- renaissance
- Date d'inscription : 22/06/2011
Jean la Chance - du 6 au 8 février 2013 au Théâtre de la Renaissance
Mar 8 Jan - 14:25
Jean la chance
Bertolt Brecht
Jean-Louis Hourdin
Du 6 au 8 février 2013 - 20h
«Femme contre maison, maison contre charrette, charrette contre manège, manège contre femme, femme contre oie.» Jean la Chanceest d’abord une curiosité. Exhumé des archives du Berliner Ensemble dans les années 90, le texte s’inspire d’un conte de Grimm où un paysan simplet est dépouillé de tout ce qu’il possède au fil de troques iniques. De perte en perte, Jean, Candide devenu vagabond, finira par s’écrier : «Maintenant, il ne me reste plus que la vie ! » Face à la noirceur de l’âme humaine, la victime de ce marché de dupes se désigne avec une naïve félicité. Les vilénies qu’il subit, Jean les accepte sans mot dire, ou le comble, il les excuse. Il en devient plus léger, éternellement
ravi, se fondant dans le ciel, la nature et l’espace. «L’important, c’est l’humain» martèle Jean.
Avec cet antihéros joyeusement subversif dont le bonheur simple l’éloigne des calculs égoïstes et de la propriété, Brecht amorce une réflexion sur la valeur d’échange. Qu’est-on prêt à échanger? Contre quoi ? Pour quel bonheur ?
«Si l’on rit d’abord des mésaventures de Jean, de sa naïveté, […] on est bientôt atterré par son incapacité à dire non, par sa bonté maltraitée, et bouleversé par sa capacité à savoir demeurer dans la beauté des choses malgré la laideur des hommes.» CATHERINE ROBERT, [/font][/color]LA TERRASSE
FIGURE INCONTOURNABLE DE LA DÉCENTRALISATION, JEAN-LOUIS HOURDIN
POURSUIT SA ROUTE EN COMPAGNON DE BRECHT AVEC CETTE MÊME EXIGENCE: LE TRÉTEAU NU ET L’INDISPENSABLE POÉTIQUE.
Bertolt Brecht
Jean-Louis Hourdin
Du 6 au 8 février 2013 - 20h
«Femme contre maison, maison contre charrette, charrette contre manège, manège contre femme, femme contre oie.» Jean la Chanceest d’abord une curiosité. Exhumé des archives du Berliner Ensemble dans les années 90, le texte s’inspire d’un conte de Grimm où un paysan simplet est dépouillé de tout ce qu’il possède au fil de troques iniques. De perte en perte, Jean, Candide devenu vagabond, finira par s’écrier : «Maintenant, il ne me reste plus que la vie ! » Face à la noirceur de l’âme humaine, la victime de ce marché de dupes se désigne avec une naïve félicité. Les vilénies qu’il subit, Jean les accepte sans mot dire, ou le comble, il les excuse. Il en devient plus léger, éternellement
ravi, se fondant dans le ciel, la nature et l’espace. «L’important, c’est l’humain» martèle Jean.
Avec cet antihéros joyeusement subversif dont le bonheur simple l’éloigne des calculs égoïstes et de la propriété, Brecht amorce une réflexion sur la valeur d’échange. Qu’est-on prêt à échanger? Contre quoi ? Pour quel bonheur ?
«Si l’on rit d’abord des mésaventures de Jean, de sa naïveté, […] on est bientôt atterré par son incapacité à dire non, par sa bonté maltraitée, et bouleversé par sa capacité à savoir demeurer dans la beauté des choses malgré la laideur des hommes.» CATHERINE ROBERT, [/font][/color]LA TERRASSE
FIGURE INCONTOURNABLE DE LA DÉCENTRALISATION, JEAN-LOUIS HOURDIN
POURSUIT SA ROUTE EN COMPAGNON DE BRECHT AVEC CETTE MÊME EXIGENCE: LE TRÉTEAU NU ET L’INDISPENSABLE POÉTIQUE.
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