixante à nos jours. En plus de 140 entrées, l’auteur s’attache à éclairer les contextes dans lesquels sont ancrés les grands combats de cette époque, étudiant les liens qui se font et se défont entre les cultures musicales d’une part et les générations, les classes sociales et les mouvements politiques d’autre part. Il dissèque les relations entre la musique et la société avec la volonté de mettre à distance les légendes, soulignant l’engagement ou l’inconséquence de certains artistes et scrutant ceux qui, avant Obama, avaient fait de la pop une composante de leur stratégie politique".
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