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renaissance
Date d'inscription : 22/06/2011

Collection particulière Pierre Rigal - 8 au 13 avril 2013 au Théâtre de la Renaissance Empty Collection particulière Pierre Rigal - 8 au 13 avril 2013 au Théâtre de la Renaissance

Mar 8 Jan - 14:52
Collection Particulière est un rendez-vous que nous souhaitons récurrent, chaque saison, en avril. Sur une semaine, un artiste nous propose de découvrir son univers artistique. Seules contraintes : occuper tous les espaces de la Renaissance (grande et petite salle, hall du théâtre, parvis, Bac à Traille…) et nous convier en fin de semaine à un Impromptu, moment privilégié, spécialement conçu pour le public.

Collection Particulière :

Pierre Rigal

Nous avons voulu ouvrir cette Collection Particulière avec Pierre Rigal, artiste,
danseur, chorégraphe, éclectique, pluridisciplinaire, touche-à-tout, qui se produit sur toutes les scènes
mondiales.




Micro du 8 au 10 avril - 20h

Press – 19hsuivi de Impromptu - 21hles 12 et 13 avril

Installation photos du 9
au 13 avril 2013 : vernissage le 8 avril à 19h





Micro

Micro est une expérience énergique, une sorte de concert
physique, qui tente d’appréhender les différentes poésies du concert rock. À
travers la « physicalité » des performers, Micro fait entendre mais aussi fait voir la musique. C’est en
partant de différentes contraintes de mouvement et d’espace que Pierre Rigal
fait composer une musique ludique, romantique, rageuse ou angoissante à ses
partenaires musiciens-acteurs-danseurs. Cette musique dite pré-post-rock
devient le fruit de cette énergie déployée et Pierre Rigal, comme une sorte
d’Alice dans ses merveilles, en devient l’opérateur physique.

« Micro est à vivre toutes affaires cessantes. Et sans rappel. » Philippe Noisette,
Les Inrockuptibles



« Entre prouesses instrumentales et acrobatiques, Pierre Rigal et ses musiciens sortis
de nulle part se rêvent en stars. […] Sous la désinvolture souriante, la
finesse d’observation ne se dément jamais, jusqu’à l’extinction, rêve
abouti. »
René Solis,Libération

Conception, chorégraphie, mise en scène
Pierre Rigal

Interprétation et musique Mélanie Chartreux, Malik Djoudi, Gwenaël Drapeau,
Julien Lepreux, Pierre Rigal


Lumières, machinerie Frédéric Stoll

Diffusion son Joan Cambon, George Dyson

Assistante artistique, costumes Sylvie Marcucci


Press

Press, tragédie chorégraphique ou
l’inquiétante étrangeté de l’ordinaire
met en situation l’image de
l’homme moderne dans son immense banalité. Le corps de cet individu-produit,
dandy inquiétant, est mu par l’enchaînement standardisé de ses propres
automatismes, mais aussi par les rouages de son étroit espace vital. Peut-être
avec consentement, il se retrouve captif dans une petite pièce quasiment vide.
Les modifications mécaniques de cet environnement physique et mental agissent
sur son corps, l’obligeant à adapter en permanence son positionnement et son
mouvement. Il est alors entraîné dans une absurde et angoissante impasse...


« Il danse et se contorsionne dans une petite pièce qui rétrécit, rétrécit… Un
régal, ce solo de Pierre Rigal !


La sobriété apparente de l’affaire dissimule un mille-feuille de sensations et de
sens. On se croirait au cinéma, on est pourtant devant une scène de
théâtre : comme rarement sur un plateau, l’artisanat de la scène rejoint
les effets spéciaux du septième art pour intensifier l’impact des
images. »
Rosita Boisseau,Télérama

Conception, scénographie, chorégraphie, interprétation Pierre Rigal

Constructeur, éclairagiste, machiniste Frédéric Stoll

Musique Nihil Bordures

Assistante à la chorégraphieMélanie Chartreux


La mort est vivante

Installation « photo-photographique »

« Sous les lumières intermittentes de nos vitrines, les mannequins observent les
passants. Les corps figés, tristes et médusés attendent pour toujours le
passage de nos errances. Spectres d’une consommation effrénée et désespérée,
les fantômes rêvent de déchirer nos propres reflets, hystériques et volatiles.


Humains, plus qu’humains, monstres, plus que monstres, ils s’effritent, ils se tordent,
ils se retiennent de gémir. Nos cadavres sont à vendre… À la recherche d’une
poétique du trivial “mercantique”. »
Pierre Rigal


Mise en lumière et en espace de
l’objet photographique avec la collaboration de Frédéric Stoll.
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