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4 résultats trouvés pour BOCUSE

par LYFtv-LYon
le Sam 02 Déc 2023, 9:54 pm
 
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Gastronomie, Gourmandises & Restauration

Sujet: Gastronomie : après cinq mois de travaux Bocuse ré-ouvre la Brasserie historique Le Nord
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Gastronomie : après cinq mois de travaux Bocuse ré-ouvre la Brasserie historique Le Nord

Institution Lyonnaise historique, Le Nord a été la première brasserie de Paul Bocuse en 1994, un restaurant auquel il était particulièrement attaché et où il a lui-même travaillé dans les années 70. Nouveau décor, nouvelle carte signée du 1er chef exécutif Christophe Raoux, nouveau style, et ambiance plus chaleureuse que jamais pour une brasserie emblématique, qui a toujours vécu au rythme de son époque. La tradition a du bon quand elle sait s’enrichir du meilleur de la modernité.
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Le fils de Monsieur Paul, Jérôme Bocuse à la manoeuvre !
“La Brasserie Le Nord c’est la vision revisitée à la Lyonnaise des codes de la brasserie traditionnelle, avec ses accents Alsaciens et Nordistes. Elle devait retrouver une place de premier plan sur la scène culinaire Lyonnaise car c’est un lieu symbolique qui porte l’esprit Bocuse, un lieu vivant, un lieu de partage.” UNE JOYEUSE CONVIVIALITÉ, selon Jérôme Bocuse...
Dans l’ambiance comme dans l’assiette, l’idée de partage règne. 
Le tourbillon des serveurs, le spectacle de la découpe en salle, les conversations animées, le plaisir d’être ensemble, c’est tout ça l’esprit brasserie à la #Bocuse !
par Gilles Roman
le Jeu 01 Juin 2023, 3:15 pm
 
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Gastronomie, Gourmandises & Restauration

Sujet: Gastronomie : l'institut Lyfe et Apicil défendent "les repas en famille"
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Gastronomie : l'institut Lyfe et Apicil défendent "les repas en famille"

Les repas en famille… ou comment allier impératifs temporels, diététiques et goûts individuels*. Le Groupe #APICIL et le Centre de recherche de l’Institut #Lyfe (anciennement Institut Paul #Bocuse) publient les résultats d’une étude doctorale « A table en famille » menée par Fairley Le Moal en collaboration avec l’Université Lyon 2 (Centre Max-Weber), l’Université Flinders et soutenue par l’entreprise Mars Food.
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Un repas, seul moment de la journée parfois où toute la famille est réunie, peut générer de fortes émotions, des fous rires ou des déceptions... avec son lot « d’invités surprises » que sont la télé, les jouets, les soucis, une viande brûlée ou une assiette cassée. Comment se déroulent concrètement ces repas en famille et quels en sont les enjeux ? Tel est l’objet de la thèse de Fairley Le Moal (Université Lyon 2, Université Flinders, Mars Food) que le Groupe APICIL, 3ème groupe de protection sociale, publie avec le Centre de recherche de l’Institut Lyfe. Les travaux sont issuss d’entretiens et observations menés au sein de foyers en France et en Australie. Ils montrent la complexité de la question du lien social lors des repas compte tenu de la diversité des attentes des acteurs en présence (enfants, père et mère), des contraintes temporelles et logistiques, de la multiplicité des contextes, influences culturelles et socio-économiques.
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[i]« Manger n’est pas qu’un besoin physiologique, c’est aussi l’occasion de remplir des objectifs, le premier étant que le repas se passe bien, ensuite c’est une opportunité de partager un moment de plaisir et de connivence, de raconter ses expériences du jour, d’avaler son repas assis, de prendre le temps de mâcher pour bien digérer ; mais aussi de manger équilibré ou d’être reconnu(e) pour ses qualités en cuisine, décoration, invention. Les conclusions de la thèse de Fairley Le Moal montrent combien les repas en famille demeurent remarquablement ancrés au sein des familles observées. » souligne Alexandra Caringi, Directrice Action Sociale & Services de Suivi Médical Métier Santé-Prévoyance d’APICIL.[/i]
Parmi les principaux enseignements observés par Fairley Le Moal : la commensalité ou l’art de manger ensemble
Le concept de commensalité désigne le fait de manger ensemble, illustrant ainsi l’intrication courante chez l’humain des deux pratiques essentielles que sont l’acte de s’alimenter et la sociabilité. En France, la commensalité est souvent au cœur du quotidien des familles. Les repas rythment la vie de tous les jours, tout autant que la vie quotidienne les façonne en retour, et ils constituent un temps de partage important lors duquel peut se faire l’apprentissage des règles sociales. La commensalité quotidienne est aussi à envisager d’un point de vue sanitaire. Les repas de famille sont, en effet, souvent perçus comme un moment d’éducation au goût et à une alimentation saine et variée. Ils sont, en outre, régulièrement promus par les autorités de santé publique en matière de santé physique, mentale, de bien-être et de sociabilité.
Le casse-tête de l’organisation des repas
La préparation des repas relève souvent du casse-tête tant sont nombreux les paramètres à prendre en compte :
Les contraintes temporelles : l’importance accordée aux repas de famille s’inscrit dans une considération plus large pour la bonne santé des enfants, dont l’un des facteurs essentiels est le sommeil. L’impératif de coucher les enfants à une heure régulière et pas trop tard détermine, en effet, la durée et la fin des repas de famille. Les engagements de chacun dans la vie sociale en dehors de la maison sont également pris en compte.
L’impératif diététique : les repas doivent être équilibrés, différer des repas pris le midi à la cantine scolaire et varier avec les dîners des autres soirs de la semaine, mais aussi d’une semaine à l’autre. Certaines familles utilisent des stratégies d’anticipation, en décidant à l’avance du menu pour s’alléger des contraintes alimentaires au jour le jour et faciliter la participation des pères. D’autres, à l’inverse, préfèrent simplifier les menus, ce qui en réduit souvent la qualité diététique au prix notamment de l’exclusion de certains légumes, car trop longs à préparer.
Les préférences individuelles et le respect des restrictions alimentaires des différents membres de la famille dictent aussi la production des repas, c’est un facteur qui peut très vite devenir source de stress. A noter que l’étude relève que la perception de la viande rouge a évolué, une grande partie des familles observées essayant d’en limiter sa consommation lors des dîners.
La préparation des repas : un fardeau pour les mères, un plaisir pour les pères
Toutes les mères interrogées dans le cadre de l’étude ont indiqué être en charge des questions alimentaires dans le foyer et exprimé des sentiments de contrainte, de lassitude, de stress ou de culpabilité. En effet, elles s’attèlent à trouver les menus pour la semaine en prenant en compte les impératifs de santé et les préférences individuelles de chacun, les courses à réaliser, et l’heure du repas. À cette charge mentale s’ajoutent des dimensions morales et émotionnelles, notamment la responsabilité de devoir bien nourrir la famille, afin d’être une « bonne » mère et de témoigner ainsi son amour maternel. Les pères interrogés, quant à eux, ont un rapport épicurien à la nourriture et à la cuisine. Ils vivent le temps de préparation des repas comme un temps de détente permettant de déconnecter du travail et de transitionner vers la vie domestique.
Une nécessité physiologique et un enjeu de santé
Le repas doit répondre au besoin physiologique fondamental et universel que constitue la consommation alimentaire. Or, une personne n’aura pas forcément faim en même temps qu’une autre. Manger ensemble implique cependant de synchroniser les rythmes alimentaires des différents membres de la famille, ce qui contrarie parfois les besoins individuels. Pour les enfants, le temps du repas est aussi synonyme de découvertes gustatives. Néanmoins, les familles étudiées ont des conceptions bien différentes concernant le processus d’acquisition du goût. Celles de la classe moyenne inférieure considèrent que les enfants apprendront à aimer des goûts diversifiés lorsqu’ils seront plus âgés, voire adultes. En revanche, les familles de classes moyenne haute et supérieure pensent que les enfants sont susceptibles d’être socialisés tôt à des goûts d’adultes estimés comme sains.
[b]Un temps de retrouvailles primordial pour « faire famille »[/b]
Le temps passé à table est aussi un moment pour échanger, et c’est même l’un des piliers de la commensalité en France. Le repas est un temps important pour la cohésion de la famille dans la mesure où les conversations permettent de générer un sentiment d’appartenance, de s’impliquer dans la vie des uns et des autres, et de créer une représentation commune du monde. Des conversations qui concernent principalement les enfants avec des parents qui cherchent à les faire s’exprimer au maximum. L’objectif est de vérifier la vie menée par les enfants hors de la maison afin de s’enquérir de leur santé et bien-être, que ce soit de s’assurer que le repas du midi était équilibré ou que leur vie sociale à l’école se passe bien.
La convivialité exige un travail émotionnel qui incombe majoritairement aux mères

La commensalité n’équivaut pas à la convivialité. Autrement dit, manger ensemble en famille n’est pas forcément agréable pour toutes et tous, tout le temps. Maintenir la convivialité exige un « travail émotionnel » significatif de la part de chacun des convives. Par exemple, à table, une mère peut essayer d’être enjouée, aimante et calme pour provoquer chez les enfants le contentement ou le plaisir. Les pères, quant à eux, jouent un rôle majeur dans la création d’une ambiance d’amusement à table. Partie intégrante des repas en famille, l’humour peut constituer un facilitateur de conversation et dénouer des tensions.

L’étude « A table en famille » est disponible en intégralité ici
Découvrez les précédentes parutions collection « Alimentation et bien-être » :
1er livret : « Grand âge, Alzheimer et maladies apparentées », issu de la thèse de Virginie POUYET - Médaille d’argent du Ministère de l’Agriculture ;
2e livret : « Des légumes et des enfants », issu de la thèse de David MORIZET ;
3e livret : « Snacking, Grignotage…un impact de poids », issu de la thèse de Xavier ALLIROT;
4e livret : « Autisme, des enfants bien dans leur assiette », issu de la thèse d'Anne-Claude LUISIER ;
5e livret : « Le plaisir de manger sous chimiothérapie », issu de la thèse de Kenza DRAREN ;
6e livret :  « Déjeuner au travail, une question de temps » , issu de la thèse de Camille MASSEY ;
7e livret : « Chirurgie bariatrique et goûts, ce qui change », issu de la thèse de Erika GUYOT.
8e livret : « Mieux comprendre les rejets alimentaires des jeunes enfants », issu de la thèse de Damien FOINANT.
A propos de l’Institut Lyfe (anciennement Institut Paul Bocuse)
L’Institut Lyfe est un établissement d’enseignement supérieur associatif reconnu par l’État, formant les professionnels des arts culinaires, de la restauration et de l’hôtellerie. Depuis 2008, le Centre de recherche développe un programme recherche pluridisciplinaire (Sciences sociales, sciences cognitives, Sciences de la nutrition) pour relever le défi d’une alimentation goûteuse, saine et durable pour tous, au travers de l’acquisition de nouvelles connaissances scientifiques et du développement de l’évaluation de solutions innovantes.
Contact :
Plus d’infos ici
par Gilles Roman
le Lun 23 Jan 2023, 9:50 pm
 
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Sujet: Lyon Eurexpo : classement définitif des Bocuse d'or 2023
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Lyon Eurexpo : classement définitif des Bocuse d'or 2023

Ce 23 janvier 2023, après 2 jours de compétition de haut niveau, la victoire du #Danemark représenté par Brian Mark Hansen et son commis Elisabeth Madsen clôture la 19ème Grande Finale du #Bocuse d’Or, succédant ainsi au français Davy #Tissot, Bocuse d’Or 2021. L’équipe de la #Norvège, composée du chef Filip August Bendi et de son commis Leon Haarberg Nilsen arrivent à la seconde place et remportent ainsi le Bocuse d’Argent, tandis que la #Hongrie représentée par Bence Dalkoni et son commis Patrik Nyikos complètent le podium. La France représentée par Naïs #Pirollet arrive elle à la cinquième place
Les 24 membres du Jury ont rendu leur verdict au terme de 5h30 d’épreuves afin de récompenser la technique, la mise en avant des produits ainsi que leur non-gaspillage.
Une édition innovante et inspirante pour les générations futures ! atteste Jérôme Bocuse, Président du Bocuse d’Or. L’épreuve Feed The Kids est la traduction même de l’importance d’initier les plus jeunes au bien manger et ainsi porter les valeurs des chefs de demain.
L’ensemble des candidats ont dû en effet mettre en lumière la lotte pour l’épreuve plateau, et sublimer la courge lors de l’épreuve inédite “Feed the Kids”, visant à promouvoir l’éducation au bien-manger auprès des jeunes générations. 
Je suis venue ici en toute humilité, pour m’inspirer de ces chefs, explique Dominique Crenn, Présidente d’Honneur de cette édition. J’ai adoré qu’il y ait autant de pays, plein de cultures différentes, et qu’ils nous racontent leur propre histoire, pas celle des autres. Les enfants qui ont regardé le Bocuse d’Or peuvent maintenant se dire, moi aussi je peux y être, moi aussi j’ai une histoire à raconter.

L’ensemble des résultats de la Grande Finale du Bocuse d’Or 2023 :
Bocuse d’Or : Danemark - Brian Mark Hansen
Bocuse d’Argent : Norvège - Filip August Bendi
Bocuse de Bronze : Hongrie - Bence Dalnoki
4ème : Suède - Jimmi Eriksson
5ème : France - Naïs Pirollet
6ème : Finlande - Johan Kurkela
7ème : Royaume-Uni - Ian Musgrave
8ème : Islande - Sigurjón Bragi Geirsson
9ème : États-Unis - Jeffery Hayashi
10ème : Suisse - Christoph Hunziker
11ème : Canada - Samuel Sirois
12ème : Japon - Tomoyuki Ishii
13ème : Estonie - Alexander Gureev
14ème : Belgique - Sam Van Houcke
15ème : Nouvelle-Zélande - Will Mordido
16ème : Colombie - Carlos Pajaro
17ème : Chine - Nick Yuli Lin
18ème : Australie - Alex Mcintosh
19ème : Île Maurice - Kritesh Halkory
20ème : Corée du Sud - Byeonghyen Hwang
21ème : Chili - Ari Zuñiga Salas
22ème : Mexique - Marcelo Hisaki
23ème : Maroc - Faical Zahraoui
24ème : Sri Lanka - Mihishan Rashminga Silva

Prix du meilleur commis : Norvège - Leon Haarberg Nilsen
Prix de l’épreuve “Feed the Kids” : France - Naïs Pirollet
Prix du meilleur plateau : Suède - Jimmi Eriksson
Social Commitment Award : Mexique - Marcelo Hisaki

Après sa victoire lors des sélections européennes, Brian Mark Hansen réussit une nouvelle fois à faire briller la gastronomie danoise lors de cette Grande Finale, succédant ainsi à Ronni Vexøe Mortensen, vice-champion en 2021. Basé sur le thème des contes de fées et inspiré du célèbre auteur danois Hans Christian Andersen, le menu de Brian Mark Hansen a fait l’unanimité auprès des membres du jury.
Naïs Pirollet, cadette de la compétition et unique femme qualifiée à la Grande Finale du Bocuse d’Or, offre à la France la 5ème place de la compétition, faisant d’elle la première française à atteindre un tel niveau d’excellence.
Le prochain grand rendez-vous se tiendra à Trondheim en Norvège à l’occasion du Bocuse d’Or Europe 2024 qui aura lieu les 19 et 20 mars 2024 pour les sélections européennes du prochain Bocuse d’Or.

par Gilles Roman
le Ven 17 Jan 2020, 12:50 pm
 
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Sujet: Les Bocuse d'or réagissent à la perte de la 3ème étoile du restaurant de Collonges
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Les Bocuse d'or réagissent à la perte de la 3ème étoile du restaurant de Collonges

COMMUNIQUÉ DE PRESSECOMMUNIQUE DE #GLEVENTSSOCIETE ORGANISATRICE DU #BOCUSE D’OR
GL events, société organisatrice du Bocuse d’Or, 
tient à apporter son soutien indéfectible 
à la Maison Bocuse 
qui vient de se voir retirer, après 55 ans, 
sa troisième étoile au guide Michelin.
«C’est toute la famille Bocuse d’Or qui exprime sa tristesse et son respect renouvelé pour l’oeuvre de Monsieur Paul », a réagi Olivier #Ginon, Président du groupe GL events qui organise le Bocuse d’Or. « L’apport de Paul Bocuse à la cuisine mondiale, son empreinte culturelle et patrimoniale, la permanence de son héritage culinaire à travers la Maison de Collonges-au-Mont d’or, vont cependant bien au-delà. Bocuse st une histoire passionnelle avec la France, une histoire éternelle », conclut Olivier Ginon. 
Le Bocuse d’Or, considéré comme le plus grand concours international de cuisine à travers le monde a été créé en 1987 par Paul Bocuse. Il récompense tous les deux ans le meilleur cuisinier au monde à l’occasion de la grande finale qui a lieu lors du SIRHA à Lyon.

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